L AGRESSEUR NOCTURNE

Souvent je dors à poil, surtout l'été. J'aime bien sentir la brise tiède de la nuit me caresser les fesses. C'est que je me couche sur le ventre, cul offert, la bite rafraîchie par le contact du satin. Évidemment, mes draps sont toujours de satin. J'ai 28 ans, je suis black, je possède un engin de 21 centimètres que mes amants m'envient et je suis doté de fesses qui font bander la planète homo, incontestablement. Tout le monde veut planter son dard dans ma cible bombée. Mais voilà, je ne me donne qu'à quelques rares élus car je suis princesse et surtout fort sélectif ! Une nuit parmi des milliers d'autres, je me suis endormi comme d'hab, dans mon plus simple appareil, un peu excité par un nouvel ami avec qui je venais de refuser de coucher, histoire de faire durer le désir. Je somnolais, épanoui, lorsqu'un bruit léger s'est fait entendre dans le couloir menant à ma chambre. Comme j'ai un coloc, je ne me suis pas inquiété outre mesure. Puis une chaleur diffuse au-dessus de mon admirable cul m'a indiqué que quelqu'un se trouvait dans ma chambre. J'ai voulu bouger mais j'ai senti une lourde charge peser soudain sur mes lombaires, ce qui m'a cloué au lit, c'est le moins que l'on puisse dire. Deux mains ont appuyé sur mes épaules, un souffle chaud dans mon cou m'a convaincu qu'il s'agissait d'un individu de sexe masculin. Un souffle puissant, un peu rauque, à la limite du grognement animal. J'ai ressenti un frisson d'horreur ou d'excitation, je ne sais plus trop, la peur nous fait parfois confondre ! Une langue s'est mise à lécher mon oreille, d'abord doucement puis de façon de plus en plus intrusive. Une salive chaude me baignait la nuque et l'intérieur de l'oreille et ces léchouilles commençaient sérieusement à me chatouiller l'érection. Une poigne de fer s'est emparé de ma main gauche pour la menotter au montant du lit, puis ma seconde main a été attaché également. En quelques dixièmes de seconde. Putain, là j'étais scié par l'efficacité et l'effet de surprise ! Je me suis mis à gigoter comme un dingue. Il y avait beau y avoir une excitation certaine dans cette aventure mais entre nous, allons savoir qui était ce mystérieux inconnu derrière moi et surtout qu'allait-il me faire subir ? J'ai senti le poids de son corps s'affaisser sur moi puis pivoter. Ses mains ont glissé jusqu'à mes mollets pour emprisonner mes chevilles dans ce qui m'a semblé des lanières rigides qu'il a serré brusquement avant de descendre du lit et d'aller les fixer aux pieds d'une armoire massive. J'étais bien pris cette fois. Eh Merde ! J'ai cru percevoir alors que le type se délestait de ses fringues. Mon calvaire ou mon bonheur allait bientôt commencer. J'ai senti un contact torride et moite, une paire de fesses sans doute mais de consistance molle Berk ! J'ai conclu à un mec en surpoids. Double Berk !! Pendant tout ce temps sa respiration se faisait plus rapide, plus haletante et je me disais que c'était normal s'il s'agissait d'un obèse. Je repassais dans mon esprit tous les mecs de mon entourage qui m'apparaissaient pouvoir correspondre à mon agresseur quand un doigt s'est brutalement enfoncé dans mon anus. J'ai gueulé, bien entendu, ne serait-ce que pour sauver mon honneur puisque le geste ne m'avait étonnamment pas déplu. Après l'introduction du doigt, la bouche de cet être immonde m'a craché un filet de bave dans la raie du cul, bave qu'il a ensuite soigneusement étendue, m'écartant les fesses, enfilant de nouveau son doigt dans mon rectum, puis sans gêne y mettant maintenant deux doigts Bref, un grossier personnage ! Toujours soufflant et grognant, mon agresseur s'est mis à se trémousser sur mon cul, appuyant sur ma peau basanée ce qui m'a semblé être sa verge. De bonne dimension, selon mes calculs. Et ses couilles, tièdes et lourdes. N'empêche qu'il devait être plutôt baraqué vu la surface de mon corps qu'il parvenait à couvrir. Cela dit, son va-et-vient commençait à me chauffer sérieusement et j'avais les burnes en pleine ébullition. Son mouvement me branlait en même temps, ma queue frottant le satin au rythme des coups de reins du bonhomme. Et là, encore une fois je n'ai rien vu venir. Ultra rapidement, il a bougé et je me suis retrouvé avec un sexe énorme dans la bouche. - Tiens, suce taffiotte, qu'il me murmure dans un hoquet de plaisir. Clair que j'ai eu envie de le mordre jusqu'au sang mais sa queue était si gonflée.

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SAMEDI 13 JUILLET 2013

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