CORINNE AU PARKING 2

Lorsqu'il l'aperçut débarquer du véhicule, l'homme lui sourit et se dirigea droit sur elle. Corinne sentit alors sa tension artérielle s'accélérer subitement. Un long frisson lui remonta l'échine et la fit frémir. Elle se mit à trembler nerveusement. Elle regardait l'homme s'approcher et son cœur battait la chamade. Elle ne savait pas comment elle devait réagir. Parvenu à sa hauteur, l'homme l'embrassa directement sur la bouche. Encore saisie de surprise, elle le laissa faire. - Je crevais d'envie de te revoir. Je t'ai attendu souvent, mais tu ne t'es jamais pointée, se contenta-t-il de lui dire avant de l'étreindre de ses bras puissants. Pantelante et haletante, figée par l'étonnement et la nervosité. Corinne se sentait défaillir. L'homme l'embrassait passionnément dans le cou et ses mains glissaient dans son dos jusqu'à ses fesses qu'il tripotait indécemment, comme s'il n'avait attendu que ce moment. Devant tant d'ardeur et de presse. Corinne se sentait à nouveau lui appartenir, devenir sa chose, son objet de désir. - Je ne sais même pas comment tu t'appelles, osa-t-elle, tout en tentant de le repousser et de se dégager. - Qu'est-ce que ça peut faire ? Se contenta-t-il de répondre en marmonnant dans son cou. - Dis-moi au moins ton prénom, insista-t-elle. Mais, l'homme semblait avoir d'autres idées en tête. Il la maintenait enserrée dans l'étau de son bras et, d'une main agile, il relevait sa robe pour atteindre le slip qu'il fit prestement glisser à ses genoux. La honte et l'humiliation s'emparait de Corinne, pendant que l'homme lui caressait les fesses sans ménagements de ses doigts fouilleurs. Alors qu'un doigt s'insinuait avec insolence dans sa chair intime. Corinne sentait que le peu de volonté qui lui restait s'envolait. Ses genoux fléchirent lorsqu'elle ressentit les doigts de l'homme qui lui fouillaient la chatte. Elle sentait qu'elle se liquéfiait rapidement au contact si impudique de ses articulations qui s'agitaient dans sa vulve. - Hummmm… Je vois que tu n'attendais que ça, ma salope de bourgeoise, lui lança l'homme avant de la retourner pour la plaquer contre le mur de ciment. D'un geste prompt, il releva sa jupe, puis se colla sur elle. Son souffle chaud dans son cou, la fit à nouveau frémir. L'humiliation faisait maintenant place à ce désir qui s'intensifiait au fur et à mesure que l'homme s'enhardissait. Elle arqua légèrement le bassin et contre ses fesses nues, elle pouvait sentir très nettement la puissante érection du pénis. Tout en appuyant sur son dos d'une main, l'inconnu défit son ceinturon, descendit sa braguette et extirpa son sexe gonflé qui pointa aussitôt entre les cuisses de Corinne qu'elle ouvraient sans même le réaliser. D'un puissant coup de rein, l'homme du parking s'enfonça dans son sexe brûlant. Les deux mains plaquées en croix contre le mur froid, le corps de Corinne se secouait au rythme du coït brutal de cet homme qui la prenait sans retenues. Mais, à nouveau, elle ressentait cet intense extase s'emparer d'elle et elle poussait de profonds gémissements qui trahissaient son plaisir grandissant. Malgré tout ça, l'homme semblait plutôt vouloir faire durer son manège. D'un coup, il se retirait pour replonger à nouveau dans la chatte de Corinne, lui arrachant à chaque fois un petit cri de surprise. D'une main, celle-ci cherchait à attraper l'homme par la hanche pour le retenir en elle, mais l'inconnu n'en faisait qu'à sa tête. Sans crier gare, l'homme stoppa net. Surprise et déçue qu'il s'arrête au moment où elle commençait à y prendre un plaisir de plus en plus intense, elle retourna la tête, et par-dessus son épaule, elle l'aperçut qui s'agenouillait derrière elle. Les deux mains solidement agrippées à son postérieur, il écarta ses fesses et enfouit sa figure pour entreprendre de lui lécher le bouton de rose. Jamais on ne lui avait prodigué cette caresse. Par pudeur, elle n'avait même jamais osé y penser. Et, maintenant, la langue obscène de cet inconnu s'acharnait contre son anus. Mais, malgré le caractère pervers de cette nouvelle caresse. Corinne éprouvait une sensation étrange de plaisir grandissant qui s'emparait de tout son être. En tendant la main derrière la nuque de l'homme, elle arqua davantage les reins pour lui ouvrir encore plus grand le passage. Et, lorsque l'inconnu osa un doigt à l'intérieur de son anus, elle poussa un petit cri de surprise, puis se mit à frémir d'une nouvelle…

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DIMANCHE 28 JANVIER 2007

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