DOUCE SIESTE

J'ai toujours aimé me promener au bord de la mer au mois de septembre. Il n'y a plus de touristes et on peut mieux apprécier l'immensité de l'océan. De plus, il fait en général encore chaud, surtout au milieu de l'après-midi. Je me souviens d'une journée particulièrement chaude. C'était quelques jours avant la rentrée scolaire. Je me promenais comme d'habitude dans les dunes et je pensais à la Fac, à toutes les thèses, aux copains. Je rentrais en sciences politiques, une classe réputée difficile. Il faisait vraiment chaud et je décidai d'aller me baigner. Comme il n'y avait absolument personne, je me mis complètement nu et je couru vers la mer. Je nagai pendant une bonne demi-heure. En sortant, un vent frais m'obligea à courir vers les dunes pour me mettre à l'abri. Il faisait de nouveau tellement chaud, je m'allongeai sur le dos sans me rhabiller et je m'endormis. Je fus réveillé par un bruit de voix et de rigolades étouffées. Encore engourdi, je préférai ne pas ouvrir les yeux et attendre que les intrus partent. Les bruits de chuchotement reprirent. Cette fois-ci, un peu plus réveillé, je réussis à estimer la distance. C'était des voix de jeunes hommes, qui devaient être à une dizaine de mètres. J'attendis qu'ils partent en continuant de faire semblant de dormir. Les voix reprirent. Cette fois-ci, elles était vraiment près. Je pouvais comprendre ce qu'elles disaient. - Viens, on s'approche encore un peu. - T'es dingue mec et s'il se réveille. - Mais viens, on verra mieux. Cette fois, j'étais complètement tétanisé, je n'osais plus respirer. Mon c ur battait à grand coup. - Regarde son gros zob. Les gloussements et les chuchotements étaient maintenant tout près. Je sentis une ombre passé au-dessus de mon visage. Le crissement du sable m'indiqua que l'individu devait s'être assis juste à mes jambes. Mes bras commençais à trembler. - T'as vu comme il est bandant, tout nu. - Arrête tu vas le réveiller. - Mais non, regarde… Je sentis un souffle tiède le long de ma verge. Mon c ur commençait à s'emballer. Les deux garçons retinrent un fou rire. - T'es complètement malade mec ! Ils rigolèrent de nouveau. Je sentis un frôlement de cheveux sur mes testicules suivit d'un petit baisé sur mon gland. Leurs rires indiquaient qu'ils étaient aussi excités que moi. Je ne bougeais toujours pas. - Regarde, son zob grossit à vue d' il. - Bon allez arrête, on part. - Non, attend… J'ai envie de le faire bander grave… Cette fois c'est une langue chaude et humide qui commença à se balader autour de mon gland. Ma verge devint très dure. - Ouah ! Elle est énorme cette bite ! Ça m'excite. - Ouais, moi aussi, ça me fout la trique… Après avoir étouffé un éclat de rire, l'un d'eux mit mon pénis dans sa bouche. Je sentais sa langue se promener autour de mon d'organe, et j'avais beaucoup de mal à retenir mon orgasme. D'abord timide, sa bouche avalait de plus en plus mon sexe. Un frôlement d'air venait de m'indiquer que son copain venait de quitter ses vêtements et les avait jeter juste à côté de moi. L'ombre sur mon visage, m'indiquait que le mec s'était placé juste au-dessus de moi. Il était à califourchon au-dessus de ma tête et il amena sa bite juste devant mes narines. - Sa respiration est chaude, ça m'excite… J'avais une envie folle de lui attraper le gland à ce petit con, mais je me serais alors trahit. Aussi, je me contentai de respirer plus fort. Son sexe était maintenant en contact avec mon nez et il commença à se frotter dessus. Son pénis ne semblait pas très gros et la peau en étant tellement douce… Je sentis dessus quelques gouttes de plaisir perler. Pendant ce temps, le premier type avait arrêté de me sucer et c'était à son tour de se déshabiller. Il prit ma verge et tenta de la diriger vers son anus. Au bout de la troisième tentative, ma queue rentra dans son fion bouillant. Il commença à se dandiner sur moi. Je n'en pouvais plus mais je ne voulais pas éjaculer en lui. Je ne savait même pas si ils avaient dix-huit ans… Le plaisir qu'il me procurait devenait insoutenable… - On échange mec ? - D'accord… Il était temps : au moment où ma verge quittait ses entrailles, je ne pus retenir mon éjaculation. - Oh, putain ! Je pourrai même pas en profiter. C'est dingue qu'il se réveille pas, tu trouves

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DIMANCHE 1 AOûT 2010

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