BAIN DE MINUIT AVEC VIERGE

Ce soir-là, nous étions partis nous balader au bord de la mer, comme nous en avions l'habitude depuis l'arrivée de Chloé pour les vacances, une dizaine de jours auparavant. Chloé avait dix-neuf ans, des cheveux châtains mi-longs et un visage très doux qui contrastait avec son corps aux formes voluptueuses. À cette époque, j'en avais vingt-quatre. Bien que Chloé fut plus jeune, j'avais du mal à résister à sa beaute naturelle ainsi qu'à son côté sexy, mis en valeur par des tenues généralement assez courtes. Après avoir bu un pot dans un café près du port, nous avons decidé de revenir par la plage. Il était environ minuit et le chemin était assez long. Au bout de quelques minutes. Chloé s'arrêta net pour me demander : - Tu veux pas qu'on se baigne ? J'eus un instant d'hésitation car je voyais bien qu'elle n'avait pas de maillot et moi non plus. - Oui, je veux bien mais on n'a pas de maillots. - Ben, si on garde nos sous-vêtements, c'est bon ? - Okay ! Nous nous sommes avancés vers un endroit isolé, au bord d'une digue et j'ai commencé à enlever mes vêtements. Chloé, qui semblait si sûre d'elle tout à l'heure, fut un peu gênée, comme si elle réalisait que sa proposition n'était pas si légère. Elle ôta doucement son body et sa jupe. Elle portait des sous-vêtements de coton blanc, qui semblaient un peu trop petits, ce qui donnait l'impression que ses chairs ne demandaient qu'à s'exhiber à mon regard. Malgré les interdits que la morale aurait du m'imposer, je ne pus m'empêcher de poser mes yeux sur ses jambes et sa culotte. Sa peau avait cette blancheur naturelle qui donne envie de la caresser. Elle se retourna et à mon grand plaisir, elle quitta son soutien-gorge. Tandis qu'on entrait dans l'eau, j'eus tout mon temps pour observer son dos, la courbe de ses reins. Puis elle se tourna vers moi, en souriant avec une innocence qui me ramena un peu à la réalité. Ses mamelons étaient adorablement mis en valeur par la pleine lune et le reflet des lampadaires sur la mer. Nous avons nagé et joué dans l'eau un moment puis je suis sorti en premier. Mon caleçon était devenu transparent avec l'eau et laissait voir mon sexe déjà légèrement excité. Chloé sortit de l'eau quelques instants après. Sa culotte mouillée ne cachait pas plus son sexe que mon caleçon. Elle s'avanca vers moi lentement et mon regard se posa sur sa petite touffe avec tellement d'insistance qu'elle eut le réflexe de la cacher en posant sa main dessus. Mais en même temps, je pus noter qu'elle avait les yeux collés sur ma bite, sûrement parce que je ne pouvais plus m'empêcher de bander devant un si beau spectacle. C'est à ce moment que j'ai décidé d'enlever mon caleçon et de m'approcher d'elle. Elle ne recula pas. Elle semblait comme hypnoptisée, son doux regard toujours posé sur mon sexe qui durcissait de plus en plus dur. Elle me dit alors : - Attends, on va faire une bêtise là ! J'ai continué à avancer avant de prendre un de ses seins dans ma main. - Arrête ! Tu sais, j'ai jamais fait l'amour ! Cet aveu m'étonna car elle venait de m'avouer, la veille, qu'elle prenait la pillule depuis quelques semaines, en prévision de ses éventuelles rencontres. - Tu voudrais que je sois le premier ? -… Elle ne répondit pas. De toute façon, j'en avais déjà trop fait ou pas assez. Je l'ai donc entouré de mes bras, très doucement, en serrant fort son corps contre le mien. Elle ne résista pas. Sa culotte toucha mon sexe et je sentis son souffle chaud sur mes lèvres. Je répétai ma question : - Chloé, dis moi, j'ai envie de toi, donne-toi à moi ! J'étais fou, j'avais perdu tout mon contrôle. Mais je sentais qu'elle allait céder. Elle hésita encore puis elle me répondit enfin, en deux mots : - Vas-y. Sans attendre, je me mis à parcourir son cou de baisers, puis ses seins. J'avais envie de masser son corps, de le palper, de l'embrasser. Elle était presque immobile, debout, complètement abandonnée. Je me baissai encore un peu, jusqu'à ce que mon visage soit en face de cette culotte que j'avais irrésistiblement envie d'ôter. Une envie tellement forte que je la baissai presque violemment, pour voir apparaître sa chatte abondante, à portée de mes lèvres. Sa taille était fine mais elle avait des hanches larges et une toison de poils châtains qui débordaient entre ses cuisses. Je la tirai par les bras

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SAMEDI 15 AOûT 2009

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