Corps à corps sensuel

J'ai connu Claire avant de rencontrer Paul. Claire était ma petite amie. Paul est devenu mon petit copain. Le fait d'avoir un Jules n'a rien changé de mes rapports avec Claire. Puis. Claire s'est trouvé un mec. Adrien et en peu de temps, j'ai tout connu : le saphisme, l'hétérosexualité, le triolisme puis le mélangisme et l'échangisme. C'est ça, avoir vingt ans à l'an 2000. Les filles ont envie de vivre leurs passions et leurs désirs jusqu'au bout. Mes parents, eux, ont connu les années 68. Grâce à ça, j'ai reçu une éducation assez libre. Parler de cul à la maison n'a jamais été tabou. Je n'ai ressenti aucune culpabilité lorsque mes premiers émois sexuels m'ont tournée vers les filles. Mais je ne me sentais pas totalement lesbienne. Parfois, les garçons venaient eux-aussi alimenter mes fantasmes et participaient à ma jouissance lors de caresses solitaires. J'ai commencé avec une femme beaucoup plus âgée que moi : Corinne. Elle était ma prof de piano et je me rendais chez elle deux fois par semaine. Je la trouvais belle, séduisante avec un côté très « femme », contrairement à moi qui possédais un corps qui tardait à vouloir sortir de l'adolescence. Corinne était divorcée, elle avait 40 ans et mon regard était souvent attiré par sa superbe poitrine. C'est elle qui m'a tout appris. Elle était sensuelle et câline, elle aimait prendre tout son temps chaque fois qu'elle faisait l'amour avec moi. Sa bouche et ses baisers passionnés me faisaient autant d'effet que les caresses de ses doigts. Par moment, elle se montrait plus directive. Je me laissais guider comme une élève appliquée, cherchant à la satisfaire de mon mieux. Corinne savait que j'étais totalement vierge avec les garçons. Un jour, alors que nous avions joui une première fois ensemble, elle m'a demandé : -«Tu aimerais sentir l'effet d'être pénétrée par un homme ?» Je l'ai vu sortir un vibromasseur de sa table de nuit. Un objet fin de couleur blanche. Corinne m'a demandé de fermer les yeux : -«Je vais te faire l'amour comme si j'étais un homme.» Elle a promené le vibromasseur sur mes lèvres et m'a demandé de sortir ma langue pour le lécher. Un moment plus tard, elle a actionné les vibrations et elle l'a promené sur mes seins. C'était agréable comme sensation. Corinne s'est amusée à tourner autour de mon sexe, l'effleurant à peine, comme pour me faire languir encore plus. Je devais garder les cuisses écartées. De temps en temps, elle venait m'embrasser ou lécher le bout tendu de mes seins. Enfin, elle a posé le vibromasseur sur ma chatte, exerçant un doux massage de haut en bas. J'étais incroyablement excitée par cet objet qui vibrait sur ma fente et sur mon clitoris et qui me faisait mouiller d'une manière étonnante. Corinne a pris tout son temps. Elle m'a murmuré : -«Je l'enfoncerai quand c'est ton sexe qui le réclamera et qui viendra le chercher lui-même.» Ce sont les mouvements de mon bassin qui lui ont donné le signal et, délicatement, elle a introduit l'objet vibrant dans ma vulve. Elle l'a enfoncé avec une douceur infinie pendant que son autre main caressait mes seins. J'étais aux anges, découvrant le plaisir d'être «remplie» et possédée. Quelques minutes plus tard, je ne pouvais plus retenir mes cris alors que j'étais en plein orgasme. Ma première jouissance vaginale. Tout de suite après. Corinne est venue embrasser mes lèvres et m'a murmuré : -«Ça y est ! Tu es presque une vraie femme.» Mon aventure avec ma prof de piano a duré près d'un an. Je l'ai vécu pleinement et mes sentiments étaient très forts pour elle. Puis, il y a eu d'autres filles. De mon âge, cette fois. Et deux ou trois garçons. J'aimais les deux et je pouvais jouir sans problème avec les deux. Deux plaisirs qui étaient différents et complémentaires, deux plaisirs dont je ne pouvais pas me passer. Jusqu'au jour où Claire est entrée dans ma vie. Cela a commencé par une violente dispute après un accrochage de voiture alors que j'étais pressée. Elle avait grillé un feu rouge avec sa moto. Une semaine après, nous étions les meilleures amies du monde, dix jours plus tard, nous partagions le même lit. Avec Claire, d'emblée ce fut différent de tout ce que j'avais pu vivre avec les autres filles. Nous sommes devenues rapidement complices. Comme moi, elle était bisexuelle et totalement libérée sur le plan du sexe. Elle vivait ouvertement ses désirs et ses envies…

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MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004

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