Les aventures de spartanus i

Spartanus était né en Thrace, une région pauvre située au nord de la Grèce. Très jeune, il était devenu un baiseur de première. Il était bâti comme un taureau et portait continuellement une petite tunique moulante pour mettre un valeur ses parties génitales avantageuses. Toutes les femmes désiraient fortement partager sa couche. Il aimait tant la sodomie qu'on l'avait appelé ainsi. Spartanus. Un jour, alors que notre héros était en train d'enculer une bergère, deux soldats romains passèrent dans le coin. En effet, les légions romaines s'étaient emparées de la région quelques années auparavant. Néanmoins. Spartanus ne s'intéressait pas à la politique. Tant qu'il trouvait des gens à sodomiser, il était heureux. Et il faisait tant d'efforts pour élargir l'orifice anal de sa petite bergère que cela donna une idée à l'un des deux soldats. Il murmura à son camarade : - Dis voir, tu penses comme moi ? On pourrait se faire un joli paquet de pognon. - On profite qu'ils sont occupés pour voler les moutons de la bergère ? - Mais non, qu'elle les gardes ses moutons. Allons, réfléchis donc ! - On attend que le mec soit parti et on saute la bergère à notre tour ? - Non ! Enfin, oui aussi si tu veux. Mais tu ne vois pas comment on pourrait se faire du blé ? Regarde comme ce type est robuste. Capturons-le et vendons-le comme esclave. Je suis sûr qu'on pourra en tirer un bon prix. Spartanus était plus doué pour les acrobaties que pour le combat. Aussi fut-il rapidement neutralisé, tandis que sa conquête s'enfuyait à travers les champs. Quelques semaines plus tard, le pauvre homme était exposé dans un marché d'esclaves en Sicile. Il n'y resta pas longtemps car dès le premier jour, un homme important le remarqua. C'était le propriétaire d'une école de gladiateurs. - Cet homme est bien constitué. Il fera un excellent combattant. Combien en veux-tu, marchand ? Au risque d'être châtié, le fier étalon adressa la parole à son futur maître. - Seigneur, tu te trompes sur mon compte. Je ne sais pas me battre. Ma spécialité, c'est de m'occuper des jeunes femmes. Je n'ai pas mon égal pour leur faire leur affaire. Nullement agacé par l'intervention du Thrace, l'acheteur répondit sèchement : - Allons, tu ne sais pas te battre ? Ne t'en fais pas, tu apprendras ! La prophétie de l'homme influent ne se réalisa pas. Spartanus était une lavette, une nullité avec un glaive ou toute autre arme. Son seul intérêt dans la vie était toujours d'enculer tout ce qui se trouvait sur son passage. Toutes les servantes y étaient passées, de même que les esclaves. Il eut des ennuis lorsqu'il s'attaqua à un gardien. Alors que les gladiateurs regagnaient leur cellule. Spartanus, qui était le dernier, sauta sur le gardien, lui mit la main sur la bouche et le poussa par terre. Ne pouvant croire qu'il se faisait attaquer par un tel mollusque, le gardien eut un temps de réaction terriblement lent, ce qui suffit à son agresseur pour lui soulever sa jupette et se mettre à s'astiquer le manche. L'homme à terre se retourna et fut très surpris, car il s'attendait à voir l'autre brandir une arme au-dessus de lui. Au contraire, le gladiateur lui souriait et lui dit : -Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Je vais m'occuper de ton joli petit cul. En effet, tout se passa très bien pour le gardien. Par contre. Spartanus reçut cent coups de fouet et réussit à retenir ses pulsions concernant les gardiens car il avait tout de même un instinct de survie. Son maître finit par le convoquer. Le gladiateur en herbe tremblait de tous ses membres. Était-ce la fin ? Il fallait qu'il supplie le Romain de lui laisser encore une chance. Celui-ci prit la parole : -Spartanus, tu me déçois beaucoup. Tu ne sauras jamais te battre. Je ne sais pas ce que je vais faire de toi. Tu ne rentabilises même pas la nourriture que je t'offre généreusement. La seule façon que je vois de ne pas avoir fait la plus mauvaise affaire de ma carrière en t'ayant acheté, c'est de te jeter aux lions, en espérant que tu opposes un minimum de résistance, ce dont je me permets de douter. Spartanus brûlait d'envie de répondre, mais il était trop honteux et inquiet pour avoir l'impertinence d'ouvrir la bouche. Toutefois, son maître, qui n'était pas un si mauvais bougre, comprit que son pitoyable élève mourrait d'envie de s'exprimer. - Par Jupiter. Spartanus, parle si tu as une idée. Moi je ne sais plus que…

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DIMANCHE 26 FéVRIER 2006

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