DOMINATION EN UNIFORME

Notre brigade de sapeurs-pompiers était constituée en majorité d'hommes approchant de la retraite. En fait, j'étais le seul jeune homme, l'unique relève dont la petite ville de La Roche-en-Ardenne, avec ses quelques trois mille habitants, disposait à cette date. Ce titre me conférait un certain prestige au sein de notre unité et certains ressentaient envers moi plus qu'une simple fraternité professionnel. Nous entretenions plutôt une amitié virile bien spéciale… Cette amitié débuta avec mon arrivée dans l'escouade des sapeurs. J'avais tout juste vingt ans et, au contraire des doyens de la place, ma libido était à son plus fort. C'est pour cette raison que je ne pouvais m'empêcher d'avoir à l'égard de mes compagnons de travail quelques paroles et gestes déplacés. Les plus orgueilleux s'éloignèrent rapidement de moi et de mes admirateurs puisqu'ils croyaient à juste titre que j'étais un pédé… Toutefois, une petite clique d'intéressés se formait déjà autour de moi. Pour moi, le sexe était et sera toujours un jeu. Et cela l'est vite devenu pour certains sapeurs qui, comme moi, trouvaient le temps longs à la caserne. S'il y avait deux feux par semaine dans ce bled perdu, c'était considéré comme une semaine éreintante… C'est aussi la raison pour laquelle l'unité des sapeurs ne comprenait qu'une trentaine d'individus, scindés en trois groupes. On m'avait placé dans le groupe des vétérans afin qu'ils m'apprennent les rudiments du métier, cependant nos activités professionnelles consistaient davantage en la pratique du poker et du black jack. Je me pliai volontiers à leur partie de cartes platoniques, au début du moins, où je pouvais allumer quelques mecs avec mes pieds sous la table. J'étais devenu grandement doué pour bluffer, réfléchir et masturber les bites du pied simultanément, bien entendu sans que tout cela ne paraisse ! Ma première réforme ludique au sein de cette fraternité de matures blasés fut d'imposer le strip-poker. Notre unité fut donc naturellement scindée en deux groupes, les plus âgés d'un côté, hétéros coincés et mariés conservateurs, et de l'autre côté, ma clique de joyeux satyres ! Paul n'était pas particulièrement charmant avec son crâne dégarni, son petit bide rond et son nez d'aigle. Il avait même une drôle de tronche, le mec ! Mais son regard intelligent et passionné me plut aussitôt ! Paul était le meilleur ami de Benoît, le seul trentenaire de l'unité. Autrement dit, il était l'un des plus jeunes et l'un des mieux foutus de la caserne ! On s'est tout de suite entendus comme des frères lui et moi. Julien fut l'avant dernier à rejoindre notre clique de joyeux lurons, c'était un type un peu grisonnant au sens de l'humour noir qui semblait posséder un beau corps d'apollon malgré sa quarantaine avancée. Un jour, il me fut offert de le voir torse nu, un torse puissant recouvert d'un long duvet blond. Je me serais bien enfoui la tête dedans avant d'aller lécher son sexe avidement… Je savais qu'un jour, cela viendrait ! Les six autres sapeurs se tenaient à distance de notre groupe qu'ils traitaient impunément de «bande de tafiotes». Ils avaient donc déplacé une table dans la cuisine pour jouer sans nous car ils abhorraient nos parties de poker version strip-tease ! Lors de ces fameuses parties, il était bien rare que je me retrouve dénudé parce que je bluffais aussi bien que Benoît, un habitué de ce jeu. À chaque partie, nous regardions Paul et Julien ôter leur vêtement un à la suite de l'autre et nous nous en délections franchement. Quoiqu'il n'était pas rare de voir un pompier claquer le cul d'un autre, un geste rien de plus qu'amical et banal, nous en avions fait notre habitude au sein de la clique. Chaque fois que Julien ou Paul se levait pour enlever un morceau de vêtement, j'en profitais pour leur donner de gentilles tapes sur les fesses. Je rêvais du jour où ils ne pourraient plus se contenir et banderaient comme des bienheureux. Ce jour arriva rapidement car nos parties étaient de plus en plus chaudes et, maintenant, il n'y avait plus seulement mes pieds et mes mains qui se baladaient sous la table. Ma perversion, comme j'aimais appeler ma libido insatiable, était venue à bout de ces trois gaillards célibataires. Je n'eus aucun mal à les initier à la sodomie, à l'exhibitionnisme et au sadomasochisme. Ayant toujours préféré le chemin plutôt que le but, mon imagination s'activait à chaque nouveau pas franchi en leur compagnie, afin de trouver de nouvelles pratiques auxquelles j'adorais les soumettre. Je

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VENDREDI 30 MARS 2012

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