QUEL DÉLICE, MA JEUNE COUSINE !...

Il était quatre heures de l'après-midi et toute la famille venait de partir pour la plage, sauf ma cousine et moi. Ma cousine faisait la sieste dans la chambre d'amis, tandis que je bouquinais dans le salon. Depuis son arrivée, je ne savais plus trop où j'en étais. C'était la première fois que je revoyais ma cousine depuis cinq ans. Elle avait dix huit ans tout juste et ne ressemblait pas du tout à l'enfant que j'avais connu jadis. Elle était naturellement sexy, j'avais beau me raisonner, il m'était impossible de rester insensible. Elle avait des jambes sublimes, une poitrine bien proportionnée et surtout un cul fait pour l'amour, avec de belles fesses rebondies qui m'excitaient dès qu'elle se mettait en maillot. Cet après-midi là, tout a commencé lorsque j'ai décidé d'aller prendre une douche. Tandis que je traînais sous le jet, mon regard se posa par hasard sur la porte de la salle de bain, et j'eus la nette impression que quelqu'un collait son oeil derrière la serrure. Je fis mine de rien, avant de sortir de l'eau et de me rapprocher pour vérifier… Je ne m'étais pas trompé, ma cousine me matait silencieusement. Après m'être séché, j'ouvris la porte brutalement, et ma cousine se retrouva courbée, le nez planté devant mon sexe déjà à demi bandant, à cause de l'excitation provoquée par cette situation insolite. Elle se recula, rouge comme une tomate. Elle balbutia un :«Excuse-moi, je suis désolée.», avant de retourner dans sa chambre. Je décidai de la suivre, avec l'assurance d'être en position de force, tellement elle semblait impressionnée par le spectacle de mon sexe exhibé sans aucune gêne. - Ce n'est pas grave. mais j'aimerais que tu te déshabilles aussi devant moi, tu me dois bien ça ! - Non je peux pas, je… je peux te montrer mes seins mais pas plus. - Okay, mais alors tu enlèves tout sauf ta culotte. Elle tremblait d'émotion, c'était marrant à voir. Sans doute c'était la première fois qu'elle voyait un mec nu devant elle, elle devait être pucelle comme une bonne s ur, ce qui, je l'avoue, avait tendance à augmenter mon excitation. Elle quitta ses chaussettes, puis sa jupe longue. Elle avait une culotte bleu clair en coton, avec une petite souris rose dessus, et quelques poils bruns débordaient sur les côtés. Elle ôta son body, puis se tourna pour quitter son soutien-gorge. Je pus mater son cul et imaginer le plaisir que je pourrais ressentir si je pouvais baisser sa culotte et enfoncer mon chibre dans ses chairs jeunes et tendres. Elle se tourna, ses mamelons étaient roses, la marque du bronzage semblait artificielle tellement ses seins étaient blancs. Je bandais complètement maintenant et je vis ses yeux se fixer sur mon sexe, comme si elle était hypnotisée. - Enlève ta culotte aussi ! - Non, je ne veux pas, je… - S'il te plait, tourne toi et baisse la juste pour me montrer tes fesses, juste quelques secondes. Elle hésita puis se tourna. Elle posa délicatement ses petits doigts sur la couture de sa culotte et la baissa doucement, en penchant aussi la tête comme si elle était résignée, obligée d'accepter ce que je lui demandais. En voyant ses fesses je sus que j'allais la baiser, maintenant, tout de suite. - Reste un peu comme ça, s'il te plait, lui dis-je. Je fis un pas vers elle, puis deux. Puis elle se tourna et remonta sa culotte. Mais c'était trop tard, j'étais à quelques centimètres d'elle, et je sentais qu'elle ne pouvait plus contrôler l'envie de s'abandonner à moi. Je la pris par les hanches et la serrai contre moi, mon sexe touchant son pubis. Sa langue toucha la mienne et je sentis son souffle trahissant une respiration accélérée. J'enfouis alors ma main dans sa culotte, sur sa touffe qui, comme je l'avais prévu, était déjà moite. Elle gémit et fit mine de se reculer : «Non, je…», mais mes baisers fougueux sur son cou et son visage l'empêchèrent d'en dire plus. Je descendis progressivement pour baiser ses mamelons, puis son ventre, avant de lui ôter sa culotte, sans aucune résistance de sa part. Sa chatte brune était petite mais bien touffue, mouillée par ses jus intimes. Je m'allongeai sur le lit en la tenant par le bras. - Assieds toi sur moi, doucement. Elle monta sur moi, tandis que d'une main je tenais mon sexe. Elle se posa doucement dessus, pour qu'il entre complètement entre ses cuisses douces. Elle ne mit pas dix ans à comprendre comment ça fonctionnait, et se balança d'avant

» Plan cul Pulnoy

DIMANCHE 12 SEPTEMBRE 2010

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