CHRONIQUE ÉROTIQUE D'ANTOINE II...

Chers lecteurs. Au fur et à mesure que les jours passaient et que nos aventures, comme notre relation, s'approfondissaient, le discours entre Louis et moi se transformait progressivement pour devenir plus cru de jour en jour. Parfois. Louis appréciait ma docilité sans faille mais la plupart du temps, il me laissait volontiers commander nos petits jeux que nous ne cessions jamais de pervertir. À l'issu de quelques semaines d'exhibition et de conversations, nous avons inventé un jeu. Nous devions créer à tour de rôle de nouvelles mises en scène en intégrant des personnes et ou des objets sexuels à nos petites rencontres secrètes. Jamais nous ne laisserions la routine s'installer entre nous. Et puis, cela permettait à notre cerveau de mijoter dans des idées scabreuses toute la journée au boulot, ce qui rendait nos rencontres plus enflammées que jamais ! Samedi. Sandra prévoyait passer la journée au centre commercial en compagnie d'une copine avec qui elle irait ensuite passer le week-end dans leur campagne natale. J'avais toute la latitude nécessaire pour inviter un amant chez moi puisque samedi, ce serait mon tour de surprendre mon amant virtuel avec mon imagination débridée. Louis m'avait déjà signifié qu'il fantasmait grave à l'idée de me voir me faire défoncer par un colosse et il ne me restait qu'une toute petite semaine pour organiser la chose. Je trouvais cette idée très excitante et je n'avais aucunement l'intention de la laisser tomber dans l'oubli. Tout mon être désirait cette défonce ! Toutefois, je n'avais pas la moindre idée de la manière ni de l'endroit qui me permettrait de trouver ce que je cherchais. Au boulot, il y avait bien un homme baraqué comme un lutteur. Jean-François, mais nous n'avions jamais parlé que professionnellement, sans jamais apprendre à se connaître et sans jamais chercher à se fréquenter hors du boulot. Je me doutais bien de ses penchants pour les hommes mais cela pouvait aussi être un leurre. L'habit ne fait pas toujours le moine… Je trouvai finalement un moyen de l'appâter et cela, dans la seule perspective de vérifier dans quel camp il se trouvait. Grâce à la douce inhibition que provoque l'abus d'alcool, il ne pourrait me cacher sa véritable orientation sexuelle. S'il était un homme à femmes, un vrai, j'aurais l'air d'un parfait abruti. Néanmoins, la terrible excitation que cette idée exerçait sur mon membre me poussa à persévérer dans cette voie. Quel plaisir cela allait être que de sentir la queue de ce géant me fouiller les entrailles ! Un soir, je restai tard au boulot pour attraper Jean-François au vol et l'inviter à aller voir une partie de foot dans un bar sportif. Je ne fus nullement étonné de le voir accepter ma proposition virile avec un sourire désarmant car je savais que ce type aimait les sports, cela se voyait à sa stature de balèze, à ses épaules aussi larges qu'une porte et à son style ; il portait toujours des pulls hyper moulants, des baskets chic et des shorts qui lui faisaient un cul tout à fait bandant. Chaque soir il partait du travail avec à l'épaule un énorme sac de sport. Je supposai à juste titre qu'il était un habitué des gyms… Et, je l'espérais, des vestiaires ! Pour couronner sa beauté naturelle et son sex appeal, il portait courts ses cheveux bruns, presque rasés. Toute la soirée, je jouai la carte du charme avec mon beau Goliath. Je le laissais parler de tout ce qui l'animait, je posais parfois ma main sur sa cuisse, pas très longtemps, ce qui, je l'espérais, lui démontrait subtilement le type d'amitié que j'éprouvais à son égard et que j'attendais de sa part. Lorsque son verre était vide, je posais ma main furtivement sur la sienne et je lui lançais un tendre clin d' il avant de me lever pour aller lui en chercher un autre. Il vidait ses verres à une vitesse à peine croyable et faisait entrer le liquide doré à grandes gorgées bruyantes. Vers la fin de la soirée, la bière coulait sur son menton et il parlait à la manière bien connue de ceux qui ont plus d'un verre dans l'estomac, la bouche pâteuse. Soudainement, comme je l'avais espéré, et c'est pourquoi j'avais adopté cette attitude envers lui tout au long de la soirée, mon gentil colosse m'entoura de ses larges bras musclés et m'annonça d'une voix émue qu'il m'aimait, que j'étais l'homme le plus merveilleux de la terre. L'alcool avait toujours cet effet lorsque le corps en avait suffisamment consommé. Ce

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VENDREDI 9 MARS 2012

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