AU CINÉMA

Imagine que nous sommes au cinéma, collés l'un sur l'autre. Il y a une scène horrible à l'écran (j'aime pas beaucoup les films où on voit le monde se faire tuer en détail) et je me cache dans ton t-shirt. Tu me serres contre toi doucement. Je lève la tête vers toi pour remarquer que tu m'observes d'un air amoureux et les yeux pétillants. Un frisson de plaisir me parcourt le dos. Tu penches légèrement ta tête sur vers moi. En continuant de te regarder dans les yeux, j'approche mes lèvres des tiennes. Lorsque nos lèvres se touchent enfin, c'est pour un baiser merveilleux qui me fait frissonner de plaisir. Comme la salle est quasiment vide et que nous sommes dans un coin à l'abri des regards, je me permets de caresser ce merveilleux bout de chaire qui m'en a déjà fais voir de toutes les couleurs (mais de belles couleurs ! ) ! Ta main droite qui était sur ma cuisse monte doucement vers mes seins qui gonflent de désir. Arrêtant tout, je te prends par la main et t'entraîne vers les toilettes pour femmes. Je vérifie qu'il n'y a personne et te fais entrer dans une cabine pour handicapé qui est plus grande que la moyenne. Lorsque la porte est barrée, tu deviens comme fou et m'embrasse fougueusement en me plaquant sur le mur. Te sentir si sauvage m'excite énormément et je commence à déboutonner ma blouse qui, malheureusement pour moi, ne veut pas collaborer. Par conséquent, étant trop excitée et pressée, quelques boutons sautent et tombent par terre. J'en profite pour enlever ton t-shirt et commencer à détacher ton pantalon. Pendant ce temps, tu as enlevé ma jupe et caressé mes fesses. Tu es maintenant en boxer et moi en culotte. Tu t'éloignes alors de moi et, sentant ta chaleur s'éloigner ainsi de moi, je gémis de désir et de dépit. Tu me fais ton sourire de séducteur, auquel tu sais que je ne peux résister. Tu dis alors : - Danse pour moi, ma belle. Fais-moi un strip-tease pour nous mettre dans l'ambiance. J'entends alors la musique calme sortant des haut-parleurs et je me mets à danser pour toi. En te regardant dans les yeux et en me dandinant sur la musique, je commence à enlever ma culotte, trempée de mon jus d'amour. Lorsque j'ai fini de me déshabiller et de danser, je m'appuie sur le mur et je te demande de faire la même chose. Je n'avais jamais réalisé à quel point un homme se déshabillant sur de la musique pouvais être érotique. Lorsque tu finis par libérer ta verge gonflée de désir, tu t'approches lascivement de moi d'un air prédateur. Lorsque tu arrives (très !) près de moi, tu prends mes mains dans les tiennes et les soulèves au-dessus de ma tête. Tu suces alors un de mes tétons et tu le mordilles. Ça me rend folle et je lâche des râles de plaisir. Lorsque mon premier orgasme me secoue, tu m'entraînes vers la toilette sur laquelle tu t'assieds. Sans que tu n'aies le temps de dire quoi que ce soit, je m'agenouille devant toi et taquine ton gland à l'aide de ma langue. Tout à coup, ne pouvant résister au goût merveilleux de ton pénis, je l'avale jusqu'au fond de ma gorge, te faisant lâcher un râle de désir. Ta respiration s'accélère tout comme ma tête sur ton pénis. Te sachant bientôt à bout, je délaisse enfin ta verge plus dure que jamais. Je me relève doucement et me mets dos à toi. Lentement, je m'assieds sur toi en prenant bien soin de diriger ton pénis vers mon trou d'amour. Lorsque ta verge est finalement rendue au fond de mon vagin, je me mets à bouger du bassin. Comme tes jambes sont entre les miennes, j'appuie mes mains dessus et je fais des va-et-vient de plus en plus langoureux. Ne pouvant rester inactif, tu passes tes bras sous les miens et t'empares de mes seins bougeant de façon obscène à chacun de mes mouvements. Tu les malaxes et tu les presses de plus en plus fort. Sachant à quel point mon orgasme peut être fort lorsque tu joues avec mes seins, tu prends les tétons et les fais rouler doucement entre tes doigts. Je sens que mon orgasme va bientôt venir, tout comme le tien, et j'accélère mon mouvement du bassin. Alors que je n'en peux plus, le plaisir atteint son paroxysme et nous jouissons en c ur, lâchant des râles de soulagement. Lorsque

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MERCREDI 22 JUILLET 2009

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