MA BELLE-MÈRE ADORÉE

Cela a débuté quand j'avais 40 ans environ. J'en garde depuis un souvenir très agréable. Je me suis séparé de ma femme quelques années après mon mariage. Mais j'avais gardé d'excellentes relations avec ma belle-mère ( 56 ans ) comme vous pourrez le constater. Plutôt petite, plus que dodue, elle camouflait des formes généreuses sous des vêtements amples et peu seyants. Le dimanche, elle allait à la messe et fréquentait une certaine bourgeoisie aux m urs austères. Ce 31décembre, j'étais invité au réveillon. Il y avait beaucoup de monde, mon beau-père avait emmené sa pin-up de secrétaire au grand dam de ma belle-mère qui m'installa à table près d'elle. Pendant le repas, nos mains se rencontrèrent, ses doigts agiles jouaient avec les miens, son pouce me caressait la paume avec une certaine sensualité. Quand je mis ma main sur son genou, elle ne la repoussa pas, au contraire, elle la conduisit sur sa cuisse. Je m'aperçus qu'elle portait des bas quand j'atteignis la peau douce des cuisses que je caressai doucement. À ma grande stupeur, elle posa sa main sur ma braguette et caressa mon sexe raide à travers le tissu. À minuit, quelqu'un éteignit les lumières et elle en profita pour accentuer sa caresse, saisissant la tige à pleine main et la masturbant carrément. Nous fîmes tous un v u et la soirée continua sans autres évènements particuliers à signaler. Un samedi de janvier, ma belle-mère me demanda de la conduire en voiture aux grands magasins pour les soldes. Elle m'avait confié depuis peu un jeu de clefs de leur appartement en me disant de venir quand je voulais, que je serais toujours le bienvenu. Je ne sais pas pourquoi ce matin là, j'arrivai un plus d'une heure avant l'heure prévue. Il n'y avait personne, sauf dans la salle de bains où j'entendis l'eau couler. Je m'éclipsai et entrai dans la chambre de mes beaux-parents. Ses vêtements étaient soigneusement étalés sur le lit. Ma belle-mère portait des dessous classiques, j'avais deviné qu'elle avait de gros seins, mais 120 D je ne l'aurais jamais cru ! Le slip était en dentelles mais de taille imposante vu ses grosses fesses que je trouvais d'ailleurs fort à mon goût. Je dois avouer que j'aime les femmes dotées de très gros seins, avec un cul en proportion. J'entendis des pas et me réfugiai dans le placard dont je laissai la porte entrouverte. Elle déboutonna sa robe de chambre qui tomba à terre. Son mari la traitait souvent de grosse dondon ( il était de notoriété publique qu'il couchait avec sa secrétaire de 20 ans au physique de top-model). C'est la première fois que je voyais ma belle-mère nue : elle était plus que dodue mais ses formes hyper plantureuses m'excitaient beaucoup. Ce qui me surprit le plus, ce fut sa toison. Celle-ci était constituée de mèches longues qui bouclaient naturellement. Elle se mit face à la glace, me permettant d'admirer ses fesses larges et grasses, certes disproportionnées par rapport à sa taille mais bien en rapport avec ses cuisses fortes. Elle brossa soigneusement sa toison touffue et fit à l'aide d'un peigne des boucles parfaites. Ensuite elle dégagea les grosses lèvres de sa chatte ainsi qu'un clitoris de belle taille qu'elle s'amusa à caresser avant d'ouvrir complètement sa fente rose qu'elle contempla, pensive. Puis, elle tourna le dos à la glace, écarta ses grosses fesses et contempla sa rosette rose avec un air de plus en plus pensif. Elle prit ensuite son sein gauche à deux mains et en porta la pointe à sa bouche et suça avec un plaisir évident, elle continua avec l'autre sein. Quand elle eut terminé, les pointes longues et fines dardaient, excitées. Elle regarda la pendule et dit à mi-voix : il ne sera pas là avant une vingtaine de minutes. Elle souleva le matelas et sortit un vibromasseur d'une dizaine de cm de long. Elle le prit en bouche, le suça comme un sexe d'homme et se penchant en avant pour l'enfoncer dans son anus et le mettre en marche. Ses grosses fesses s'étaient refermées, emprisonnant complètement l'objet profondément enfoncé. Elle marcha de long en large, appréciant ce massage intime et profond. Elle l'ôta et se parfuma abondamment tout le corps, un parfum sentant la cannelle et la vanille. Elle s'habilla lentement, emprisonnant sa fabuleuse poitrine dans un soutien-gorge prêt à craquer, mit ses bas lentement et les agrafa très haut à l'aide d'un porte-jarretelles grenat. Elle enfila sa culotte en

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SAMEDI 6 JUIN 2009

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