Dans la voiture conduite par Véronique, ma prof de psycho de quarante ans, je voyais défiler devant moi les évènements de ces dernières heures et je sentais confusément que j'étais à un tournant de ma vie. La vue de Véronique nue, ses mains et sa bouche sur mon sexe, mes mains parcourant son corps, le mélange de nos langues étaient pour moi des sensations nouvelle, mais combien agréables. Je me disais que l'éducation stricte de mes grands-parents m'avait empêché d'accéder plus tôt à ces plaisirs. Je me sentais maintenant devenir un HOMME. Véronique, attentive à la circulation dense m'a peu parlé pendant le trajet assez court de la piscine à son appartement. Elle habitait un très coquet trois pièces au cinquième étage d'un bel immeuble ancien, à l'ascenseur poussif. Pendant la lente montée de celui-ci, je restais les bras ballants, n'osant prendre aucune initiative vis-à-vis de celle que je considérais toujours comme ma prof. Mon sentiment était complexe, mélangé de désirs, de crainte, de respect. C'est elle qui s'approcha de moi et me fit un gentil baiser sur la bouche, glissant rapidement sa langue mutine. C'était plus une promesse de plaisir qu'un véritable baiser d'amour. Mais, pour moi, ces moments étaient merveilleux. Elle me fit rapidement faire le tour de son appartement, me précisant au passage que depuis la séparation avec son mari, deux ans plus tôt, aucun homme n'était venu ici. Je n'ai pas osé lui demander si elle manquait d'homme depuis lors. Ce sont des questions qu'un étudiant novice et maladroit ne pose pas à sa prof !! Elle est venue d'elle-même se blottir dans mes bras et a reposé sa tête sur mon épaule, comme si elle avait besoin de protection C'était vraiment le monde inversé. Elle nous fit prendre une douche. La salle de bain était équipée d'une douche très largement dimensionnée, à multiples jets et avec parois transparentes. Je n'osais pas me déshabiller devant Véronique, encore retenu par un sentiment de pudeur. Elle ne se gêna pas et elle me dit, moqueuse : - Eh bien, mon grand, tu vas prendre une douche tout habillé ? Viens, je vais t'aider !! Une fois nu, Véronique, me prit la verge en main et m'entraîna vers la douche. Cette prof devenait de plus en plus coquine !!! Dire que je me souvenais avec précision de ses cours intéressants, de ses habits toujours classiques et discrets, de ses lunettes à fine monture !! Pourtant tout cela était loin de nos rapports présents. Elle ouvrit l'eau, régla la température et fit fuser les jets par les différentes pommes. Une buée se répandit sur les vitres et la cabine fut vite remplie d'une douce vapeur. Véronique empoigna un flacon d'huile pour la douche et se mit à la répandre son mon corps, et même sur ma raie fessière. Vous imaginez mon état. J'étais comme un ours blanc en savon !!!! Un peu fébrile, j'ai répandu sur elle aussi l'huile savonneuse et me suis mis à la caresser (c'est le mot !!) partout Partout Mais sans science ni expérience. Je n'osai pas trop m'attarder aux endroits sensibles de son corps. Ma main parcourut son dos, descendit à ses fesses et s'aventura entre celles-ci. Sensation curieuse d'y trouver un orifice dont j'ignorais encore l'attrait sexuel. Ses seins réagirent sous mes doigts et j'osai passer ma main entre ses jambes, sentant au passage cet endroit qui, j'en étais certain, allait devenir mon lieu de plaisir. Ma prof, se colla à moi et souda sa bouche à la mienne pour un baiser fougueux dans lequel je perçus tout l'attrait sexuel. Nos corps glissants de savon se frôlèrent l'un à l'autre et nos mains ne cessèrent de nous découvrir. Cela devint fabuleux. J'avais ainsi à moi, un corps de femme, nu et offert. Vite oubliée la prof, ne restait que la femme. Celle-ci joua avec mon sexe, le gland bien décapuchonné lui servant d'outil de caresse pour son entrejambe. Véronique gémit de ces contacts et moi, je ne pu me retenir. Ajoutant ma semence au savon mousseux qui nous recouvrait, je poussai un feulement de bête en rut. Dieu, que c'était bon ! Ma prof, tendue comme un arc, la tête en arrière clama : - Oh, je jouis Albert. Albert, que tu es fort Caresse-moi encore Reprend ma bouche, oui, comme cela ! C'était évidemment la première fois que je voyais ainsi une femme en réelle convulsion d'amour, tous
MERCREDI 14 DéCEMBRE 2005
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