DOUG, LE MARI DE MA SOEUR
Ma soeur avait quitté la France pour rejoindre son mari aux États-Unis. C'était un beau Black américain, grand, musclé et sportif. Je le connaissais par les photos qu'elle m'avait envoyé mais elle ne me l'avait jamais encore présenté. Cette année là, elle se décide à venir passer les fêtes de Nouvel An avec nous en Haute-Savoie. Nous allons donc les chercher à l'aéroport de Genève. J'ai beaucoup de plaisir à prendre ma soeur dans mes bras, cela faisait si longtemps que je ne l'avais pas vu. Je fais alors connaissance avec Douglass alias Doug. Quel magnifique gaillard ! Nous rentrons à Annecy pour faire une collation car il est tard et ils sont fatigués du voyage. Nous avons prévu de les installer dans le salon en ouvrant le canapé convertible. Ils s'installent et vont faire leur toilette avant la nuit et on se souhaite une bonne nuit. Je rejoins ma chambre où m'attend mon mari. Celui-ci est déjà au lit en train de lire. Je me déshabille et me met au lit. Il me demande s'ils sont bien installés et il commence à me titiller. Bientôt je m'abandonne et nous commençons à faire l'amour suivant notre recette. C'est bon et tellement bien quand soudain, ma soeur m'appelle et me demande de descendre. J'enfile mon peignoir et je descends voir ma soeur. La lumière du salon est allumée et sur le drap blanc elle me montre un gros cylindre marron. Je lui demande ce que c'est et elle me demande de toucher. Innocente, je prends dans la main cette chose qui est chaude et bouge et je m'aperçois que c'est un sexe, le sexe de son mari. Quel engin, on aurait dit un gros concombre peint en marron. Je retire ma main mais elle insiste et découvre son mari, nu sous le drap. Elle me demande, à voix basse pour que mon mari n'entende pas, que je m'amuse avec le sexe de son mari. Je m'exécute, un peu abasourdie, je le branle mais l'envie est trop forte et je veux le sucer, lui faire une pipe d'enfer, j'essaye mais il est tellement gros que son gland ne rentre pas dans ma bouche. Je suis obligée de lui lécher le gland comme une bite. C'est ma première bite noire. Ma drôle de soeur n'a pas manqué de retirer à mon insu ma robe de chambre et très vite je sens les mains de Doug sur mon corps, mes seins et ma chatte. Le salaud, moi qui était déjà excitée avant de descendre, en rajoute. Il commence à me toucher les seins d'une main et de l'autre il me titille le clitoris. Mon mari, alors appelle et demande ce qui se passe et propose de descendre nous aider. Je suis obligée d'arrêter mon ouvrage et Doug aussi. Je remets ma robe de chambre et monte me coucher. J'explique à mon mari que ma soeur Déborah avait envie de me parler après toutes ces années et je m'endors en rêvant à cette énorme engin que j'ai envie de sentir au fond de moi. Le séjour de ma soeur se passe à merveille mais comme mon mari est en vacances, il m'est difficile de jouer avec le truc de mon beau-frère. Enfin mon mari reprend le travail, les fêtes du Nouvel An se sont passées dans la joie et la bonne humeur et Doug ne manque pas à chaque fois qu'il le peut de me faire admirer son sexe. Par commodité, nous avons déménagé le bureau pour installer nos invités dedans afin qu'ils puissent vivre comme un couple. Ce matin là, je vais à la boulangerie chercher du pain frais, car ma soeur ne trouve pas du vrai pain aux USA, et quand je reviens, quelle n'est pas ma surprise de les trouver au salon sur le canapé convertible en train de faire l'amour. Un peu gênée, je recule, prête à sortir, quand ma soeur qui m'a vu, s'approche de moi et commence à me déshabiller. Rapidement, je me retrouve en string. Doug, en pleine forme, me saute littéralement dessus pour me manger les seins et la chatte. Quel pied, mais aussi quelle peur ! Quand il approche sa bite de ma chatte, j'ai peur qu'il me déchire mais ma soeur me dit que la tête d'un bébé est plus grosse que son engin. Dès lors, quel délice, je me sens pleine, remplie, comblée, je jouis de façon extraordinaire. Nous faisons l'amour toute la journée tous les trois. Il est vigoureux et je ne le vois jamais débander. Mais le soir
SAMEDI 24 SEPTEMBRE 2011
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