DÉVOREUR DE CHATTE

Lorsque j'ai rencontré Nat, elle m'a tout de suite subjugué ! Simple, une bouche sensuelle, 45ans, mince, les cheveux longs, des yeux magnifiques et surtout pas de lunettes. Elle a de magnifiques petits seins, mais aussi… des jambes merveilleuses que sa jupe met en valeur et qu'on a envie de caresser. Cela fait quelque temps que nous nous connaissons et, cet après midi, nous avons rendez-vous dans un café près de Lille. Je la vois arriver souriante, nous nous embrassons et je l'invite à s'asseoir. La conversation commence banalement mais prend vite une tournure plus intime que d'habitude. Elle cherche manifestement à savoir si j'aime le sexe mais ma timidité me fait bafouiller, je m'en veux à un point qu'elle ne peut sans doute imaginer ! Heureusement, elle voit mon trouble et, me prenant la main, elle vient tout contre moi. Au lieu de m'envoyer promener, elle fait tout pour me détendre, sans pour autant abandonner son sujet, car elle tient à savoir si le sexe est pour moi un sujet primordial ! Un peu plus à l'aise, je lui réponds et lui dit tout de go ma passion. Excessivement sensuel, j'adore plus que tout lécher et sucer la chatte de ma partenaire ! Voir, toucher, sentir, goûter est pour moi le summum du plaisir. Pouvoir parcourir les lèvres de son sexe, lécher son clito, le caresser, le voir devenir une petite bite, enfoncer ma langue dans sa merveilleuse chatte… Tout cela est pour moi une passion, quelque chose d'indispensable, un besoin que je ne peux réprimer, une passion qui m'oblige à passer du temps entre ses jambes. Maintenant qu'elle est assise près de moi, je rêve de sentir sa cuisse contre la mienne, de sentir qu'elle se colle ainsi, mais pas qu'un peu ! Non, vraiment coller sa cuisse à la mienne !!! Elle sent ma jambe se rapprocher et loin de se reculer, elle s'y appuie comme je l'espérais tant ! Je laisse échapper un soupir d'agrément. D'un seul coup elle me dit : -«Les sous-vêtements t'excitent ou préfères-tu que ta femme soit totalement nue pour lui lécher la chatte ?» Sans une hésitation, je lui réponds : -«Totalement nue ! Ça oui ! Sans le moindre petit bout de tissu, rien, vraiment nue ! Euh… excuse-moi d'être aussi direct.» -«Non ! Au contraire ! J'aime me mettre totalement nue et laisser mon homme s'occuper de ma chatte mais je ne suis pas rasée pour le moment, si tu veux, je le ferai.» -«Oh non ! Surtout pas ! Reste comme ça, je te préfère comme tu es, j'adore caresser les poils, les voir, pouvoir les lécher, y chercher tes lèvres, ton clito, le sucer, l'aspirer, voir ce meveilleux clito se dresser et durcir, pouvoir enfoncer mes doigts tendrement dans ton sexe et en caresser l'intérieur, pouvoir déguster ta merveilleuse liqueur ; tout cela au milieu de ta douce toison que j'adore.» Je sens sa cuisse commencer à frémir, ses jambes s'écartent un peu et sa main voudrait se diriger vers son entrejambe mais regardant autour d'elle, elle voit les clients du café et se retient. -«Encore une chose, me dit-elle. Je n'aime pas particulièrement sucer les bites… Ça te pose un problème ?» -«Non ! Aucun !» -«Encore une petite chose, ajoute-t-elle, tu vas dire que j'exagère un peu mais bon… Je ne suis pas une fan de la sodomie, mais alors pas du tout !» -«Quelle importance ! Je ne le suis pas plus que toi et je ne te le demanderai certes pas ! Ce qui m'importe avant tout, c'est de te lécher, de te sucer, de te masturber et tout cela pour que tu ais du plaisir, c'est un besoin pour moi, mais j'aimerais pouvoir aussi utiliser des toys.» Alors elle me dit : -«On y va ?» -«Ok allons y… Même si j'étais si bien avec ta cuisse contre la mienne !» -«Attends, je passe au petit coin et je reviens.» Cinq minutes après, je la vois arriver et remarque qu'elle a retiré ses bas. J'admire maintenant sa peau douce et j'imagine que je la caresse. Elle me glisse dans l'oreille : -«Hey, ne rêve plus, regarde mes cuisses… Elles n'attendent que tes mains !» Lestement elle s'avance et, souriant, elle m'entraîne avec force. Rapidement nous nous retrouvons devant la porte de son appartement. Je l'embrasse dans le cou et je sens que sa respiration s'accélère. À peine entrée, elle se plaque au mur du couloir et me dit qu'elle n'en peut plus ! Elle m'attire contre elle en m'embrassant fougueusement, un baiser

» Plan cul Beaurepaire

SAMEDI 28 NOVEMBRE 2009

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