NOS DÉSIRS JUSQU'AU BOUT

J'ai épousé un homme voyeur. Très voyeur. Le petit vice de Guillaume, mon mari, ne m'a jamais dérangé dans la mesure où je suis assez exhibitionniste. J'aime plaire et montrer mon corps, j'ai toujours ressenti un trouble étrange en m'affichant sur une plage naturiste. Quand j'ai rencontré Guillaume, il y a cinq ans, son grand plaisir était de me photographier nue ou en tenue très sexy avec des bas, porte-jarretelles, strings ou culottes coquines. Au début, il s'agissait de clichés soft mais j'avoue que les petites séances de pauses que m'imposait mon mari avaient le don de me mettre hors de moi et de me faire terriblement mouiller. Cela se passait chez nous ou dans la nature ( forêt, plage l'été, champ de vignes ). Il fallait ensuite que Guillaume me fasse l'amour plusieurs fois de suite. J'étais déchaînée, en chaleur, j'avais besoin d'être prise violemment et sans retenue. D'être limée à fond et par tous les orifices. En dehors d'être voyeur. Guillaume est un très bon amant, plutôt directif et dominateur. Il sait me faire jouir comme j'aime. Au lit, il se comporte comme un véritable macho et rien ne m'excite autant que d'être sa poupée docile qui ne doit rien lui refuser. C'est assez hard entre nous deux. Je suis folle de sa queue, folle de lui et j'ai tout le temps envie qu'il me baise. Après les séances soft, je suis passée à des exhibitions plus cochonnes devant l'objectif de mon mari. Guillaume me faisait prendre des postures carrément obscènes. Je devais, par exemple, écarteler mes fesses pour lui offrir des gros plans de mon petit trou, me caresser et me pénétrer avec mes doigts. Puis, il y a eu des godes, des boules de geisha, des objets divers que je glissais dans mes orifices. Et moi, dans tout ça, je mouillais comme la dernière des vicieuses, devant comme derrière ou des eux côtés en même temps. Plus c'était cru et osé et plus ma chatte se trempait. J'étais devenue une jeune femme complètement pervertie ! Et attirée par les pratiques sexuelles les plus scandaleuses. Une débauchée ! Mais c'était délicieux pour moi et j'étais prête à suivre Guillaume aussi loin qu'il le désirerait. C'est son côté voyeur qui m'a permis de vivre ma première aventure homosexuelle. Il rêvait de me voir dans les bras d'une autre femme. De me voir et de nous photographier toutes les deux. J'ai accepté pour lui faire plaisir et dans le lit de ma première maîtresse, je me suis rendue compte que je pouvais prendre autant de plaisir avec une femme qu'avec un homme. Elle s'appelait Solange. C'était une femme divorcée de 42 ans, une jolie bourgeoise très BCBG qui était directrice d'une agence bancaire. Guillaume l'avait contactée par Minitel et elle était prête à m'initier aux plaisirs de Sapho tout en s'exhibant, elle-aussi, devant les objectifs de mon mari. Je suis tombée sur une femme assez vicieuse et elle a su, avec délice, me faire découvrir toutes les facettes et tous les secrets de l'amour lesbien, les caresses, les jeux de langues, les pénétrations à l'aide d'un gode-ceinture, etc. Avec elle, je me suis contentée d'adopter une attitude passive et docile, ce qui tombait très bien car Solange préférait dominer et prendre les initiatives. Elle m'a baisée pendant que Guillaume nous mitraillait, elle m'a sodomisée et poussée aux pires excès de vice. Cette femme était très attirée par mon cul et elle s'est longuement attardée dessus, de la manière la plus perverse qui soit. J'avais fait le grand saut ! La bisexualité faisait partie de mes fantasmes et j'y avais enfin goûté, surprise d'en retirer une jouissance aussi forte et aiguë. La présence de Guillaume comme voyeur et qui, au bout d'un moment, avait laissé tomber son appareil photos pour se joindre à nous, n'étais pas étrangère à la violence de mon plaisir. Exhibitionniste, lesbienne et… Un soir de vacances dans la région de Nice et en plein mois de juillet, j'ai franchi un pas de plus en accompagnant Guillaume dans un club échangiste : le 606. J'étais très intimidée en pénétrant dans la salle, émue et anxieuse. Deux heures plus tard, j'étais nue dans l'un des coins câlins du club, déchaînée, m'offrant à des hommes et à des femmes, jouissant sans retenue. Guillaume m'avait trouvé «merveilleuse», plus salope que jamais et très excitante. Il m'avait contemplé une bonne partie de la soirée, préférant se régaler du spectacle impudique que j'offrais plutôt que de

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JEUDI 5 MARS 2015

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