Le repas se passa pour Claire, sans histoires, comme chaque soir, entre Jacques son mari et Isabelle sa fille de dix-neuf ans. Vers les vingt-trois heures, après le film à la télévision. Claire gagna la salle d'eau pour se préparer pour la nuit comme elle le faisait chaque soir, laissant son époux aller se coucher. Elle ressortit de la salle de bains au bout de dix minutes, vêtue d'une fine chemise de nuit translucide ornée de dentelle noire, qui lui arrivait à mi-cuisses, et au décolleté en carré qui laissait nu la partie supérieure de son abondante poitrine. Ainsi peu vêtue, elle rejoignit son époux auprès duquel elle se coucha. Mais à peine étendue entre les draps de soie, les scènes qui s'étaient déroulées quelques heures plus tôt sur ce même lit, lui revinrent en mémoire ; si fortes, si intenses, qu'elle se sentit troublé et qu'entre ses cuisses une douce tiédeur ne tarda pas à humecter son sexe. Cependant dans le même temps un sentiment de culpabilité vis à vis de son mari l'envahit. Enervée, et par le désir naissant, et par le remords d'avoir trompé son époux, elle se tourna sur le coté afin de se rapprocher de ce dernier contre lequel elle se blottit amoureusement, enserrant l'une de ses cuisses entre les siennes. Dans ce mouvement sa main droite se posa naturellement sur le ventre légèrement rebondi de son compagnon pour la vie. Désirant chasser le sentiment de culpabilité qui l'habitait, elle fit insensiblement glisser sa main vers le bas-ventre de celui-ci, jusqu'à ce que sa paume atteigne le renflement que faisait le membre viril au repos sous le pyjama. Alors refermant délicatement ses doigts autour de la verge qui depuis vingt ans l'avait si souvent comblée, elle la pressa doucement, avec beaucoup de tendresse. -«Tu as perdu quelque chose ? Plaisanta Jacques, tout heureux de cette initiative érotique.» -«J'ai envie que tu me fasses l'amour, lui répondit Claire dans un murmure.» Elle accentua encore son étreinte autour de la verge grossissante, jusqu'à ce qu'elle juge l'organe masculin à sa taille maximum. Alors se penchant sur le bas-ventre de son époux radieux, elle repoussa vivement le pantalon du pyjama, dénudant prestement le membre raide et dur, au gland largement décalotté et dilaté. Elle retroussa hâtivement sa fine chemise de nuit pour l'enjamber, de façon à le chevaucher tout en lui faisant face. De tout temps cette position avait été celle qu'elle avait toujours préféré pour faire l'amour. Car c'est dans cette posture qu'elle percevait le mieux dans son ventre le membre qui la pourfendait, les chairs de son vagin étant resserrées, et ainsi positionnée, son partenaire pouvait à loisir lui caresser les seins ou les fesses ; deux attouchements qui avaient le don de l'exciter au maximum. Béats de satisfaction, sous les effleurements fiévreux que lui prodiguait son épouse. Jacques comme à son habitude s'abandonna complètement aux appétits sexuels de sa femme sans se poser de questions. À cheval sur le bas-ventre de son mari. Claire lança une main impatiente entre ses cuisses moites de désir, pour saisir la verge raide et gonflée qu'elle maintint verticalement en dessous de sa fente trempée d'impatience, le gland dilaté face à ses grandes lèvres sexuelles gorgées d'une abondante liqueur amoureuse. Dans un grognement de satisfaction, elle se laissa alors tomber de tout son poids sur le pieu de chair dressé, s'empalant profondément avec une satisfaction sensuelle. Un long frisson de volupté lui irradia aussitôt le bas-ventre lorsque le gland s'enfonça dans sa vulve poisseuse, écartant sans ménagement ses chairs intimes pour venir investir son vagin en fusion. Le corps arqué, elle ne put retenir le grognement de plaisir que cette pénétration lui procurait Les mains posées sur la large poitrine de son mari, elle entama alors une furieuse chevauchée sexuelle, s'embrochant sur la verge avec une espèce de rage destructrice ; comme si elle voulait effacer de son corps et de son esprit les merveilleux souvenirs que lui avait laissé son jeune amant. L'esprit emplit des souvenirs voluptueux de l'après-midi, elle agita sa croupe avec fureur, à la recherche d'une jouissance extrême et intense. Celui-ci, habitué à des rapports sexuels plus calmes et plein de tendresse de la part de sa femme, fut extrêmement surpris par la fougue avec laquelle cette dernière se démenait au-dessus de lui. Il lui semblait que des flots de lave en fusion enveloppaient sa queue. Jamais Claire ne l'avait habitué à une telle impétuosité lors de leurs rapports amoureux : même au moment
MERCREDI 8 JUILLET 2009
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