CORINNE AU PARKING 4

Cette journée-là. Corinne avait la ferme intention d'aller elle-même à la rencontre de son inconnu. Voulant profiter du fait que son mari lui avait annoncé qu'il ne reviendrait qu'en soirée, elle prendrait son courage à deux mains et surmonterait sa gêne pour aller cogner à la porte de son appartement. Depuis leur première rencontre, il lui faisait vivre de si intenses moments d'extase qui lui révélaient si nettement la face cachée de ses véritables fantasmes sexuels. Corinne était mariée depuis maintenant plus de trente ans et, avant Paul, elle n'avait guère connu d'autres hommes. À cette époque, les femmes demeuraient vierges jusqu'à leur nuit de noces. Aussi, sa vie sexuelle s'était toujours limitée à ce que son mari lui avait enseigné. Mais, avec cet homme, ressurgissait en elle des pulsions presque animales et un profond désir de soumission sexuelle. Durant toutes ces années de mariage, grâce à sa richesse personnelle, elle aurait bien pu se payer toutes les fantaisies qu'elle aurait désiré et assouvir tout ses désirs en louant les services d'un gigolo. Mais, encore aurait-il fallut qu'elle puisse soupçonner que ça dormait en elle. Aujourd'hui, elle était résolument décidée à pousser encore plus loin cette aventure avec l'homme du parking. Aussi, dès que son mari eut quitté, elle se prépara pour aller retrouver l'inconnu à son appartement, le 325. Elle voulut mettre tous ses charmes en valeur et choisit délibérément de se vêtir le plus sexy possible. Elle opta pour un string provocant, assorti à un soutien-gorge pigeonnant, puis un chemisier presque transparent et sa jupe la plus courte, qui moulait bien ses fesses rondes. Puis, elle chaussa une paire d'escarpins qui avantageait ses cuisses toujours minces. Elle ajouta une légère touche de parfum. Elle se regarda dans la glace en se disant qu'ainsi vêtue, elle parviendrait sans nuls doutes à attiser à nouveau le désir de son inconnu de la prendre comme elle aimait tant, c'est-à-dire sans ménagement, en abusant d'elle. Elle prit une grande respiration et quitta l'appartement. Alors, que l'ascenseur la menait au troisième étage. Corinne sentait le battement de son cœur s'accélérer. Allait-il s'offusquer qu'elle le relance jusque chez-lui ? Ou pire, qu'allait-elle faire si elle le trouvait avec une autre femme ? Ou s'il refusait tout simplement de la laisser entrer ? Elle tenta de chasser toutes ces idées noires qui se bousculaient dans sa tête en se rappelant qu'il lui avait lancé, dès le premier soir, qu'il l'attendrait à n'importe quel moment. Tandis qu'elle longeait le couloir. Corinne sentait la tension sexuelle augmenter dans son bas-ventre et sa chatte se mouiller. Elle se sentait terriblement excitée en se rendant, telle une proie pleinement consentante, directement dans l'antre de celui qui, tantôt, allait une fois de plus assouvir son profond désir d'être abusée. Lorsqu'il vint lui ouvrir, il ne portait qu'un pantalon. Pied et torse nu, les cheveux fraîchement lavés, il venait de terminer sa toilette. Il lui sourit, puis referma la porte derrière elle. Corinne resta plantée là, attendant la suite. L'inconnu la prit d'un bras par la taille et l'attira à lui avant de l'embrasser goulûment. - Hummmm, quelle bonne odeur ! Et, tu t'es mise belle pour moi à ce que je constate, lui souffla-t-il à l'oreille. Un peu gênée du compliment. Corinne se laissait porter par cette douceur enivrante qui s'emparait à nouveau d'elle. L'homme osa une main entre ses cuisses sous sa jupe. - Oh… Mais, tu mouilles déjà ma belle bourgeoise, fit-il en palpant le Mont de Vénus de Corinne par-dessus le tissu déjà moite. - Ouffffff… Tu me fais frissonner, se contenta-t-elle de répondre, sachant qu'une fois de plus, sa pudeur allait bientôt s'évaporer pour faire place à la salope qu'elle devenait dès qu'il la touchait. Aussi, lorsqu'il glissa deux doigts sous le tissu, elle sentit ses jambes fléchir et une série d'ondes la faire vibrer. Il lui caressa d'abord le clitoris qui gonfla instantanément, puis inséra ses deux doigts entre ses lèvres qui s'ouvraient d'elles-mêmes. Elle porta sa main droite sur la braguette de l'homme et constata sa formidable érection. - Laisses-moi te sucer, le pria-t-elle. Elle était prise du profond désir de sentir cette belle queue dans sa bouche. Ça lui ferait changement de la minable bite de son mari qui s'était déversé dans sa gorge au réveil. - Avec toi, je me sens terriblement impudique. Toutes ces nouvelles expériences pour moi m'ont révélé mes véritables pulsions. Avec…

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MERCREDI 21 MARS 2007

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