LA CABINE AU BOIS

Elle était là, toute seule, à l'orée d'un bois. Il lui manquait la porte. Il n'y avait aucune habitation ou construction à un kilomètre à la ronde. Je rentrais d'une balade et l'orage menaçait. Je préférais rester à proximité de la cabine et attendre l'évolution du temps. Un fort vent se leva, prenant la cabine par derrière et quelques gouttes tombèrent. Je me mis à l'abri, appuyé contre le fond. J'aperçus alors un vrai rideau de pluie qui avançait avec le vent. Une trombe d'eau. La cabine allait être submergée lorsque deux filles, juste à temps, se glissèrent à l'intérieur. Et ce fut l'orage. Impossible de parler. Le martèlement de la pluie sur notre abri et les coups de tonnerre incessants nous assourdissaient. Impossible de bouger. La cabine était trop petite. Les jeunes femmes s'étaient jetées dans la cabine sans même me voir. Terrorisées par l'orage, elles étaient appuyées contre moi, me tournant le dos. À leur entrée, j'avais levé les bras. Ensuite, mes mains étaient redescendues sur leurs épaules. Elles sentaient le foin et la transpiration. Elles étaient essoufflées. Mes mains descendaient sur leur poitrine. Je sentais leur c ur cogner. Elles étaient légèrement vêtues d'un maillot et d'un short. Leur respiration se calmait mais elles ne bougeaient pas. Celle de droite me pris la main et la tira vers le bas. Celle de gauche ne bougeait pas mais ma main descendait. Elles respiraient maintenant tranquillement. Celle de droite tira encore ma main et l'appuya sur le bas de son ventre. Elle serrait fort. Celle de gauche ne dit rien quand j'appuyais ma main sur sa poitrine. Celle de droite glissa ma main dans son short. C'était doux et chaud. Elle me prit un doigt et le guida dans sa délicieuse fente. Sa respiration s'accéléra. Celle de gauche ne bougea pas lorsque je mis la main sous son maillot. Je lui caressais doucement un sein assez gros. C'était tiède et merveilleusement doux. Sa respiration restait calme et sereine. La respiration de celle de droite s'accéléra encore. Mon doigt était actif et mouillé. Avec le pouce, je lui caressais le ventre. Il était lisse et tendre. À gauche, je changeais de sein. Son téton se dressa aussi. Brusquement, elle me saisit la main et se mit à frotter ses minuscules mamelons beaucoup plus fort. Ma respiration s'accéléra. Mon doigt était maintenant dans une vraie fontaine. Elle me tenait la main avec vigueur. Elle ne respirait plus, elle s'essoufflait. Moi aussi. Un long gémissement se fraya un passage dans le vacarme ambiant. Les filles jouissaient. Et moi, je haletais. Brusquement, l'orage cessa. Les jeunes femmes reprirent leur course et leur jeu. Elles disparurent. Je n'avais pas vu leur visage. Ma respiration se calma. Plusieurs années après, je passais. La cabine était toujours là, entourée de maison. Il restait quelques arbres. Je croisais alors deux femmes très complices qui se promenaient aussi. Elles regardaient la cabine. - Bonjour, beau temps n'est-ce pas ? Je ne suis pas très sûr, mais il me semble bien qu'elles aient échangé un sourire entendu.

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SAMEDI 3 DéCEMBRE 2011

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