SOUS LA DOUCHE

Nous décidâmes de prendre une douche ensemble. Je te savonnais des pieds à la tête et, de toute évidence, tu appréciais ce prélude. Nous étions tous deux impeccablement propre depuis longtemps, mais nous n'avions toujours pas envie de bouger. J'étais heureuse d'être sous la douche avec toi. La cabine était devenue une petite chambre confortable. Je massais doucement ton sexe dressé. J'avais peine à le tenir entre mes mains. Tu le frottais un moment contre mes fesses, le poussais entre mes jambes tout en m'enlaçant tendrement. L'eau ruisselait sur nos corps. Puis tu me retournais, prenant ton énorme pénis dans ta main et le pressais contre mon pubis encore couvert de savon. J'étais au comble de l'excitation. Je mourrais d'envie de te faire l'amour. Nous sortîmes rapidement de la douche et nous nous allongeâmes sur le lit sans prendre le temps de nous sécher. Tu étais très doux et beaucoup moins innocent que tu ne le paraissais. Tu te révélas un amant exceptionnel. Je renonçai vite à te montrer l'art d'aimer. Tu me caressas doucement et m'embrassas sur tout le corps. Je frissonnai de plaisir. Tu écartas mes jambes et posas tes lèvres sur mon sexe. Je sombrai dans une délicieuse extase. Ta bouche explorait avec ferveur la partie la plus intime de mon être. Tu plaças ensuite tes larges épaules sous mes cuisses et me serras contre toi tout en continuant de me lécher. Je me sentis devenir humide et brûlante. Mon corps était tendu à l'extrême. Les pointes de mes seins se dressèrent lorsque tes doigts experts et ta langue habile trouvèrent mon clitoris. Je sus que j'allais jouir. J'avais tellement envie de jouir ! Mes jambes enserrèrent ta tête et je perdis totalement le contrôle de mon corps. Je hurlai de bonheur et mes cuisses se pressèrent contre ta tête comme pour la faire entrer en moi tandis que le plaisir me submergeait. Épuisée, je t'écartai doucement et restai immobile, allongée près de toi. J'étais un peu gênée de m'être laissée aller aussi vite et d'avoir été aussi démonstrative. Nous nous reposâmes quelques instants puis je commençai à te caresser et à t'embrasser. Mes lèvres effleurèrent tes seins, ton nombril, puis ma bouche avide se referma sur ton sexe. Tu ne te laissas pas faire bien longtemps. Tu me retournas et nous nous retrouvâmes bientôt en position 69. Ta langue douce reprit sa délicieuse exploration. Je sentis ton pénis grossir et durcir. Tes hanches esquissaient maintenant un lent mouvement de va-et-vient. Je te sentis prêt à exploser. Cette sensation, ajoutée aux merveilleuses caresses que tu me prodiguais, me fit trembler de plaisir. Mon corps s'agitait encore plus fort que la première fois tant était grande l'excitation. Malade de désir, je me mis à lécher follement ton sexe et tes testicules tandis que, de ma main, je te massais les fesses et le dos. Tu gémissais et je compris que tu essayais désespérément de te retenir le plus longtemps possible. De nouveau je quittai la terre. Je me vante de pouvoir contrôler mes orgasmes à ma guise mais avec toi, ce fut parfaitement impossible. Pour la deuxième fois, je m'abandonnai à la jouissance. Tu me plaças ensuite sur le dos et me pénétras. C'était comme si tu avais toujours été là. Tes mouvements étaient d'une douceur extrême. Malgré la taille de ton sexe, je n'éprouvai aucune douleur. Tu me caressas la nuque, fit courir tes doigts agiles le long de mon dos et sur mes fesses. Puis tu me soulevas et pénétras encore plus profondément en moi. Je me croyais au septième ciel lorsque tout d'un coup tu te retiras. Je te suppliai de rester. Heureusement, nos corps ne demeurèrent pas longtemps séparés. Tu me retournas sur le ventre et plaças deux gros oreillers sous moi. J'étais à genoux, les fesses en l'air, la tête et les bras posés sur les coussins. C'est ainsi que tu me pris. Cette position est réellement extraordinaire, mis à part le fait qu'on ne peut voir son amant. Toutefois, elle procure de fantastiques sensations. Mes doigts s'enfoncèrent dans les oreillers et je hurlai de plaisir lorsque nous jouîmes ensemble. Tes ongles étaient plantés dans la chair de mon dos. La douleur augmentait encore mon délire. Je sentis les pulsations de ton pénis dans mon sexe humide et la chaleur de ta semence. Nous nous étendîmes ensuite côte à côte, épuisés mais heureux, sans cesser de nous caresser tendrement. Pleinement satisfaits, nous éteignîmes la lumière et nous nous couchâmes tous les deux sur le côté, serrés l'un

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MARDI 13 NOVEMBRE 2012

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