BAL À BONNIEUX 2

Lorsque Nicolas se poussa de devant moi, la première chose que je vis, fut le sexe d'Armand planté entre mes cuisses. Ce fut un choc car il était encore plus épais que ce que j'imaginais et je sentis un orgasme fulgurant, soudain me submerger. J'eus beau vouloir y résister, rien n'y fit, tout mon corps se mis à trembler, tandis que mon ventre et mes cuisses étaient pris de contractions et de relâchement successifs. Mon orifice vaginal faisait de même et Armand en profita. Prenant appui sur ses bras tendus, il s'arc-bouta et profita d'une phase de relâchement pour se planter profondément en moi. Je me sentis si dilatée, si forcée, si profondément pénétrée que je poussai un râle de bête et encerclai de mes bras le torse d'Armand. Tout mon corps vibra au contact du sien et je jouis en chialant. Je ne sais pas pourquoi mais je ne m'étais pas sentie aussi bouleversée depuis longtemps et je m'entendis lui dire à l'oreille en sanglotant : - Ah ta queue ! Ta queue ! Elle me rend folle. Ce n'est pas possible. Et je m'interrompis car un nouvel orgasme montait en moi, si violent qu'il m'empêchait de parler. Je ne comprenais pas pourquoi je jouissais si vite et si fort. Oui bien sûr il avait un sexe épais, mais j'en avais connu d'autres qui ne m'avaient pas fait cet effet. Il n'avait même pas pu m'exciter par son endurance puisque j'avais joui quasiment avant même qu'il n'amorce réellement un va-et-vient. Qui plus est, quelques minutes plus tôt je le trouvais vraiment moche et peu attirant. Mon opinion n'avait pas changé à son sujet mais je réalisai soudain que c'était peut-être là la cause de ce plaisir violent tout autant qu'innatendu. La honte que j'éprouvais à savoir que j'allais aimer le gros sexe de ce type moche et bedonnant, avait curieusement amplifié mon plaisir ! Et je me souvins alors que j'avais déjà ressenti d'intenses orgasmes dans des situations semblables. Celà m'avait paru curieux mais je ne m'étais pas interrogée davantage. Mais là, avec Armand, l'explication venait de s'imposer à moi ! Je n'avais pas su pourquoi j'avais parfois joui si fort avec des hommes pour lesquels je n'éprouvais aucune attirance. Je n'avais même pas cherché à savoir. Mais l'explication s'imposait d'elle même. Je n'étais qu'une salope pour laquelle seule la bite compte ! Si je n'avais jamais cherché à savoir auparavant, c'était par une sorte d'amour propre, d'estime vis-à-vis de moi, mais là, je ne pouvais me dérober davantage à la réalité. J'étais belle et bien une salope ! Plus cette idée s'imposait à moi, plus je jouissais sous les coups de boutoir du pieu d'Armand. J'en hurlais, j'en chialais, j'en griffais les draps, mais je ne résistais plus du tout. Je gardais même les cuisses largement ouvertes afin qu'il me prenne complètement, bien à fon ! Ce salaud ne s'en privait d'ailleurs pas et prenant appui sur ses bras, il se soulevait à chaque va-et-vient, et me plantait à chaque fois sa grosse bite de tout son poids, si fort que son gros ventre venait claquer contre l'intérieur de mes cuisses, et écraser mes lèvres meurtries d'être trop dilatées, trop ramonées. Mon clitoris, tendu par l'excitation, n'échappait évidemment pas à cette stimulation brutale, ce qui faisait naître dans ma vulve, des sensations d'une violence incroyable, une violence qu'il m'était peu souvent donné d'éprouver aussi intensément. Mais le plaisir physique n'était pas seulement situé là. En effet, une sensation plus rare encore, plus profonde, venait s'y ajouter, celle de son sexe cognant au fond de mon vagin, au fond de mon ventre. Et cette sensation là était d'une intensité au moins aussi forte que celle de ma vulve dilatée. L'énorme membre d'Armand était aussi raide qu'un pieu maintenant et son gros gland martelait le fond de mon sexe, cognant et bousculant mon col utérin, d'où partaient d'autres ondes de plaisir. C'était quelque chose de fou ! Je délirais vraiment de plaisir et haletais au poing d'en manquer parfois de souffle, comme si j'étouffais. Nicolas, qui observait la scène avec un air à la fois satisfait et quelque peu stupéfait, s'était approché tout près de mon visage. Entre deux spasmes de plaisir, je vis son visage ravi et l'entendis me dire : - Tu prends ton pied, hein toubib ! Je te l'avais dit. Tu en as plein le garage à bite là, hein ? Tu t'en fous là qu'il soit gros et moche. À ces…

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SAMEDI 7 OCTOBRE 2006

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