JE DEVAIS AVOIR 18 ANS - 1

Je devais avoir 18 ans Ou à peine plus. Je sortais avec Nathalie à l'époque. Ma première relation sérieuse, et ma troisième expérience sexuelle avec quelqu'un (juste avant, il y avait eu Catherine, celle qui m'a dépucelé et qui a dû dépuceler la moitié du lycée d'ailleurs, et ensuite Audrey, qui me masturbait pendant les cours de maths). Ça faisait un moment que ça ne marchait plus très fort avec Nath. On mettait ça sur le compte du bac, du stress ; mais même au lit on ne se retrouvait plus. Alors que je savais déjà très bien que c'est pendant les périodes de stress que je suis habituellement le plus excité. On se voyait à peine, et pour le peu de temps que nous passions ensemble, c'était pour nous engueuler. Il n'y avait pas de réconciliation sur l'oreiller qui tienne. Enfin, il n'y en avait plus. Nous avons quand même passé notre bac en restant officiellement ensemble parce que «ça ne se fait pas de larguer sa copine avant une échéance aussi importante», comme le dit la société bien-pensante, et je dois dire que je m'y pliais encore. Après l'effort, le réconfort donc. Et après le bac, les claques. Wouahhh Quand j'y repense Quelles claques on s'est mises ?! À boire plus que notre saoul, le vainqueur étant le dernier debout à être en état de rappeler aux autres ce qu'ils avaient vomi avant de tomber La belle époque comme on dit. C'était à une de ces soirées que ça s'est produit Je ne sais plus chez qui on était, mais bref, c'était dans le champ des parents d'une quelconque fille du lycée, que j'avais dû insulter plus souvent qu'à son tour avec mes potes. Elle aurait eu du mal à en réchapper, tout ce qui portait pénis y passait. Nous avions fait un grand feu au milieu du champ, et les tentes étaient organisées autour. Nous devions être une bonne quarantaine à nous être réunis pour décompresser, après les épreuves et en attendant les résultats. Il y avait tous mes amis (Jean. Christian. Tony. Joe ) et ceux de Nath. Elle aussi était là. Je n'avais pas encore mon permis, elle non plus, et ce sont ses parents qui nous avaient conduits («soyez sages, pas de bêtises hein !»). Notre relation n'allait pas vraiment mieux, mais les épreuves finies, nous avons renoué un peu le dialogue et nos corps, en fêtant ça par une nuit où elle me laissa descendre le long de ses seins puis de son ventre, pour venir fondre mes lèvres aux siennes. Chose à laquelle elle se refusait jusqu'alors. Et si je sentais à ses gémissements qu'elle avait dû éprouver un peu plus que du plaisir, je restais sur ma faim et ma frustration, car une fois qu'elle décida de s'occuper de moi de la même manière, ce fut la débandade. Elle me le reprocha, mais qu'y pouvais-je ? C'est peut-être méchant, mais il est drôle qu'elle n'ait pas eu son bac à l'oral cette année-là. Non, ça n'est pas lui rendre hommage car elle suçait vraiment très bien Juste que je n'étais pas dedans Ça ne s'explique pas ce genre de choses. La soirée commença comme toutes celles de cette période : de petits clans qui se forment, à parler des futurs résultats, les pronostics des uns venant contredire les peurs des autres, puis des jeux d'alcool s'organisent : «gros poulets», «vaches qui tâchent», «murgeopoly» Autant de noms savoureux et divers pour un même résultat : des rires sans cause, des larmes sans conséquence, des engueulades, des réconciliations, des embrassades, des tripotages, avant que tout ce petit monde ne se mélange, désinhibé, ivre et même franchement bourré. Nath et moi avons passé la soirée chacun de son côté avec nos amis respectifs. À peine si nous nous lancions un regard de temps en temps. Et je dois dire que la petite rousse - la copine de fac de la fille qui organisait la fête d'après mes souvenirs - me plaisait pas mal. De son côté, elle me faisait sentir qu'un petit lycéen n'était pas fait pour lui déplaire. Nos regards devenaient de plus en plus appuyés et nous nous rapprochions imperceptiblement à mesure que les minutes s'écoulaient. J'étais avec Joe et Christian quand elle est venue nous voir. Elle aussi avait bien bu, c'était une évidence. Avec sa délicatesse habituelle. Joe m'avait glissé à l'oreille un : - "Putain ! T'as vu les nibards qu'elle se tape ?! Nom de dieu, elle ferait bander

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VENDREDI 21 FéVRIER 2014

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