MON COPAIN MIKE

Mike est un homme trapu, s'habillant avec très peu de goût et usant trop souvent d'un langage peu invitant. Ses yeux et ses cheveux d'un noir profond lui confèrent un petit air mystérieux qui m'a plu dès le départ. Ses mains sont immenses, poilues et rudes comme une feuille de papier de verre. Il n'est pas courtois dans son approche et sa vie sociale peut être comparée à un désert de glace ; froide et désolante. Son regard est un peu bête, ses remarques impertinentes… Mais au fond, c'est un tendre qui ne demande qu'à être aimé. N'étant pas très populaire envers la gente masculine qu'il dit préférer aux femmes, il a peine à trouver un mec qui veuille bien le dépuceler. Le pauvre, 25 ans et il ne s'est encore jamais trempé le pinceau. Quel dommage ! Compatissant à son statut de perdant qui lui colle encore à la peau aujourd'hui, je me suis fait un devoir de l'accueillir dans mon lit où je lui ai appris les premiers rudiments du sexe oral. Il est clair que son intelligence précaire ne lui a jamais permis de deviner ou même de se douter de qui j'étais réellement. Jamais il n'a pressenti que je n'étais en réalité qu'un pervers aguerri, méchant et sans pitié, cherchant ses victimes parmi les plus faibles. Le sentiment de puissance que me procure le sadisme m'excite tellement que je n'ai jamais eu ni la force mentale ni l'envie viscérale de baiser normalement. Avec moi, il faut s'attendre à souffrir de partout car j'exploite mes vices et mes victimes au maximum !!! Il faut savoir que je ne prends mon pied que lorsque ma victime me crie d'arrêter, mais évidemment ceci n'est pas un détail que je révèle dès la première nuit. Pour attirer un homme soumis, je me dois d'y aller en douceur de sorte qu'il croit que ses nouvelles perversions viennent de l'intérieur même de sa tête. J'ai beaucoup de patience lorsqu'il est temps de tendre mon filet et je peux passer plusieurs jours à attendrir ma proie, avant que celle-ci devienne ma victime consentante. Donc, la première fois que j'ai ramené ce mec à la maison, je lui ai offert une bière froide avant de me déculotter devant son visage. Je lui ai ordonné de me sucer la bite et que s'il accomplissait cette tâche avec brio, il aurait peut-être droit à une sodomie en règle. Impatient d'en arriver à son dépucelage, il prend ma queue dans sa bouche, aspirant mes couilles à quelques occasions. Énervé, je lui dis : -Tu dois me regarder dans les yeux quand tu pompes, crétin. Déjà, il semble enclin à prendre n'importe quelle insulte pour une marque d'affection, j'ai marqué mon premier point. De plus en plus, ce type apparaît à mes yeux comme un candidat plus que probable pour devenir mon esclave. Maintenant plus qu'énervé par sa technique de fellation douteuse, je lui propose une gorge profonde, cela lui assurant de me faire cracher de plaisir. Fébrile par l'annonce de cette proposition. Mike me demande : -Que dois-je faire ? Amusé par cette innocence flagrante, je lui réponds : -Tu te couches sur mon lit, la tête renversée vers l'arrière, et tu ouvres la bouche… À partir de là, ce sera à moi de faire le travail. Plus que ravi. Mike se lève aussitôt afin de se diriger vers ma chambre. Ma protestation le cloue sur place, il se retourne. -Je veux que tu y ailles à 4 pattes comme un chien. Mike hésite un instant puis s'exécute en baissant la tête, l'air piteux. Armé de ma cravache, je fouette son gros cul tout en lui intimant sans politesse aucune de se grouiller un peu. Je le frappe très fort, ne m'arrêtant que lorsqu'il atteint ma chambre. Je le positionne comme il se doit, bandé comme un fou à l'idée de me branler dans cette bouche docile. Sans vergogne, je lui pénètre l'orifice buccale jusqu'à la gorge, même si mon esclave a de puissants haut-le-cœur. Je songe avec amusement qu'il s'habituera à force de pratiquer. Cet acte est fait pour plaire au dominant et si l'esclave est assez pervers pour aimer ça, c'est encore mieux. Tout près de gicler, je lui pince les mamelons jusqu'au sang, un grognement sourd se faisant entendre aussitôt !!! Une plainte que je ne prends pas en compte. J'ajoute même : -T'as l'air d'aimer ça mon mignon, je crois que t'as mérité que je t'encule à fond !!! Sur ces tendres paroles, j'éjacule avec joie au fond de sa gorge,…

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MERCREDI 13 DéCEMBRE 2006

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