CORINNE AU PARKING 3

En arrivant finalement à son appartement. Corinne fut soulagée de constater que son mari dormait déjà à poings fermés. Elle ne songeait plus qu'à se défaire de ses vêtements souillés et à plonger sous la douche pour se laver et faire disparaître le parfum de l'inconnu qui, forcément, s'imprégnait à sa peau. Elle gardait encore le goût âcre de l'homme dans le fond de sa gorge et la sensation, encore presque palpable, du liquide chaud et visqueux qui dégoulinait sur son visage et dans son cou. Cet homme qu'elle avait laissé abuser d'elle dans le parking avait voulu laisser sa marque, à la fois sur son corps comme dans son esprit. À coup sûr, il y était parvenu. Pendant que l'eau tiède ruisselait sur son corps nue, elle ne parvenait pas à chasser les images troublantes de leur copulation presque animale. Elle ressentait encore entre ses reins la puissante décharge électrique qui lui fit plier les genoux quelques minutes plus tôt ; elle avait presque faillit s'évanouir. Ce soir-là, elle venait d'expérimenter un niveau d'extase sexuel jusqu'alors insoupçonné d'elle. Tandis qu'elle se savonnait le ventre, ses mains remontèrent à ses seins dont les mamelons pointaient sous l'excitation qui ne la quittait plus et qui grandissait à nouveau en elle. Chaque image qui lui revenait à l'esprit lui ramenait de vives sensations qui ranimaient sa tension sexuelle. Pressant chaque globe dans la paume de ses mains nerveuses, elle ferma les yeux et revoyait l'inconnu du stationnement qui, la plaquant contre le mur, la prenait sans ménagement par derrière. Elle glissa une main enduite de mousse savonneuse entre ses cuisses et, soulevant une jambe sur le rebord de la baignoire, entreprit de caresser son clitoris. D'abord doucement, pour le sentir gonfler sous ses doigts, puis plus rapidement, au fur et à mesure que l'excitation montait en elle. Sous le jet, les yeux mi-clos, elle gémissait, s'enhardissant jusqu'à glisser deux doigts dans sa chatte qui s'ouvrait. Elle approchait d'un nouvel orgasme… - Chérie, tu es rentrée bien tard, entendit-elle son mari qui venait d'entrer dans la salle de bains. Surprise, elle poussa un cri et s'empressa de rincer la mousse qui recouvrait toujours ses seins et le bas de son ventre. - Arghhh ! Ce que tu m'as surprise. Que fais-tu debout ? Balbutia-t-elle. - J'ai entendu la douche… En voilà une heure pour se doucher, remarqua son mari. - Heu… Il y avait un horrible parfum de cigarette chez Martine, marmonna-t-elle comme excuse. Retourne te coucher, je t'y rejoins à l'instant, conclua-t-elle avant que son mari acquiesce et retourne à la chambre à coucher. En sortant de la douche. Corinne examina son reflet dans la glace. Bien qu'elle se trouvait encore bien jolie pour une femme approchant la soixantaine, elle se demandait ce que cet inconnu avait bien pu lui trouver. Et, surtout comment avait-il pu deviner en elle toute cette soumission sexuelle qui sommeillait. Car, c'était bien de ça qu'il s'agissait. Plus l'homme abusait d'elle sexuellement, plus elle s'était sentie désirée. Ce qui l'avait tant excitée, au point de s'abandonner complètement, avec une impudeur et une indécence qui frôlait presque l'obscénité. Depuis cette première rencontre, elle ne reconnaissait plus en elle la petite bourgeoise bien tranquille, bien casée. Et, ça la troublait énormément. Lorsqu'elle se glissa sous les draps, dans sa chemisette de nuit, elle prit soin de ne pas réveiller son mari. Elle ne croyait pas qu'il veuille à son tour lui faire l'amour. Non, depuis plusieurs années, cette facette de leur vie commune semblait avoir disparue à tout jamais. Elle craignait plutôt qu'il ne lui pose des questions embarrassantes qui la pousseraient à mentir à nouveau. Et, elle se savait une bien piètre menteuse. La tête posée sur la taie d'oreiller, les mains jointes entre ses cuisses, presque en position de f tus, elle tenta à nouveau de chasser les images de l'inconnu du parking et eu beaucoup de mal à fermer l' il. Une fois que le sommeil s'empara d'elle, les images obsédantes reprirent. Dans ses songes, l'homme s'était dédoublé. Il y avait maintenant deux inconnus du parking qui abusaient de son corps et la soumettaient aux pires assauts sexuels que sa raison eut pu imaginer. Pendant qu'elle chevauchait impudiquement l'un d'eux, qui lui triturait sauvagement les seins à pleines mains, l'autre lui présentait sa bite à sucer et lui enfonçait jusqu'au fond de la gorge

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VENDREDI 13 AVRIL 2012

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