AMOUR AU TÉLÉPHONE

L'amour au téléphone, il nous est arrivé de le pratiquer. Rarement. Plutôt à l'occasion, sans que cela ne soit prévu à l'avance et c'est vrai qu'il peut être très excitant. Et Béa peut se vanter d'avoir fait jouir un homme à quelques milliers de kilomètres de distance. Un couple nous avait contacté suite à une annonce. Ils habitaient Nouméa et venaient en France chaque année pour leurs vacances. Nous avions échangé plusieurs courriers avec photos et le courant passait bien, nous en sommes arrivés à des contacts téléphoniques en attendant de nous rencontrer. Avec le décalage horaire, c'était le petit matin sous les tropiques lorsque nous appelions en soirée. Nous tombions souvent sur l'homme, seul, sa femme étant déjà au travail. La complicité s'installant au fil des conversations qui portaient, en général, sur le sexe, il nous avoua un jour qu'il était en train de bander en écoutant Béa. Il était assez tôt le matin, il était encore dans son lit et se branlait en parlant à Béa. Ma femme lui répondit simplement qu'elle trouvait la situation intéressante (elle n'aime pas trop se lâcher au téléphone). Pour nous c'était une chaude soirée d'été, elle était assise dans un grand fauteuil du salon, vêtue d'une combine en soie noire, le téléphone était posé sur une table basse près d'elle. J'étais agenouillé face à elle, au pied du fauteuil et j'écoutais la conversation grâce à l'ampli. Je caressais doucement ses cuisses et les propos de l'homme, la réaction de Béa, m'incitèrent à provoquer une situation que je n'aurais pu obtenir de Béa si elle avait été prévue à l'avance. Je remontais mes mains vers son minou, ses cuisses étaient juste entrouvertes et je me contentais d'effleurer sa fente avec le pouce. L'homme lui demanda comment elle était vêtue, comment elle s'habillait au quotidien, Béa répondait à toutes ses questions, sans en rajouter. Je la sentais sur la réserve mais curieuse aussi. Elle m'en donna confirmation lorsque ses cuisses s'ouvrirent pour me laisser libre accès à sa chatte, c'était un feu vert et mon pouce pu plonger entre ses lèvres que je découvris déjà bien humides. Je glissais doucement du trou jusqu'au clito en une délicieuse branlette. Béa ne trahissait rien encore dans ses propos de ce que je lui faisais mais elle mouillait de plus en plus. J'approchais mon visage de son entrecuisses, elle sentait bon la femme excitée, j'écartais sa fente des deux pouces et je la lapais sur toute la longueur, prenant le temps, entre chaque coup de langue, d'admirer la vulve rose et luisante, les petites lèvres au liséré brun et sa fève d'un rose encore plus clair qui lui donnait un aspect de délicatesse et de fragilité. Je finis, bien qu'elle se retienne, par lui arracher quelques gémissements qui incitèrent notre correspondant à lui demander ce que nous faisions. Elle lui répondit aussi franchement qu'auparavant mais sa voix était plus haletante, plus rauque aussi. - Luc est tout excité et il est train de s'occuper de ma minette. - Comment ? - Il a mis sa langue dedans. Nous eûmes droit à un court silence en guise de réponse, mais nous percevions une respiration courte à l'autre bout du fil. Nous étions conscients de franchir une étape dans la conversation. - Ça te plaît ? - Hummm, oui, il fait ça très bien ! - Oh, je suis tout dur, vous me faites bander. Tu aimerais que je te suce les seins pendant qu'il s'occupe de ta chatte ? - Oh oui, j'aimerais ça ! Béa pensait de moins en moins à parler mais émettait de plus en plus de soupirs et de gémissements. L'homme continuait à lui parler de sa queue tendue et de ce qu'il aimerait lui faire. Béa était maintenant complètement excitée, sa main derrière ma nuque collait ma bouche à sa vulve. - Oui, oui, comme ça, oui, enfonce ta langue, oh salaud, vous êtes des vicieux ! - Tu dois être bonne toi, je suis sûr que tu es une petite salope qui a besoin d'hommes. - Ouiiii ! - Tu as envie de sentir sa bite ? - Oui. - Demande-lui de te baiser. Béa se redressa, j'étais à genoux entre ses cuisses, elle approcha son cul du bord du fauteuil, prit ma queue à pleine main, la branla en deux ou trois va-et-vient pour en apprécier la dureté, joua un instant avec le gland qu'elle frotta le long de sa fente puis l'ajusta à l'entrée de son trou exquis. Elle se renversa en arrière en appuyant une main sur mes reins pour accompagner son mouvement…

» Plan cul Neuville-Saint-Rémy

MARDI 11 MARS 2008

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