LE DÉPUCELAGE D'UN JARDINIER

Ma petite histoire a pris naissance l'été dernier. J'avais, à l'époque des faits, 18 ans et j'étais toujours puceau. Il y avait cinq mois que j'étais jardinier à plein temps chez les mêmes patrons car ils possèdent une propriété de plus de dix hectares. C'était au mois d'août, il faisait très chaud et j'étais en train de tondre la pelouse du verger. La patronne était en séminaire et son mari se dorait au soleil sur la terrasse arrière. C'est dingue mais dès que je pouvais, je l'admirais. J'ignore si c'était son habitude mais il se laissait bronzer à poil, parfois avec une toute petite serviette qui lui cachait le sexe. J'admirais ses pectoraux bronzés. Il avait un corps naturellement magnifique. Je tondais machinalement mais mes yeux étaient rivés sur ces muscles de rêve. Le pire c'est qu'il était jeune et marié à cette femme qui aurait pu être sa mère. Mais bon, elle était pétée de tunes et lui c'était un gigolo. Au bout d'un long rêve interdit sur lui, je me rendis compte que ma braguette subissait une poussée assez forte. Je continuai à le mater mais détournais vite mon regard dès qu'il croisait le sien. Au bout d'un moment il comprit que je le regardais. Il se leva, prit le petit caleçon qui pendait au bras d'un transat et vint me trouver. J'étais très honteux, il avait remarqué mon regard insistant. Il me demanda d'arrêter de tondre, ce que je fis dans la seconde. Il vint alors à côté de moi. Son caleçon presque transparent me laissait entrevoir deux magnifiques couilles qui rebondissaient à chaque pas. Je bandais très fort. Il me demanda pourquoi je le regardais. - Excusez-moi, monsieur, je ne voulais pas vous embêter mais c'est plus fort que moi. - Tu me trouves beau ? À ce moment, il tomba le caleçon et le laissa glisser le long de ses jambes impressionnantes. - Heu… vous êtes magnifique monsieur… Il me répondit qu'il s'appelait Sebastian. Il remarqua que ma braguette était gonflée et m'adressa un superbe sourire. - Viens prendre un rafraîchissement, tu en as besoin. - Oui, monsieur. - Non, je t'ai dit de m'appeler Seb. - Oui. Seb. Il m'entraîna sur la terrasse où il se faisait bronzer et me servit un verre de jus d'orange. Seb me regardait avec insistance et me demanda si j'étais puceau. J'hésitai un moment puis lui dis la vérité : Oui. Il me demanda si je voulais y remédier. Je lui dis que ça m'intéressait, en effet. Il me prit alors par le bras et m'entraîna dans la maison, jusqu'à la chambre. Alors il commença à me déshabiller. Il enleva mon t-shirt, puis m'embrassa fougueusement et me caressa le sexe à travers mon bermuda qu'il descendit très vite. Mon caleçon affichait une bosse énorme qui témoignait de mon plaisir. C'est à ce moment que je vis son sexe grossir entre ses cuisses. Nous étions à ce moment tous les deux nus et il me caressait à présent la verge avec insistance. Alors que je ne m'y attendais pas le moins du monde, il commença à me sucer. Il releva la tête et me dit qu'il voulait goûter mon sperme et qu'il le boirait jusqu'à la dernière goutte. Seb fit alors des va-et-vient de plus en plus rapidement et ça m'excitait beaucoup. Je finis par éjaculer. Sept ou huit longs jets de sperme se déversèrent dans sa bouche et il avala tout. Il releva le tête et m'étendit sur le lit. Il se coucha sur moi. Nos corps se touchaient, c'était bon, puis il s'assit sur mes cuisses et frotta son gros sexe contre le mien. Il fit plusieurs va-et-vient puis s'arrêta brusquement et me demanda de l'enculer. Surpris je lui demandai de répéter et il me dit que ça lui manquait à mort de se prendre un bonne bite au fion de temps à autre. Il se mit à quatre pattes sur le lit et me dit d'y aller. Mon sexe encore humide entrait en lui centimètre par centimètre assez facilement. Je commençai des va-et-vient et il hurla de bonheur. Il mouillait comme un vrai salopard (il avait du se prostituer dans le passé) et je jouis en lui alors qu'il avait un orgasme au même moment. Il m'invita alors à aller prendre une douche avec lui, ce que nous fîmes dans la seconde qui suivit. Après une bonne douche, nous restâmes tous les deux nus dans le salon et il me dit de m'allonger par terre. Je m'exécutai sans savoir ce qui allait m'arriver. Il s'allongea

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VENDREDI 19 AOûT 2011

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