L'emménagement

C'était le début de l'année universitaire et je m'apprêtais à emménager sur le campus de mon université. J'avais eu beaucoup de chance de recevoir une réponse de la fondation de logement car il y avait des listes d'attente de parfois plusieurs années pour pouvoir disposer d'une chambre. Les chambres en question étaient regroupées par 3 ou 4 dans des appartements disposant de cuisine et salle de bain commune. Je me présentai donc sur place le jour convenu, afin de procéder au transfert des clés avec l'ancienne occupante. Je m'étais brièvement entretenu avec elle au téléphone. Elle avait un accent marqué de l'est, elle devait être Tchèque ou Polonaise. Notre rencontre confirma mon impression. Elle était assez grande, de longs cheveux blonds, des yeux gris-verts, des formes discrètes mais néanmoins harmonieuses et devait être à peine plus âgée que moi. -Bonjour ! Me dit-elle avec un sourire radieux, il va falloir attendre un moment car comme tu vois je n'ai pas encore terminé le nettoyage ! En effet, les concierges étant des gens maniaques. Ceux qui partaient devaient, en plus de nettoyer la chambre, faire le ménage dans tout l'appartement. Ils m'avaient également dit qu'il était interdit d'inviter des personnes extérieures à l'appartement pour dormir, mais là-dessus, ils pouvaient toujours rêver… Mes cours allaient recommencer : -Je laisse mes affaires ici. Je repasserai vers 18 heures, lui dis-je. -Ok merci, ça me laissera le temps de terminer ça et de faire mes adieux. Après deux heures de cours rébarbatifs d'ingénierie des matériaux, j'en attaquai un autre qui nous préparait à réaliser un projet en rapport avec le développement durable. L'un des profs ayant été absent, nous fûmes libérés une heure plus tôt. Je retournai à l'appartement. La porte n'était pas fermée à clef, mais pourtant on aurait dit que personne n'était là. Mes futurs colocataires, en tout cas, étaient absents. En me rendant du côté des chambres, je trouvai la mienne entrouverte. Des gémissements étranges en provenaient. Je m'approchai de l'entrebâillement de la porte pour découvrir un mystérieux spectacle. L'ancienne occupante, complètement nue, était en train de dire adieux aux lieux à sa manière bien personnelle. Allongée sur le lit, elle se caressait tendrement les seins et la chatte tout en prononçant des choses incompréhensibles en tchèque. Par chance, elle ne m'avait pas vu. Elle semblait trop excitée pour s'occuper de ce qui se passait autour, de toute façon. Me déplaçant pour y voir un peu plus, je trouvai une orientation devant la porte où elle-même pouvait difficilement me voir. Le plaisir semblait la gagner peu à peu. Elle s'était allongée sur le dos et soulevait son bassin tout en enfonçant cette fois ses doigts dans sa chatte ouverte et humide dirigée vers moi tandis qu'elle se suçait l'index de son autre main. Mon érection depuis un moment était trop forte, je ne pus résister à l'envie de l'accompagner dans sa séance masturbatoire, toujours caché derrière la porte. Elle montait et descendait son bassin et les trois doigts qui lui limaient la chatte étaient de plus en plus rapides. La cyprine coulait le long de ses fesses et de son ventre pour terminer sur mon nouveau matelas. Je me dis que cette coquine l'avait très certainement imbibé abondamment pendant toute la durée de son séjour. Elle se retourna soudain et monta ses fesses aussi haut qu'il était possible à genoux tandis que l'avant de son corps était allongé. Sa main droite s'agitait toujours fébrilement et elle profita de l'abondance de cyprine pour s'enfiler l'index gauche dans l'anus. Se branlant les deux trous en même temps, elle commençait à gémir rageusement, toujours dans ce que je pensais être du tchèque. De la voir soumise dans cette position me plongea dans un état d'excitation incontrôlable. Après tout, pensais-je, c'était maintenant ma chambre et mon lit, elle ne pourrait pas m'en vouloir. Et donc j'entrai discrètement dans la chambre, m'approchai d'elle et lui saisit fermement les deux poignets. Elle poussa d'abord un cri de surprise, mais rapidement elle agita lentement les fesses dans un ronronnement d'invitation. Sans mal, je lui enfilai ma queue tendue à craquer dans sa chatte dilatée à souhait. La sensation d'être dans tant de chaleur et d'humidité était incroyable et me rappelais plus de lointains souvenirs de jungle tropicale que les rues glacées de Prague. Je commençai à la troncher, elle criait d'envie et de contentement comme si ma queue hypertrophiée était soudain garante de sa survie. Je la lui mettais profondément, lui caressait le dos et la poussant vers le bas d'une…

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VENDREDI 17 FéVRIER 2006

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