J'avais passé ma jeunesse à manifester contre tout et rien. Je crois même que j'avais foutu le feu à quelques fast foods. J'en étais pas particulièrement fier, mais à l'époque, j'étais convaincu que le capitalisme était à l'origine de tous les problèmes du monde, même si j'en avais pas vraiment encore. Les années passèrent. Je m'intéressais toujours à la politique, mais je n'avais plus très envie de manifester tous les dimanches. Je voulais faire autre chose. Alors je me suis décidé pour un parti de gauche et je me suis inscrit. L'accueil fut super sympa. Une femme importante me prit sous son aile. Elle devait avoir entre 35 et 40 mais je lui trouvais quelque chose de super sexy. Déjà, elle ne s'habillait pas comme une vieille. Suivant ses tenues, ça me permettait de constater qu'elle avait encore une paire de nibards très intéressante. Mais bon, si elle était sympa avec moi, c'était sûrement une espèce d'instinct maternel combiné à un désir d'avoir un allié supplémentaire au sein du parti. Je me mis à aller à un max de réunion. Ça plaisait beaucoup à Madame. Moi j'étais toujours content de la voir et j'avais aussi envie de monter vite les échelons. C'était possible, car y avait plein de loosers dans ce parti, leur passer devant serait easy. Par contre, après un congrès, il s'est mis à y avoir d'autres jeunes hommes et je remarquai qu'elle était aussi sympa avec eux qu'elle l'avait été avec moi. «Merde», pensai-je. Néanmoins, je m'inscrivis dans une commission qu'elle présidait. C'est vrai qu'il y avait trop de jeunes mecs dans ce parti, il fallait des jeunes femmes. Je pourrais en sauter une pour rendre Madame jalouse. Ouais, c'était un bon plan. En fait, je n'en eus pas besoin. Elle organisa une réunion de la commission chez elle. À la fin, tout le monde partit, sauf moi qui avais bu deux, trois bières de trop. Madame me demanda si j'allais bien. Je répondis que oui, bien sûr. Je fis semblant de ne pas m'être rendu compte que j'étais le dernier. Elle prit son temps et ne semblait pas impatiente que je m'en aille. Je me dirigeai lentement vers la porte. Je me retournai et la regardai. Elle avait un magnifique sourire, ses oreilles un peu elfiques dépassaient de ses longs cheveux blonds. Mais qu'est-ce que j'avais bu ? Cinq ou six bière ? Je pensai : «Allez, on va dire que t'as bu plus que ça.» Ce mensonge me servit de prétexte pour aller contre elle, la serrer dans mes bras et lui rouler une grosse pelle sans qu'elle eut le temps de comprendre quelque chose. Mais elle s'en rendit finalement compte. J'étais foutu. Elle me regarda d'un air sévère, puis me dit : «Eh ben, quelle fougue !» Et cette fois, c'est elle qui prit l'initiative du baiser. J'aurais voulu la défoncer là, direct, dans le hall, paf paf dans le cul et on en parle plus, mais elle avait l'air d'avoir une autre idée derrière la tête. Elle me prit par la main et m'entraîna dans la chambre. Elle me chevaucha comme une folle, en hurlant et en me griffant le torse. Je ne sentais plus ma queue pourtant dressée dans cette nana excitée. Elle semblait empalée, pourtant elle bougeait dans tous les sens. Moi qui étais sensible de la bite, j'avais un peu peur qu'elle ne sorte et me fasse mal, comme ça m'arrivait parfois avec des minettes qui ne sentaient rien de leur vagin. Mais ici, rien de tel ne se produisit. Ça devait être ça, l'expérience. Son talent lui permettait de me contrôler complètement. Je prenais mon pied comme un malade et lorsque je pensais que j'allais éjaculer, elle ralentissait la cadence, puis repartait de plus belle. Ce petit jeu dura de longues minutes et me faisait suer. Elle, par contre, semblait très fraîche et désireuse de me garder en forme. J'essayais de faire bonne figure, de me montrer à la hauteur de ma fantastique amante. Je me revoyais lors de notre première rencontre, complètement impressionné par son charme exceptionnel. À présent, j'étais à égalité avec elle, du moins en théorie. Nous étions nus tous les deux, vulnérables. Pourtant, je ne voyais pas les choses ainsi, je les sentais autrement, je me trouvais parfaitement dominé, mais je voyais mal comment je pourrais prendre le dessus sur cette femme formidable. J'étais dominé dans tous les sens du terme, et au fond, je n'avais pas envie de me plaindre. Durant tous ces jours où je me demandais
MERCREDI 12 JUILLET 2006
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