LE CYCLISTE

Le printemps éclatant de soleil m'incitait à sortir, aller respirer l'air pur du renouveau de la nature et profiter du VTT tout neuf que je m'étais offert quelques jours plus tôt. J'avais revêtu la tenue adéquate, le casque, le maillot de cycliste en lycra. Après quelques kilomètres je vis, au détour d'un chemin, une jeune personne pédalant en douceur. Une promeneuse, pas une cyclotouriste, dont je me rapprochai en raison de nos vitesses opposées. Si j'avais continué à la même allure je l'aurais vite dépassée Mais un imprévu me fit rester derrière elle. Et ça valait le coup ! Une très légère brise ajoutée à la faible vitesse de la cycliste m'offrit soudain le cadeau d'une vision sublime. Une jupe qui vole au vent et dévoile une affriolante petite culotte moulant une croupe splendide. Une vision bandante, au sens réel du mot car mon maillot en lycra ultra moulant ne pouvait pas cacher que je bandais à bloc. C'est à ce moment qu'elle se retourna, me vit et esquissa un sourire en guise de bonjour. Elle mit pied à terre, j'en fis autant, sans oser toutefois relever le torse, je préférais rester penché, mains au guidon, pour la raison que j'étais vraiment indécent ! En riant elle me demanda si j'étais perdu. Après lui avoir répondu par la négative, je lui expliquai ma passion pour le vélo et les longues randonnées que j'effectuais. Dans mon élan verbal je me relevai, les deux pieds au sol. J'entendis alors un rire cristallin plus près de la roucoulade que du rire de sergent ! Je n'eus pas longtemps à attendre pour en avoir l'explication. Pointant un doigt vers la protubérance qui distendait mon maillot, elle me demanda si le vélo était la cause de ce gonflement. Je ne sais si j'ai rougi mais je me sentis plus bête que gêné. Je pris le parti de rire tout en lui expliquant la raison de mon émoi… Au lieu de le prendre mal, elle rit de plus belle tout en s'étonnant qu'une vision aussi fugitive ait pu provoquer ma visible réaction. Tout en marchant, chacun avec son vélo à la main, je lui expliquai cette réaction, masculine en général, et la mienne en particulier, ma libido s'alimentant plus d'entrevu, de suggéré, d'aperçu, de transparence que de brutale exposition. La vulve écartelée, m'excite beaucoup moins que la vision flash d'une petite culotte entrevue sous une jupe, entre deux jolies cuisses. Quant aux petits derrières, je lui avouai mon faible pour ce charme féminin, un charme d'autant plus agréable au regard qu'il est précédé d'une chute de reins prononcée. Notre conversation se poursuivi sur ce thème comme s'il se fut agi d'une discussion philosophique, le plus sérieusement du monde. De l'émotion masculine nous sommes passés à l'émotion féminine et de sa manifestation. La petite culotte mouillée fut bien entendu au centre du sujet. Le plus naturellement du monde, elle m'avoua qu'elle était une mouilleuse patentée. Me payant d'audace, je lui demandai si c'était le cas présentement. À ma grande stupéfaction, avec un naturel étonnant, elle me répondit par l'affirmative, avec un petit sourire à faire fondre un bloc de granit. Je sentis que je pouvais pousser mon avantage. Je lui fis alors observer que ce n'était pas juste, elle pouvait voir ma réaction sexuelle mais je n'avais pas la même chance. Et alors là ce fut une tempête qui traversa ma tête car, prenant sa robe par le bas elle remonta la bordure jusqu'à son menton ce qui me permit de constater qu'elle ne m'avait pas menti : une tache d'humidité étoilait le fond de sa petite culotte, genre Sloggi. En riant, je lui fis remarquer que ce n'était pas ainsi que j'allais recouvrer un aspect décent. Répondant à mon rire, le sien, véritable cascade musicale, me démontra qu'elle me suivait sur ce terrain quelque peu scabreux. Ce fut à ce moment que je reçus le plus grand choc lorsqu'elle me répondit : - On peut arranger ça, non ? Pour toute réponse, je posai mes lèvres sur les siennes en un très léger bisou. Elle habitait une fermette arrangée en résidence secondaire, tout près de notre lieu de rencontre et proposa de nous y rendre. Sur sa proposition j'allai prendre une douche, toujours tendu avant, pendant et après. Je revins dans ce qui était le séjour, elle avait retiré sa robe et déambulait en slip et soutien-gorge. Je pus ainsi mieux admirer ses formes : corps superbe, admirablement proportionné, seins haut perchés, pointes vers le

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LUNDI 1 OCTOBRE 2012

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