DÉPUCELAGE DE VACANCES

Lors de mes vacances, même si je détestais cela plus que tout, je devais me rendre chez un vieil ami de mes parents, qui a une superbe fille de quelques années mon aînée, pour payer mes études. Je complétais des études supérieures en électromécanique et ce riche ami de mes parents décédés, la seule famille qu'il me restait en fait, me payait grassement pour faire la maintenance de ses équipements de ferme, chaque année. Et puis, il trouvait intéressant que sa fille, isolée en campagne depuis sa jeunesse, puisse profiter de gens de son âge… Sa fille était vraiment le détail qui sauvait mes vacances même si je n'avais réussi, jusqu'à présent, qu'à voir sa chatte alors qu'elle s'était un jour endormie au soleil, les jambes entrouvertes. Mais outre sa fille, que je rêvais de dépuceler car je savais qu'elle était vierge (sa pudeur était infinie), ce riche fermier (eh oui, c'est rare mais quand même possible !) avait également engagé une belle Latina d'une trentaine d'années à qui il aimait donner des surnoms ne laissant guère de place à l'imagination. Cette année-là, je venais d'avoir mes 19 ans et malheureusement, j'étais encore puceau… Et inexpérimenté en plus. Jusqu'à l'âge de 15 ans, je n'avais jamais regardé une femme ailleurs que dans les yeux. Mon entourage scolaire commençait même à croire que j'étais pédé… Puis un beau jour, je commençai à bander n'importe où, n'importe quand et, à chaque fois, il devenait impérieux de me cacher pour me branler et gicler. Cela pouvait m'arriver dix fois par jour, sans exagération… On aurait dit que les années de retard sexuel me rattrapait d'un seul coup ! Il faut dire que sans parents pour assurer ma subsistance et pour payer mes études, comme c'est souvent le cas dans les familles bien nanties, je devais chaque été me rendre chez cet ami pour faire des économies. À part sa fille, une pure farouche, une véritable sainte-nitouche, et la servante aux énormes seins, il n'y avait dans cette ferme que des employés masculins couverts de terre et de crottin… Bref, pas la mer à boire ! L'ami de mes parents était un excentrique, un vrai. Il avait les cheveux longs malgré sa calvitie, et il ne se défaisait jamais de sa robe de chambre en satin qui lui donnait un look de dandy. Il avait exigé de sa servante qu'elle effectue ses quarts de travail vêtue en soubrette de l'époque, ce qui semblait le distraire au cours de ses interminables journées passées devant son bureau. Même si la belle Latina me regardait, à chaque année, avec de plus en plus d'intérêt, je ne réussissais jamais à me retrouver seul en sa présence. Le dandy était toujours dans les parages quand la Latine échappait une seule seconde à sa vigilance. On aurait dit un amant jaloux… Un jour, je lisais le journal dans la cuisine lorsque la servante me fit un clin d' il avant de disparaître dans la cage d'escalier menant à l'étage. Je la suivis, certain qu'elle avait enfin pu déjouer la vigilance de son amant jaloux, mais lorsque j'arrivai en haut des marches, je ne vis que la porte de la chambre de John se refermer. La garce, me dis-je, plus déçu que fâché. J'avais déjà une érection, cela peut vous aider à voir à quel point j'étais en manque et à quel degré je laissai le sexe prendre toute la place dans mon esprit… Mon excitation eut finalement raison de ma moralité. J'allais espionner ce couple de débauchés et me branler devant ce film de cul «authentique» ! Je m'agenouillai alors devant la grosse serrure ancienne. C'était trop beau pour être vrai, je pouvais voir la servante se faire donner une fessée par John qui en souriait de bonheur. Les fesses de la brunette étaient grosses, de vraies merveilles, et à chaque coup sa peau faisait une petite vague sensuelle. Je remarquai plus tard qu'il l'enculait aussi d'un doigt. Je sentis mon c ur faire cent tours dans ma poitrine lorsque je constatai que la servante fixait mon seul il, elle savait très bien que j'étais là ! Je sortis ma queue de mon pantalon, frustré de ne pas pouvoir lui brandir à la tronche, et je me l'astiquai fermement. Tout ce qui se déroula dans cette chambre me surprit comme jamais, moi qui m'était toujours figuré John comme un mec pourvu d'une conscience, à tout de moins d'une joie de vivre et d'innombrables qualités humaines. Je fus d'abord choqué de voir le traitement

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VENDREDI 27 MARS 2015

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