LE CHAUFFEUR DE TAXI

Mon prénom est Renata. Je vis dans São Paulo, j'ai 22 ans, 1m70, 68 kg, cheveux châtains, longs et bouclés. J'ai les yeux noisettes. J'étudie la psychologie à l'université. Mercredi dernier, avec des amis, nous avons décidé de faire la fête. Nous sommes allé de bar en bar et à un moment, je commençais drôlement à m'ennuyer alors je décidai de prendre un taxi pour rentrer. Alors j'ai pris le taxi mais arrivé à l'appartement, je me rendis compte que j'avais oublié mon sac, mes cléfs et mon cellulaire chez mes amis. Je ne savais pas que faire. J'ai expliqué la situation au conducteur du taxi, que je n'avais pas d'argent, mais que le jour suivant, je pourrais payer. Il me sourit et me dit : - Reste tranquille. Pas de problème. Alors nous avons parlé un peu de tout. Il me dit qu'il n'était pas réellement chauffeur de taxi mais plutôt ingénieur en chômage. Il utilisait clandestinement le taxi de son beau-frère parce que sa femme venait d'accoucher et qu'il leur fallait du pognon. Il était fort cultivé et peu à peu, je me pris à ce bavardage. Je sus tout de suite, par le regard que me porta le chauffeur de taxi, que ma tenue devait particulièrement plaire aux hommes. Durant tout le trajet, celui-ci semblait plus regarder son rétroviseur que la circulation devant lui. Il est vrai que j'étais assise au milieu de la banquette, il devait avoir une magnifique vue sur ma culotte et mes fesses !! Je me suis surprise à sourire… Voilà encore une bonne occasion de me dévoiler à un inconnu ! D'imaginer cet inconnu me mater, m'offrir au regard de cet homme me mettait la chatte en feu. Je croisais et décroissais les jambes. Son regard rivé sur mes fesses, me rendait folle de désir. Il transpirait un peu et un rapide coup d'oeil vers son pantalon me confirma qu'il bandait ! Cela m'excitait encore plus. J'aurais voulu qu'il sorte son mandrin pour mieux voir glisser sa main dessus. J'ai alors ouvert mon chemisier et glissé une main vers mes seins. Sous ses yeux, j'ai commencé à me caresser les pointes, les faisant rouler sous mes doigts. Je ne m'étais jamais caressé ouvertement devant un inconnu et ce nouveau plaisir m'incitait à aller encore plus loin. Le chauffeur me demanda d'écarter les cuisses pour qu'on voit bien ma petite culotte trempée de mouille. J'ai écarté impudiquement mes cuisses et glissé ma main vers ma culotte pour me caresser et enfin assouvir mes envies. J'avais la vulve complètement ouverte tellement j'étais trempée. Il sortit sa bite grosse et nervurée et commença à se masturber, me fixant de ses yeux brillants d'excitation. Je n'en pouvais plus. Il me demanda de me caresser pour l'exciter. J'ai écarté ma culotte et me suis alors caressé comme une folle. Mes pensées n'étaient plus que pour cette bite qui, branlée devant moi, me donnait envie de la sentir au plus profond de moi. Complètement lubrique, je le suppliai d'aller plus loin. Soudain, le spectacle prit une tournure nettement plus excitante. Le choc de nos bouches était inévitable et j'ai senti toute la force de ce baiser quand nous avons connecté. Marcos, c'était le nom du conducteur, m'a embrassé tout en caressant ma poitrine. Nous étions tous les deux en feu alors nous avons simplement garé la voiture pour nous diriger vers un motel. Quand il a été nu, j'attrapai sa queue et avec la main je reculai la peau du gland. Avec la pointe de la langue, je jouai dans le trou de ce pénis. Et j'embrassai passionnément ce gland rouge. Puis je suçai ses bourses avec appétit pendant que Marcos gémissait comme un fou. J'engloutis le gland, caressai la hampe d'une main et les couilles bien pleines de l'autre main. Je m'amusai avec ce phallus, consciente de mon emprise sur Marcos gémissant, livré à ma volonté. Il glissa ses doigts dans ma chevelure et coinça ma tête au-dessus de sa queue qu'il fit pénétrer le plus loin possible dans mon gosier. Je repoussai l'engin de ma langue puis le réabsorbai en entier. Il était brillant de salive et ce petit jeu me fit chaud au ventre et je voulus sentir ce membre bien fiché en moi. Je me suis mise à califourchon sur le ventre de Marcos. Avec une certaine difficulté, je poussai pour faire entrer cette queue qui était si grosse en moi. Cette chose immense me besogna avec tant de

» Plan cul Oissel

MARDI 7 FéVRIER 2012

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@