Bourgeoise nympho et mari voyeu...

Il y a quelques jours, Béatrice est passée chez moi. Elle était seule et sans son mari, cette fois. Elle avait un petit cadeau pour moi : des photos faites par son mari où l'on me voit en train de baiser avec elle. Découvrir cette série de clichés pornos et me souvenir de cette soirée passée avec Béatrice m'ont aussitôt fait bander. Je me suis rappelé le goût de sa chatte qui mouillait abondamment sur ma langue, la facilité avec laquelle j'avais pu la sodomiser, ses cris de plaisirs et ses gémissements pendant que ma queue la pistonnait par tous ses orifices. Je me suis rappelé cette folle nuit où je l'avais prise à plusieurs reprises, baisée, sodomisée sans la moindre douceur, encouragé par des râles qui me suppliaient d'y aller encore plus fort. Pendant que je contemplais la série de photos, Béatrice m'a demandé : -«Alors ? Qu'est-ce que tu en penses ? Comment tu nous trouves ?» Au même moment, sa main s'est posée sur mon genou puis elle l'a remontée lentement vers ma braguette. Béatrice s'est mise à sourire dès qu'elle a senti que je bandais. Elle m'a massé et branlé, satisfaite de ma réaction devant ses photos puis elle m'a murmuré : -«J'ai juré à mon mari de ne jamais baiser avec un autre, sans qu'il ne soit là. Mais une pipe, ça ne compte pas ! Ca, je peux le faire, j'y ai droit.» Béatrice s'est aussitôt levée de son siège et s'est agenouillée devant moi. Elle m'a fait écarter les cuisses et a ouvert ma braguette avec ses doigts fins et vernis. Je bandais tellement qu'elle a eu du mal à extraire ma queue de mon slip et à la libérer entièrement. Béatrice a décalotté mon gland et elle a commencé à me branler avec douceur. Puis, elle a levé la tête vers moi pour me dire : -«Si les photos t'inspirent tant, regarde-les encore pendant que je te suce.» Et ses lèvres se sont refermées sur ma queue tandis que ses doigts pressaient ma bite à la base et malaxaient mes couilles. Quelques minutes plus tard, je jouissais abondamment et violemment… Béatrice a remis ma queue dans mon slip, refermé ma braguette et s'est redressée pour m'embrasser sur la bouche. En riant, elle m'a lancé : -«Moi aussi, j'ai très envie de baiser mais j'ai juré. Je vais rentrer chez moi et me branler avec un god. Si tu en as envie, on pourra faire d'autres photos avec mon mari. Là, tu pourras me prendre encore.» Elle m'a embrassé une dernière fois puis elle est repartie. Il faut maintenant que je fasse un petit retour en arrière et que je vous explique dans quelles circonstances ces photos ont été prises. Je suis serveur de bar. C'est un métier fatiguant mais très agréable qui me permet d'être en contact avec beaucoup de gens et surtout, compte tenu de la situation du bar, avec de jolies filles pour la plupart jeunes et étudiantes à Montpellier. Et il arrive que, certains soirs, ces petites nymphettes n'aient pas du tout envie d'aller se coucher seules. Le fait d'être resté célibataire me laisse une grande liberté et me permet d'être très disponible… Parmi mes souvenirs les plus fous, une nuit passée avec deux norvégiennes, aussi blondes l'une que l'autre et qui avaient fêté allègrement la sorti du Beaujolais Nouveau en novembre dernier. J'ai baisé les deux filles puis l'une, qui avait vraiment trop bu, s'est endormie tout de suite après avoir joui. L'autre, par contre. Anne-Sophie, était du genre nymphomane. Elle refusait la sodomie mais, par-devant, elle était insatiable. Avec Béatrice, ce fut une histoire totalement différente. Cela faisait déjà deux ou trois mois qu'elle fréquentait le bar. Elle y venait surtout le matin pour prendre un café et plus rarement l'après-midi, après le déjeuner. J'avoue qu'elle me faisait bander beaucoup plus que les jeunes étudiantes. J'ai toujours fantasmer sur ce type de nana, bourgeoise et BCBG, toujours bien fringuée, à la fois sexy et provocante. Et puis, je ne sais pas… C'était assez indéfinissable mais je lui trouvais quelque chose de vraiment «salope». Son regard, peut-être ! Son sourire, sa manière de se tenir, de me dévisager… Béatrice m'excitait et m'impressionnait en même temps. Je ne savais rien sur elle et je devenais encore plus fou lorsqu'elle portait une jupe courte et que je pouvais entrevoir l'attache de ses porte-jarretelles et la chair de ses cuisses en haut de ses…

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MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004

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