LA BITE DU MAGHRÉBIN

Je me prépare à sortir en boîte, et après un dernier coup d' il au miroir, je souris, satisfait de mon allure sexy. La nuit est déjà entamée et dehors, la ville brille de tous ses feux. Les gens affluent dans la rue que j'emprunte à pied, marchant lentement dans l'obscurité parsemée des multiples lumières de Paris. Une fois arrivé dans l'un des bars les plus hot du Marais, je me précipite vers les toilettes, me soulageant d'un air candide, remarquant à peine le type qui vient d'entrer. Alors que je remonte la fermeture éclair de mon pantalon de cuir, le bruit de la machine à condom retentit, attirant mon attention sur un militaire se tenant devant les lavabos. Il me sourit et il disparaît aussitôt, me laissant seul dans la pièce. Intrigué, je le prends discrètement en filature et une fois à l'extérieur, je le surprends à sucer un autre soldat, un Arabe au crane rasé, adossé au mur de la ruelle. Ça ne traîne pas ici, me dis-je. Un préservatif aux chiottes et hop dehors, une belle et bonne bite à sucer qui attend sagement ! En les voyant ainsi, l'un avec le froc baissé, l'autre avec une verge en bouche, je souris jusqu'aux oreilles, sentant ma queue se durcir dans mon falzar et réclamer son dû. Ils m'ont vu certes, mais ils ne semblent pas s'en formaliser outre mesure Une invitation ? La bite du Maghrébin est tout simplement énorme, un exquis mastodonte de chair que je me fais un plaisir de pomper. Mais alors qu'il va gicler, il se retire afin d'enfiler le condom que le Black lui tend d'un air béat. Il se branle vigoureusement tout en penchant le Black vers l'avant, de manière à lui dilater le fion. Sa verge est dure et presque aussi grosse que celle de l'Arabe mais davantage allongée. L'introduction de son membre dans ma bouche me fait presque gicler et je m'applique à le sucer et à le branler tout en lui massant les bourses lascivement. Le Maghrébin le tronche vertement, à grands coups rapides, s'enfonçant jusqu'au frein et gémissant d'un plaisir qui semble augmenter à vue d' il. Pourtant, il s'arrête subitement et il me laisse sa place. Son cul est trop accueillant et je prends un plaisir pervers à insérer ma bite entre ses fesses rebondies. L'Arabe est maintenant agenouillé devant le Black, lui tenant les burnes et le regardant de ses grands yeux marrons. Il lui intime d'éjaculer en le branlant doucement et en se goinfrant de sa queue dans la bouche. Chacun de mes coups de reins semble l'amener toujours plus près du nirvana et dans un dernier élan, je sens ma queue exploser en des spasmes orgasmiques. Le Black gicle aussi, arrosant la bouche entrouverte du Maghrébin qui semble s'en délecter grave. Moi et mon nouveau copain black nous agenouillons afin de déguster le geyser de ce joli brunet qui n'attendait sûrement que de belles bouches avides pour jouir comme un dingue. Mais la ruelle est sombre et les amis militaires de mes amants occasionnels ont tout vu. Voilà donc que s'amène le contingent au grand complet. Ils sont six de plus. J'avoue qu'à ce moment précis, mon sang n'a fait qu'un tour. Je n'étais pas préparé à me prendre autant de bites dans le cul en même temps. Mais les deux rigolos ne semblent pas s'inquiéter et le savoureux Maghrébin attrape le premeir soldat, lui met la main au paquet et nous voilà reparti de plus belle, des bites gonflant plein la bouche, nous paluchant comme des fous, nous tronchant la rondelle sans le moindre scrupule. À un moment, j'ai l'impression que mon anus déborde tellement ça me jute là dedans. J'ai la raie des fesses complètement inondé, le visage couvert de foutre de tous ces mecs virils et machos, et je suis étendu sur le sol, mon froc sur les chevilles, la bite molle, les cuoilles lessivées. Pour moi, c'est çâ la preuve d'une nuit réussie. Nos numéros échangés, nous nous sommes finalement permis quelques danses avant de retourner chacun chez-soi !

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DIMANCHE 26 SEPTEMBRE 2010

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