DOCTEURE VERAMONTE

En se réveillant au milieu de la nuit. Michaël sentit que quelque chose n'allait pas. Le léger mal de tête de la veille avait fait place à une migraine épouvantable, il avait des sueurs froides, et sa gorge le faisait souffrir horriblement. À sept heures dix. Meredith Veramonte, 29 ans, jeune docteur en médecine, née à Catane, en Sicile, de père espagnol, ouvrait son cabinet médical. Les temps n'étaient pas si brillants pour elle. Après autant d'années d'études, son déménagement tout récent lui avait fait perdre sa clientèle d'habitués, et Dieu sait s'il est difficile d'inspirer confiance à des patients de nos jours. Aussi, elle se précipita sur le téléphone dès la première sonnerie et se présenta : - Cabinet du Docteur Veramonte, bonjour. - Bonjour. Michael Lemaire à l'appareil, je vous appelle pour vous demander de passer chez moi, je crois avoir la grippe. - Bien sûr, où habitez-vous ? - Juste au-dessus de chez vous, au quatrième étage, appartement C. - Bien, dans ce cas, je vais passer tout de suite. Vous me rappelez votre nom s'il vous plaît ? - Michael Lemaire. - Très bien, monsieur Lemaire, à tout de suite. - Ok, je vous attends. La porte sera ouverte, sonnez et entrez. En voilà un heureux hasard ! Un voisin de son cabinet qui l'appelle. Enfin, tant mieux, ses consultations ne commençaient que cet après-midi, et puis, le travail administratif attendrait bien. Sans enfiler de manteau, elle prit donc son attaché-case et rajusta son tailleur et son pantalon avant de sortir. Elle fit comme il avait demandé. Après avoir sonné brièvement, elle poussa la porte et franchit le seuil. Elle referma ensuite derrière elle et se dirigea vers la pièce d'où provenait la lumière, au fond du hall. En entrant dans la chambre, elle trouva son patient étendu sur un grand lit, sous une énorme couette. À son visage, elle comprit immédiatement que celui-ci se sentait bien mal. - Bonjour, je suis le docteur Veramonte. Comment vous sentez-vous ? - Bonjour, docteur, répondit Michaël. Pas fort bien, j'avoue. - Que ressentez-vous, exactement ? Vous avez de la fièvre ? - Je ne sais pas, je crois avoir de la fièvre, mais j'ai surtout très mal à la tête et à la gorge. - Vous pouvez vous lever ? - Euh, je ne préfère pas, je ne suis pas habillé, et puis être debout m'est encore plus pénible. Michael était un peu gêné, il est vrai. Il était nu comme un ver sous sa couette, et puis cette femme était superbe. Grande, des cheveux noirs ondulés qui descendaient jusqu'au bas de son dos, et puis des seins fiers et hauts, et qu'il devinait tellement appétissants sous son tailleur. Sa grippe n'avait pas éteint en lui toute forme de libido, et la venue de cet ange magnifique et qui dégageait un parfum frais et sucré lui nouait le bas du ventre. - Vous savez, je suis médecin, je ne suis pas offusquée de voir des gens nus. Et, joignant, le geste à la parole, elle descendit la couette qui recouvrait Michael juste au-dessus de la ceinture. Elle tendit la main pour se saisir de son stéthoscope, le plaça sur ses oreilles, et ausculta le torse de Michaël. Le contact du métal froid le fit frissonner, mais au contact de sa peau brûlante, l'instrument se réchauffa bien vite. Le médecin lui demanda de se coucher sur le ventre, et elle ausculta son dos, à la recherche d'une infection respiratoire plus aiguë. Se débarrassant de son stéthoscope, elle lui annonça : - Je vais maintenant prendre votre température. Elle prit un thermomètre dans sa trousse, puis descendit la couette encore un peu plus bas, découvrant les fesses de son patient. La sensation du thermomètre frais entrant dans son fion surprit Michael, mais il s'en dégagea une sensation de douceur et de bien-être, et il eut du mal à retenir un gémissement de plaisir. Meredith avait gardé une main posée sur sa fesse pour maintenir le thermomètre en place, et le contact de sa peau douce lui procurait un certain plaisir, il devait bien se l'avouer. En ôtant le thermomètre, elle caressa sans y penser la fesse droite de son patient, et lui annonça : - C'est la grippe, cher monsieur. Je vais vous faire une injection directement, afin que le traitement agisse le plus rapidement possible. Elle chargea donc une seringue, fit l'injection, puis frotta abondamment la fesse de Michaël pour atténuer la douleur de la piqûre. Comme elle s'attardait plus que nécessaire à cette tâche, le jeune homme se posa des questions, mais bientôt il sentit les deux mains de Meredith se poser sur…

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SAMEDI 3 MAI 2008

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