COUP FOIREUX !!!

Maryse et Claudine sont collègues, elles sont toutes deux cadres dans une très importante multnationale où elles exercent la profession de conseillères en communication. Maryse s'occupe du personnel ; c'est elle qui est chargée de faire comprendre aux futurs licenciés qu'ils ne sont pas les exclus du système mais bien au contraire les heureux gagnants d'un formidable et généreux plan de licenciement. Claudine elle s'occupe des relations publiques ; c'est un peu le même genre de travail puisqu'il s'agit ici aussi d'embobiner les gens. Autant dire que l'une comme l'autre sont des pointures concernant les négociations à risque. Maryse et Claudine approchent toutes les deux la quarantaine, ce sont de superbes femmes dans la plénitude de leur séduction. Elles sont toutes les deux mariées et trompent raisonablement leur mari respectif. Leur grande idée à toutes les deux c'est un gang-bang mais comment faire… Ce n'est pas facile à proposer dans leur situation. En attendant, elles hantent les sorties mondaines, glânant çà et là un amant de passage. Aujourd'hui par exemple, elles se rendent au vernissage d'une vague expo à Strasbourg. Elles sont vêtues comme à l'accoutumée pour ce genre de sorties : super classiques, super sexy, super bandantes, robe noir fourreau, talons aiguilles, porte-jarretelles, pas de slip… Bourge dehors, putes dedans ! Dans le petit milieu intello provincial, elles se sont forgées une discrète mais sulfureuse réputation et la présence de leurs deux grosses BM de service ne passe jamais inaperçue. Ça fait maintenant 20 minutes que Maryse et Claudine roulent dans la forêt vosgienneet depuis quelque temps, une bagnole, style épave, les suit avec à son bord deux gamins à la mode loubard. Elles arrivent à un stop. Maryse, fort naturellement, s'immobilise. La voiture suiveuse les percute très légèrement. Avant qu'elle ait pu se dégager de sa ceinture de sécurité. Moktar, un des deux jeunes de la voiture, s'est rué dans la BM par la porte arrière et lui applique un cutter sur son cou. Moktar se rend immédiatement compte qu'elles sont deux dans la voiture ; le repose tête lui avait dissimulé la présence de la passagère. Il panique un instant. Ça, c'était pas prévu au programme… Pas de chance pour son premier car-jacking ! Cet infime instant d'angoisse et d'hésitation n'a pas échappé aux deux professionnelles qu'elles sont. Sans rien se dire, elles ont toutes les deux compris qu'elles allaient pouvoir retourner la situation. Mais pour l'instant, c'est Moktar qui a le cutter en main et c'est lui qui décide. - Toi la meuf, tu vas suivre mon copain et fermer ta gueule. Tu prends à droite et après 1500 m, tu prends le parking à droite dans le bois. - Oui, oui, je vois bien… C'est le parking du «Markholstein», répond Maryse. - Bordel de bordel !!! Tu vas fermer ta gueule oui ? Moktar n'en peut déjà plus. Le timbre de sa voix commence à changer, c'est le moment de porter l'estocade, se dit Maryse. - Bon écoutez, dit Maryse à Moktar, tout à fait éberlué par la suite des évènements, nous on a bien compris la situation mais je crois que vous, vous l'avez pas bien comprise. - Ah ouais hé ! Qu'est-ce qu't'as compris la meuf ? - D'abord vous ne vous attendiez pas à ce qu'on soit à deux dans cette voiture, vous savez pas quoi faire, ensuite moi, non seulement je sais d'où vous venez mais en plus je n'oublierez jamais votre n° de plaque, tout simplement parce que c'est un numero facile à retenir : 2 718… - Ah ouais, dit Moktar, se demandant bien ce que ça pouvait être ce chiffre de 2 718… et omment tu sais d'où que j'viens la bourge ? - Vous venez de Bitche parce que vous avez sur votre main droite le tatouage des armes de Bitche… Le serpent à deux têtes. Putain, se dit Moktar de plus en plus paniqué, mais sur qui je suis tombé ? - Ah ouais ! Et qu'est-ce qu'tu sais encore, répond Moktar maintenant au comble de la panique ? - Je pense qu'initialement vous vouliez voler cette voiture pour faire du stock-car dans votre cité mais que maintenant vous ne savez plus quoi faire. Je pense aussi que vous n'êtes pas seulement à deux pour faire ça mais au moins à quatre et que vos copains vous attendent au parking plus loin. Je pense enfin que vous savez plus quoi faire de nous et que vous n'avez pas du tout les couilles pour nous égorger. - Ah ouais ??? Et qu'est-c'qui t'fait dire ça la bourge ? - C'est mon

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JEUDI 19 JANVIER 2012

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