Apprentissage avec véronique 1

J'avais tout juste 19 ans, je venais d'entrer en première année de fac et j'étais encore puceau. Eh oui ! Juste quelques petites caresses et baisers anodins avec des copines de classe et le plaisir solitaire que j'avais découvert quasi par hasard. On était plus prude qu'aujourd'hui et sans Internet et K7, nous n'avions que Ciné-Revue pour fantasmer. Je sentais en moi un réel éveil et c'est avec un regard nouveau que j'examinais les amies de ma mère, de passage à la maison. Mes yeux jaugeaient leur taille, leur poitrine et furtivement leurs jambes. Je me demandais tout ce qu'un homme pouvait faire avec un corps de femme. C'est peu après que j'ai eu l'occasion de voir une femme intégralement nue. Un matin, ouvrant la salle de bain, j'ai aperçu ma mère qui sortait de son bain et s'essuyait. Vision rapide car j'ai immédiatement refermé la porte en m'excusant. J'avais cependant eu le temps d'apercevoir une toison abondante entre les cuisses et une poitrine dont je devinais la texture douce. Cela n'eut aucune conséquence sur ma libido mais, enfin, je savais comment une femme était faite. Lorsque je dis que cela n'a pas eu de conséquence, ce n'est pas tout à fait vrai. En effet, c'est à partir de là que les amies de ma mère, dans mon imagination, étaient surprises nues et peuplaient mes fantasmes masturbatoires. Loin de moi cependant l'idée de les toucher et encore moins de les déshabiller !! Qui sait cependant, avec le recul des années, si l'une ou l'autre d'entre elles n'avait pas eu envie de me déniaiser. Trop tard… À la fac, nous avions une fois par semaine, une séance de piscine. À tour de rôle, un enseignant nous accompagnait. Bien souvent c'était notre prof de psychologie qui se déclarait volontaire car elle adorait nager. Elle devait avoir quarante ans. Quasi toujours portant une jupe écossaise et un pull ou chemisier, elle avait des lunettes sur des yeux rieurs et une chevelure tirant vers le roux. Légèrement maquillée, elle n'était nullement sexy et mon inexpérience ne parvenait pas à deviner un corps sous ses vêtements. Elle s'appelait Véronique. À la piscine, elle portait un chaste maillot noir et veillait toujours à être à l'eau avant nous. Elle faisait calmement ses longueurs sans trop se préoccuper de nous. Un après-midi, j'étais le dos aux parois de la piscine, les jambes un peu repliées et les pieds au sol, lorsque ma prof, un peu essoufflée par ses longueurs de nage, vient se mettre à mes côtés. Elle glissa cependant sur le fond et, en se rattrapant, elle se retrouva collé à moi, presque assise sur mes genoux. Tout cela était bien involontaire. Je lui ai pris la taille pour la remettre d'aplomb. Elle était tout sourire et me dit : - Ah ! c'est vous. Albert. Excusez-moi, j'ai perdu l'équilibre. Heureusement que vous étiez là !! C'est alors que je me suis aperçu que je n'avais pas lâché sa taille et que dans mon slip, mon sexe réagissait avec vigueur. Ma prof Véronique ne pouvait ignorer cette protubérance puisqu'elle était quasi assise dessus !! Elle se détacha de moi, toujours souriante, mais avec dans le regard, une lueur que je ne connaissais pas encore et que j'ai eu tout loisir ultérieurement de découvrir auprès de toutes les femmes ayant un besoin d'amour. Elle continua ensuite à nager comme si de rien n'était. Revenu dans ma cabine, je n'ai pas pu résister à un long plaisir solitaire avec devant moi, en fantasme, ce corps de prof, évidemment inaccessible. Pendant la semaine, j'ai regardé Véronique autrement, mon plaisir était de me l'imaginer donnant son cours de psycho en maillot de bain !! Ah ! la jeunesse d'alors. Elle était du type déambulant, c'est-à-dire qu'elle nous parlait en circulant dans la classe. Je n'en étais pas certain mais je crois bien qu'à chaque passage, ses regards s'égarent vers mon entrejambe où j'entretenais furtivement une érection. Je ne savais même pas ce que c'était de draguer alors, une prof en plus… Je pouvais tout au plus rêver !! À la séance de piscine suivante, je me suis dépêché de me déshabiller pour être à l'eau avant elle. Je l'ai vu arriver et, sans me gêner, je l'ai regardé ouvertement. Sa poitrine serrée dans ce maillot laissait présumer une certaine abondance de bon aloi. Mon regard descendit vers cette entrecuisse, objet de toutes mes curiosités,…

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SAMEDI 10 DéCEMBRE 2005

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