TOUT SUR MA BELLE-MÈRE 2

Le programme me convenait et je m'appliquai donc immédiatement à la tâche. Je m'étendis entre les jambes de ma partenaire désignée et, en lui embrassant les seins, je guidai d'une main mon sexe dur comme de la roche vers sa fente. Lorsque je la pénétrai, elle laissa échapper un petit «han !» qui se termina dans un soupir d'aise. Je m'enfonçai en elle tandis que ma belle-mère s'était installée à nos côtés et commençait à se mettre un doigt puis deux dans la chatte. Lorsque mes couilles vinrent buter contre le con de Bénédicte, cette dernière m'encouragea crûment à lui faire l'amour : - Vas-y mon grand, pilonne-moi, fais moi hurler. Vas-y, baise-moi, je suis à toi ! Ne me faisant pas prier, je me déplaçais en elle d'avant en arrière, au rythme régulier de ses gémissements. Variant les plaisirs, je m'enlevai puis me couchai sur le dos, invitant ma partenaire à chevaucher mon membre. Elle comprit vite ce que j'attendais d'elle et vint s'installer rapidement au-dessus de moi. Ses seins étaient penchés vers moi et mes mains les caressaient tandis qu'elle s'employait à faire rentrer mon gland brûlant de désir dans sa petite grotte de plaisir. Une fois certaine de sa position, elle se laissa tomber d'un seul coup, s'empalant ainsi violemment sur ma queue. À son tour, elle commença un mouvement de va-et-vient qui lui fit prendre son pied très rapidement dans une série de petits gémissements ardents. Ma belle-mère, qui semblait compter les points, me gratifia d'un long baiser langoureux tandis que sa copine, qui avait toujours ma bite au fond du ventre, se remettait de son orgasme. Bénédicte finit par descendre mais je la retins sur le lit, où elle se mit à quatre pattes. Sa chatte luisante invitait à l'action et je n'attendis pas plus longtemps avant de me remettre à l'ouvrage. Saisissant ses cuisses dans mes mains, mes coups de boutoir semblaient la faire décoller et des petits cris de plaisir marquaient le succès de mon entreprise. Le second orgasme de Bénédicte était bien en route et il ne lui fallut pas très longtemps pour hurler sa jouissance à nouveau. Alors qu'elle reprenait son souffle, toujours à quatre pattes sur le lit, une idée me vint et, extrayant mon sexe plus dur que jamais et bien lubrifié par la cyprine de la salope qui m'offrait sa croupe accueillante, je passai ma main sur sa moule dégoulinante et enduisis son petit trou de ce liquide. Je la sentis se raidir lorsqu'elle comprit mon initiative mais Evelyne, qui jouait mon jeu, l'immobilisa en me disant : - Rappelle-toi notre marché : plus de trois orgasmes et je suis à toi. Toute à toi ! Aussi, revigoré par cette perspective, j'écartai bien les fesses de ma partenaire et pressai mon gland contre son anus. Elle finit par céder et lorsque ses muscles se relâchèrent, je pus m'introduire doucement dans son intimité. Son visage traduisit la douleur quelques instants, puis le plaisir causé par mon intrusion dans son anus si sensible lui fit pousser à nouveau des gémissements préfigurant ce qui allait se passer. Son langage devint de plus en plus cru au fur et à mesure que son plaisir augmentait : - Vas-y, défonce moi, encule-moi encore, plus vite… Sous ses encouragements, mon ventre venait claquer de plus en plus fort contre ses fesses et ses cris se muèrent peu à peu en hurlements. Ainsi, le troisième orgasme de l'après-midi s'annonça par des tremblements puis par un long cri qui s'acheva presque en larmes de plaisir. Après m'être extrait de son petit cul confortable. Evelyne et moi nous dirigeâmes en vitesse vers la douche, où, après m'avoir lavé, ma belle-mère me suça à nouveau. Bénédicte nous attendait étendue sur le lit, impatiente de recevoir ma semence. Lorsque je fus sur le point de jouir, je retournai auprès de celle que je venais d'enculer frénétiquement et elle me branla encore quelques instants avant que je ne répande une grande quantité de sperme sur son visage, dans ses cheveux et sur le reste de son corps. Elle suça les dernières gouttes de foutre qui sortirent de ma queue puis se caressa le corps pour étendre la crème que je lui avais fait gicler sur la peau. Tandis que Bénédicte se dirigeait à son tour vers la douche. Evelyne m'embrassa à nouveau et me promit : - À nous deux, maintenant. Je vais te faire voir des étoiles, mon petit. En attendant que je regagne une certaine composition, elle me prodigua un petit massage qui aida ma…

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MERCREDI 16 JUILLET 2008

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