TOUT SUR MA BELLE-MÈRE 1

Il y a quelques mois, alors que ma femme Marine était en déplacement pour deux jours dans le sud, je reçus un appel de ma belle-mère Evelyne, venue à Paris passer quelques jours chez son amie Bénédicte. - Alain, on a un problème. La chaîne hi-fi de Béné ne fonctionne plus depuis ce matin. Tu pourrais passer y jeter un coup d'œil ? - Oui, attends, je regarde mon planning. Écoute, je peux passer vers 18h, après mon travail. Marine est absente, j'ai tout mon temps. - Super, on t'attend. Si tu veux, tu mangeras avec nous. - L'affaire est faite ! L'idée de dîner avec ma belle-mère et son amie ne m'enthousiasmait pas plus que cela, mais bon, ce serait toujours mieux que d'être seul, et, au fond, leur compagnie n'était pas si désagréable que cela. Ma belle-mère, malgré ses 48 ans, pouvait se targuer d'en paraître 40 car c'était une petite femme aux cheveux très noirs. Harmonieuse, avec de très belles jambes, elle était vachement élégante, quoique rarement sexy, ce qui lui aurait pourtant été facile, étant donné son buste ferme, généreux et sa chute de reins affolante. Son amie Bénédicte, célibataire endurcie, de 9 ans sa cadette, était un peu plus grande mais aussi plus commune. Toutefois, lors de notre première et unique rencontre, je ne l'avais pas trouvée si mal, enserrée dans un jean et un sweat-shirt. Aussi, c'est sans a priori particulier que je quittai mon travail cet après-midi là, bien plus tôt qu'à l'habitude, vers 15 heures. À mon arrivée, trouvant la porte d'entrée de l'immeuble mal fermée, je m'introduisis sans sonner et montai les escaliers, me risquant à leur faire une surprise. En arrivant devant la porte de leur appartement, la surprise fut toutefois pour moi en entendant des cris qui venaient de l'intérieur. M'inquiétant, je frappai lourdement, ce qui fit redoubler les cris. N'écoutant que mon courage, j'ouvris la porte qui n'était pas verrouillée et me précipitai à l'intérieur, pensant les sauver de quelque malfaiteur. Passant au pas de course dans les pièces en enfilade, j'arrivai à la chambre où j'aperçus les deux femmes courir vers la salle de bain, toutes les deux nues comme à leur premier jour. Incrédule d'avoir ainsi vu la face arrière de deux femmes que je connaissais mal, je m'assurai de ne pas avoir rêvé lorsque mon pied heurta un tas de vêtements déposés là, à la hâte. Tout en haut traînait négligemment une petite culotte de coton rouge, ce qui me ramena sur terre, un petit sourire en coin. Quelques instants plus tard, les deux amies sortirent de la salle de bain, toutes deux vêtues seulement d'un peignoir chinois en soie. Tous les sens en éveil, je leur fis la bise à chacune pour les saluer. L'air gêné, Bénédicte me demanda : - Excuse-nous, j'espère que nous ne t'avons pas trop effrayé. - Surtout par le spectacle que nous t'avons donné, ajouta Evelyne. - Ne vous inquiétez pas, je n'ai rien vu qui aurait pu me heurter. S'ensuivit un silence gêné et la seule diversion qui me vint à l'esprit fût de demander : - Bon, cette chaîne hi-fi, qu'a-t-elle ? Bénédicte la désigna du doigt, elle était posée à même le sol, contre un mur de la chambre. Sa propriétaire m'expliqua que le lecteur de CD ne fonctionnait plus. Je me saisis donc de l'appareil, l'emmenai sur la table de la salle à manger, et me mis à l'œuvre. Pendant que je travaillais, ma belle-mère vint s'asseoir en face de moi et me regarda opérer avec précision. Après trois quarts d'heure, je rebranchai le lecteur et pus en extraire le CD. Le titre de la compilation me remémora mon entrée fracassante dans l'appartement, il s'agissait de «Sensual moments», sans doute un disque de musique douce, particulièrement indiqué lors de certaines activités peu avouables. Je le remis donc dans la machine, que je ramenai dans la chambre. Je refis toutes les connexions et appuyai sur la touche «lecture». Une musique très douce se fit entendre, ce qui me conforta encore dans l'idée que je m'étais faite sur l'envie furieuse des deux amies de s'envoyer en l'air. Elles m'avaient rejoint et souriaient en me remerciant de mon travail. - C'est génial, me dit Evelyne, mais tu as travaillé si vite qu'il est beaucoup trop tôt pour le dîner, maintenant. Qu'allons-nous faire d'ici-là ? J'étais sur le point de suggérer d'aller manger une glace dehors quand ma belle-mère reprit la parole : - De toutes façons, on doit te remercier. Déshabille-toi. J'étais surpris par le ton direct et sans équivoque mais…

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DIMANCHE 22 JUIN 2008

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