COÏT ET AMOUR FOU

Je me suis souvent demandé ce qui pouvait pousser les gens à écrire le récit de leurs aventures sexuelles. Le désir de s'exhiber devant les lecteurs ? L'envie de faire partager leurs fantasmes ? Aujourd'hui, je comprends mieux. J'avais lu des tas de confessions avant de décider de me confier à mon tour. Pourquoi ? Tout simplement pour vous parler d'un homme, un homme qui me rend folle de plaisir, un homme que j'aime par-dessus tout. Il s'appelle Alain, il a trente-six ans, il est divorcé et exerce la profession de kinésithérapeute. C'est d'ailleurs grâce à son travail et une prescription faite par mon médecin pour plusieurs séances de massages que j'ai pu faire sa connaissance, il y a un peu plus de d'un an. Moi, j'ai trente-deux ans. Je n'ai jamais été mariée et j'avais, jusque là, mené une vie plutôt banale et sans surprise. J'ai connu plusieurs hommes sans pouvoir établir quelque chose de très sérieux avec eux. Aujourd'hui, c'est différent. Mon amour pour Alain m'a complètement transformée et épanouie. C'est incroyable comme j'ai changé. Sur le plan sexuel, il a su me libérer et m'ouvrir au plaisir. Au plaisir sous toutes ses formes. J'étais assez coincée, pas très portée sur la chose comme on dit et très classique dans mes désirs. À présent, j'ai sans cesse envie et je veux connaître avec Alain toutes les manières de jouir. Même les plus crues, les plus osées et les plus perverses. Je ne lui en ai jamais parlé mais j'aimerais qu'il aille encore plus loin avec moi lorsque nous faisons l'amour. Je voudrais être toute à lui, me sentir entièrement dominée, être attachée, fessée, pénétrée avec divers instruments, devant comme derrière, traitée en objet… Tatouée et porter sa marque sure ma peau ! Parfois, je m'imagine nue et retenue prisonnière dans une chambre avec Alain qui passe me voir uniquement lorsqu'il a envie de me prendre. Trois, quatre, cinq fois par jour… Aussi souvent qu'il le désire. Ce scénario m'excite terriblement et me fait jouir très fort lorsque je me masturbe. Est-il normal que l'amour vous rende ainsi ? Moi qui n'avais jamais eu des fantasmes S-M, je me découvre, à trente-deux ans, d'étonnantes prédispositions cérébrales pour la soumission et des désirs surprenants. Avec mes anciens partenaires, je ne jouissais pas tout le temps. Je leurs refusais beaucoup de chose et j'étais plutôt inhibée, passive, ne prenant jamais d'initiatives. Faire l'amour une à deux fois par semaine me suffisait amplement. Avec Alain, je n'arrêterais pas, je jouis chaque fois et je suis capable de tout. Il y a quelques jours, par exemple, je suis allée le retrouver à son cabinet, en milieu d'après-midi. Je voulais me donner à lui, tout simplement. Déjà, j'avais pris plaisir à me préparer pour lui dans la salle de bains. Après une douche, j'ai rasé soigneusement les poils de mon sexe (Alain adore), et je me suis maquillée d'une manière sensuelle et provoquante. Au dernier moment, j'ai décidé de ne pas mettre de culotte ni de soutien-gorge. Jamais je n'étais sortie ainsi auparavant, j'étais trop pudique. Cette tenue indécente me provoqua un agréable picotement entre les cuisses. Pour finir, j'ai passé une jupe serrée et courte qui, dès que je me penchais un peu, dévoilait mes fesses. J'ai dû attendre qu'un patient termine sa séance pour entrer dans son cabinet. Alain fut surpris par ma visite. Il avait un peu de temps devant lui avant l'arrivée de son prochain patient, ce qui allait faciliter mes projets. Malheureusement, notre conversation fut rapidement interrompue par la sonnerie du téléphone. Alain décrocha le combiné et répondit. Il s'agissait d'un confrère à lui. Leur discussion s'éternisa et commença à m'ennuyer. Je me glissai alors à genoux devant le fauteuil et entreprit d'ouvrir la braguette d'Alain. Etonné par mon initiative soudaine, il se laissa faire. Je descendis le zip de la fermeture et glissai ma main par l'ouverture pour extraire sa verge. Je la caressai dans mes doigts en m'amusant à tirer sur la peau du prépuce pour faire saillir le gland. Alain tenta de me repousser de la main. A cause de moi, il n'arrivait plus à garder son naturel au téléphone. Ne me souciant pas de lui, je passai ma langue sur son gland tout en serrant sa queue à la base et je sentis la verge commencer à réagir sous mes caresses. Elle se mit à gonfler et à raidir. Je la pris dans ma…

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JEUDI 16 AVRIL 2009

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