APRÈS LE SKI

Salut, je suis Lili, jeune femme bisexuelle de 19 ans. Je suis partie pendant les vacances de février au ski seule avec ma copine. Apres avoir passé une bonne partie de la journée à skier (la neige était tres bonne), nous sommes rentrés à l'hôtel. Nous n'arrivions pas à nous décider pour savoir qui irait sous la douche la première, nous y sommes donc allé toutes les deux en même temps. Je dois reconnaître qu'une bonne douche après le ski est déjà un vrai plaisir, mais se faire en plus savonner et caresser par une copine, c'est presque le paradis. Ces ébats aquatiques nous ayant quelque peu échauffé, il nous semblait difficile de nous arrêter en si bon chemin. Je vous précise que je suis plutôt soumise sexuellement, j'aime qu'on me donne des ordres. Ma partenaire prend du plaisir à me dominer, donc tout va bien. Elle m'ordonna de rester nue, ce que je fis, et je m'assis sur le lit tandis qu'elle s'habillait (enfin, pas très habillée quand même : des bas, un string et un soutien-gorge, le tout noir). Elle me dit de m'allonger sur le lit, ce que je fis sans broncher. Elle sortit pendant ce temps de son sac un foulard et un rouleau de gros scotch marron, comme ce qu'on utilise pour faire les cartons. Elle s'approcha de moi et me noua le foulard sur les yeux, de telle façon que je ne voyais plus rien. Elle m'attacha ensuite au lit avec le scotch : elle enroula l'extremité d'un long morceau autour de mon poignet et attacha l'autre bout au lit de la même façon. Elle répéta la procédure pour mon autre poignet, puis pour mes deux chevilles. J'étais donc immobilisée (impossible de se délivrer seule quand on est attachée comme ça, j'ai deja essayé…), dans une posture qui était un véritable appel au viol. Elle vérifia que j'étais bien attachée, puis fis quelque chose à laquelle je ne m'attendais pas du tout : elle décrocha le téléphone, composa un numéro et attendit. Une voix ne tarda pas à lui répondre. Elle dit simplement ces quelques mots : - C'est bon, tu peux venir… Puis elle raccrocha. Je commencai à protester, disant que la moindre des choses avant de faire participer quelqu'un à nos ébats était d'en discuter toutes les deux. Je n'avais peut-être pas envie de me montrer nue devant n'importe qui, encore moins sans avoir été présenté. Tandis que je continuais à protester, elle s'approcha du lit, m'enfonca un doigt dans le sexe tout en pressant son pouce contre mon clitoris. Elle commençait à connaitre mes points faibles et, au fur et à mesure qu'elle me caressait de son pouce, mes jérémiades se transformèrent en halètements de plaisir. Elle prit alors la parole : - Je suis ta maîtresse, ne l'oublie jamais. - Oui, d'accord… - Promets-moi de ne jamais l'oublier, me dit-elle en relachant la pression de son pouce. - Oui, je te le promets mais continue s'il te plait… - J'invite qui je veux. N'oublie pas ce que tu es. - Oui, fait ce que tu veux, je t'obéis, je suis ta chose… - Non tu n'es pas ma chose. Tu es une salope et ce que je te demande, n'importe qui pourrait te le demander et tu le ferais, n'est-ce-pas ? Dit elle en rajoutant un deuxième doigt en moi. - Oui, je suis une salope, fais-moi jouir, je suis une vraie salope… - D'accord, mais ne prononce plus un mot à partir de maintenant. Elle continua ses attouchements et me fit jouir assez rapidement. Elle me caressait les seins depuis cinq minutes lorsqu'on frappa à la porte. Elle se leva pour aller ouvrir. La personne entra sans dire un mot, puis ferma la porte. J'entendis ma copine l'aider à se déshabiller. Était-ce un homme, une femme ? Aucun indice ne me permettait de l'affirmer. Cette personne defit le soutien-gorge de ma copine et lui enleva ses bas (je l'avais déjà assez souvent fait moi-même pour en reconnaître le bruit…). J'entendais leur peau se frotter tandis qu'ils se caressaient et j'avais très envie de participer, mais ma copine m'ayant ordonné de me taire, je n'osais prononcer un mot. Ils se séparèrent bientôt et s'approchèrent du lit. L'un se positionna au pied, l'autre monta sur le lit, plaçant un genoux de chaque côté de moi. Une langue commença à me chatouiller le sexe : la personne au pied du lit avait commencé à s'activer. Ce qu'on me fourra dans la bouche ne me laissa plus aucun doute sur le sexe de…

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JEUDI 25 MAI 2006

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