Vivre à tous les jours, avec une femme aussi belle, sous le même toit, dans la même maison et ne pas pouvoir la baiser à satiété, est une souffrance pénible. Certes, je suis beaucoup plus jeune qu'elle, mais bien équipé et tout à fait informé sur le comment et le combien. Cette formation a été obtenue à force de regarder et de lire sur le sujet, partout sur le net et dans les pornos et je désespère de pouvoir l'utiliser un jour. J'ai essayé de la conquérir, en multipliant les occasions discrètes où elle pouvait me voir nu, même en érection, les caresses furtives et les allusions à mots couverts. Sans succès. J'ai bien remarqué le trouble qui la frappait à chaque occasion, mais ses gifles ont souvent répondues à mes avances les plus insistantes. Et puis il y a le conjoint. Certainement qu'il n'est plus à la hauteur, affichant son embonpoint avec plus de fierté que sa virilité. Je comptais beaucoup sur cette usure et sur son manque pour la posséder, elle. Lui et moi, ce n'était pas un monde idéal, une génération nous sépare, un besoin de jouir et de la faire jouir nous sépare de plus en plus et il commence à me trouver encombrant. Je devrais quitter bientôt et il me fallait assouvir ce besoin criant, mon mal de vivre, à tout prix. Voici comment je suis passé de la pensée aux actes. Je comptais sur le fait qu'elle éviterait à tout prix une situation de conflit direct entre lui et moi et que finalement elle cèderait à ses instincts. Je me rappelais les épisodes torrides auxquels j'avais assistés, sans qu'elle le sache, caché dans l'armoire de sa chambre, lorsqu'elle accueillait un amant dans son lit, je savais de quoi elle était capable. Le grand soir, la sachant au point culminant de son ovulation, donc de sa réceptivité, j'ai versé discrètement à son conjoint un bon verre, riche en somnifères, juste assez, pas trop. afin de lui assurer un sommeil réparateur dont on ne pourrait le tirer avec le moindre bruit et j'ai attendu que les deux soient couchés. Une heure plus tard, je me suis introduit dans leur chambre, complètement nu et en érection. Je me suis agenouillé près d'elle, étendue sur son lit jumeau. Lui dormait paisiblement sur le sien, à quelques 50 cm, sur le côté opposé à elle, j'avais donc le chemin libre. Je retirai sa couverture et son drap et entrepris de lui caresser l'entrejambe, tout en douceur. Elle répondit rapidement par un léger gémissement et mouillait déjà abondamment. Elle se réveilla et me jeta un regard horrifié, puis regarda vers son conjoint. Je l'ai immobilisée, doucement mais fermement et introduisit ma main dans sa petite culotte tout en lui mordillant un sein. Mes doigts se frayèrent facilement un chemin jusqu'à son clitoris et s'introduisirent prestement dans son vagin. Ma bouche alternait d'un sein à l'autre alors que de l'autre main je la maintenais étendue sur son lit. Elle se débattait silencieusement et de plus en plus faiblement tout en fixant d'un regard inquiet son conjoint immobile, dormant toujours paisiblement. Mon massage de son intimité porta fruit, elle était de plus en plus mouillée, se retournant pour me regarder à nouveau, elle constata que j'étais nu et manifestement déterminé. Elle me gifla deux ou trois fois et cessa toute résistance, s'abandonnant. En quelques secondes, je lui ai retiré son déshabillé et sa petite culotte et la fit pivoter de travers sur son lit. J'écartai largement ses jambes et enfonçant ma tête entre ses cuisses, je pris d'assaut son intimité, alors que de mes deux mains, je massais et triturais ses seins. Elle, la tête basculée dans le vide entre les deux lits, maintenait son regard sur son conjoint, les dents serrées sur sa main gauche, sa main droite crispée sur le drap de lit, pour éviter de glisser sur le sol. J'ai embrassé un à un tous les poils de son pubis et j'ai léché son clitoris au point de le mettre à vif. Elle réagissait de plus en plus, j'abandonnai ses seins et après lui avoir écarté les jambes, je mis mes deux mains à l'uvre. Je fis jaillir son clitoris et le mordillai de toutes les façons, j'introduisis mes doigts dans son vagin et massai ses parois avec énergie. Elle tressaillait de jouissances et gémissait le plus faiblement possible en mordant ses doigts presque au sang pour étouffer tout cri de sa part. Décidé à tout prendre,
LUNDI 2 JANVIER 2006
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