AMOUR PAR INTERNET - CASSANDRA

Bonjour je m'appelle Mike. L'un de mes meilleurs souvenirs sexuels reste, la première fois où j'ai trompé mon amie. C'était avec une femme de Bordeaux (qui vivait depuis peu en région parisienne) que j'avais rencontré à l'époque grâce à Internet. Nous avions aussi beaucoup bavardé par téléphone. Cassandra était une fille très sympa, dynamique, et qui n'avait pas froid aux yeux (ni ailleurs non plus, j'ai pu le constater à plusieurs reprises plus tard !!). On passait parfois deux heures l'après-midi au téléphone à parler ensemble et les sujets tournaient quasiment toujours autour du sexe. Elle disait aimer énormément faire l'amour, malheureusement son ami n'avait pas cet appétit et elle se sentait en manque. Elle me racontait ses expériences, je lui racontais les miennes ainsi que mes fantasmes. Bien souvent elle me disait : - Sors ta queue et branle-toi. J'ai envie de t'entendre jouir. Alors je m'exécutais sans me faire prier et je lui demandais de me raconter une de ses aventures les plus cochonnes pour m'exciter encore plus. Elle n'était pas une adepte de la masturbation et ne l'a fait pour moi au téléphone qu'une fois ou deux. Mais j'avais pu apprécier ses gémissements et ses râles ainsi que le langage cru qu'elle savait employer. Elle me disait : - Si j'étais là, à côté de toi, je te lécherais bien partout, je pomperais ta queue, je goberais tes couilles, je rentrerais ma langue dans ton petit trou du cul… Ces masturbations téléphoniques ne duraient pas très longtemps car lorsque je l'entendais me dire tout ça, je me branlais frénétiquement en lui décrivant ma position et la taille de ma bite. J'étais le plus souvent assis dans le fauteuil de mon bureau, le pantalon en bas des jambes et les cuisses bien écartées. Je déchargeais alors abondamment une quantité de sperme en grognant de plaisir. Visiblement, ça l'excitait et nous avons renouvelé ces plaisirs pendant plusieurs semaines. Puis nous avons décidé de nous rencontrer, histoire de mettre un visage sur une voix et de reproduire en réel tout ce que nous avions déjà partagé par téléphone. On s'est donné rendez vous à Paris dans un café. Elle était comme j'aime les femmes : mignonne, avec des formes, une bonne paire de seins et un cul généreux et prometteur. On a bu un coup puis on est allé se promener dans un parc. Nous nous sommes assis sur un banc. On s'est embrassé longuement. Je la caressais partout et elle me faisait de même. Je bandais fort. J'avais mis ma main dans sa culotte. Je sentais les poils de sa chatte déjà humides. Elle mouillait beaucoup. Je l'ai branlé longuement, un doigt dans sa chatte et une main à lui caresser les seins. Par moment, je sortais mon doigt de sa culotte et je me le mettais dans la bouche pour le sucer en la regardant droit dans les yeux. Ma provocation lui plaisait. Elle ne se privait pas non plus de mettre sa main dans mon slip, de me tripoter les couilles tout en me branlant discrètement la queue. On était assis comme ça au milieu d'un jardin public à se peloter sans gêne. Il faut dire que ça m'excitait beaucoup de me montrer ainsi. Si j'avais pu, je l'aurais baisée là sur le banc. J'aurais voulu qu'elle me suce mais l'endroit n'était pas assez discret. Nous sommes restés comme ça à explorer nos corps pendant plus de deux heures puis on s'est quittés. J'avais une envie folle de jouir. Sur le chemin du retour, je me suis adossé contre un arbre, j'ai sorti ma pine encore dure pour me branler. En pensant à tous ces moments d'excitation que je venais de vivre auprès d'elle, quelques mouvements de va-et-vient ont suffi pour libérer le foutre qui a jailli de ma queue. Rarement mon plaisir masturbatoire fut aussi violent que cette fois là. Je suis rentré chez moi encore sur mon nuage et le soir, j'ai baisé ma copine avec bien plus de fougue que d'habitude… Nous savions de toute façon que ne tiendrions pas longtemps sans nous revoir tant nous avions envie l'un de l'autre. Je voulais faire l'amour avec cette femme. Je voulais la caresser, la lécher, entendre dans mon oreille les mêmes cris que j'avais entendu au téléphone quand elle se masturbait. Je voulais découvrir ses seins, sa chatte et son cul qui me promettaient des trésors de douceur. Mais il n'était pas question de «Je t'aime» et de «Toujours » entre nous. Nous

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VENDREDI 15 NOVEMBRE 2013

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