CORINNE AU PARKING 1

Depuis cette rencontre inopinée dans le parking de l'immeuble avec cet inconnu qui l'a baisé bien à fond. Corinne revoyait ces moments de passion torride, presque animale, à tout moment de la journée. Avec une puissante acuité, son esprit se remémorait tous les détails de l'acte. Et, chaque fois que ces souvenirs lui revenaient à la mémoire, ça la mettait dans tous ses états. Elle ressentait encore l'effet saisissant du sexe dur de cet inconnu qui la prenait par derrière, et qui lui labourait la vulve, plaquée sur le capot de sa voiture. Ses mains solidement agrippées à ses hanches pour rythmer le mouvement de va-et-vient dans sa chair brûlante. Elle avait éprouvé un plaisir si intense, jusqu'alors inconnu, que dans son for intérieur, elle mourait d'envie de recommencer. Même si elle se rappelait du numéro de son appartement (le 325), elle ne connaissait rien de lui, pas même son nom. Bien que l'idée lui soit venue à plusieurs reprises, jamais elle n'aurait osé aller cogner à sa porte. Ç'aurait été bien trop humiliant… Aussi, peut-être ne le reverrait-elle jamais. Au fur et à mesure que les jours passaient, un profond désespoir s'emparait d'elle. Comment allait-elle pouvoir continuer à vivre sa petite vie tranquille avec toutes ces images de sexe interdit qui se bousculaient continuellement, sans arrêt, dans sa tête ? Désemparée, déchirée entre un terrible sentiment de culpabilité face à son mari et une envie folle et obsédante de recommencer. Corinne ne savait plus comment réagir face à sa nouvelle situation d'adultère. Elle ne se reconnaissait plus. Elle devenait plus nerveuse, presque irascible, négligeait les tâches ménagères qu'elle avait pourtant l'habitude d'accomplir sans rechigner, et ne sortait pratiquement plus pour son shopping, elle qui pourtant aimait par-dessus tout s'adonner à ce loisir bourgeois. Jadis, c'était même son passe-temps favori. Par chance, sa fille Martine lui demandait encore assez régulièrement son aide pour garder sa petite-fille. Elle accourait alors sans poser de conditions, trop contente de s'éloigner de cet environnement dans lequel elle commençait à étouffer. Chaque fois qu'elle reprenait l'ascenseur pour se rendre au stationnement, elle espérait néanmoins secrètement y faire à nouveau la rencontre de son amant de passage. En vain, il ne se montrait jamais. Elle aurait tant voulu avoir la présence d'esprit d'au moins lui demander son nom. Mais, dans le feu de l'action, elle en avait pratiquement perdu tous ses moyens. Et, aujourd'hui, elle se retrouvait avec cette sensation brûlante de se retrouver à nouveau en proie au désir, sans toutefois pouvoir y faire quoique ce soit. Ça la mettait hors d'elle ! Une fois de plus, elle tenta de chasser toutes ces idées en se rendant chez sa fille pour jouer la nounou. Quand elle arriva chez sa fille. Corinne décela une certaine excitation chez elle. Martine s'agitait, presque fébrile, pressant Jean-Luc de quitter au plus vite pour qu'ils ne soient pas en retard à leur rendez-vous. Malgré le froid qui commençait s'installer à cette époque de l'année, elle ne portait qu'un petit manteau, une jupe très courte et chaussait des escarpins. Elle trouvait que sa fille arborait trop souvent des tenues presque indécentes, mais avec les années. Corinne avait appris à ne plus trop s'en faire et à la laisser vivre comme elle l'entendait. Après tout, elle et Jean-Luc semblaient former un couple si heureux… Alors, pendant que le jeune couple terminait de se ramasser pour enfin quitter la maison. Corinne s'occupa d'aller border sa petite-fille. Après quelques minutes, la petite chérie dormait déjà à poings fermés. Aussi, lorsque Corinne revint. Martine et Jean-Luc se trouvaient déjà sur le seuil et la remerciaient de s'être déplacée pour venir garder leur enfant. Puis, après une bise, ils quittèrent. Elle se versa un verre de blanc et alla s'installer au salon. Confortablement étendue sur le sofa, elle prit la télécommande. Quelle ne fut pas sa surprise de voir apparaître l'image de sa propre fille en train de se faire baiser par Jean-Luc et un autre homme, dans une position presque obscène. Sa fille et son gendre avaient filmé leurs ébats avec un deuxième homme. Pendant que son jeune mari la prenait par derrière, vraisemblablement en la sodomisant, la chair de sa chair se trouvait là, agenouillée, la figure enfouie entre les cuisses de l'autre homme, lui prodiguant une fellation comme elle n'avait jamais encore vu de

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MARDI 3 AVRIL 2012

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