L'ENTRETIEN D'EMBAUCHE

J'avais envoyé mon C. V. à plusieurs entreprises et la première qui accepta ma candidature était située non loin de chez moi, le poste était bien payé et très intéressant. J'acceptai donc avec enthousiasme. L'entretien d'embauche se déroula avec la patronne elle-même. Amanda, une splendide femme de 42 ans, blonde, aux yeux d'un bleu profond, et à la silhouette irréprochable. Je me suis d'ailleurs demandé pourquoi elle ne s'était pas lancée dans le métier de mannequin… Avec un corps pareil elle aurait fait des ravages. Déjà, lors de l'entretien, j'avais toutes les peines du monde à rester concentré et à ne pas faire paraître mon émotion. J'étais à l'étroit dans mon slip et j'imaginais Amanda sans ses vêtements. Son corps de sirène prenait forme dans mon imagination et je la voyais à présent me chevaucher, sa poitrine gonflée pointée dans ma direction et son visage si fin secoué par un plaisir dévorant. Je me mis sûrement à rougir car je sentais le bout de mes pommettes légèrement picoter. J'étais très mal à l'aise et je voyais Amanda sourire par moment, en me voyant ainsi. Elle fit même tomber mon dossier à ses pieds. Je m'empressai de me baisser pour le lui ramasser. Je la vis alors écarter doucement ses cuisses et frotter ma main du bout de son escarpin. En levant la tête pour le lui rendre, mes yeux croisèrent ses cuisses et je crus que mon coeur allait exploser dans ma poitrine. Elle prit mon dossier, me sourit et m'invita à me rasseoir. À la fin de l'entretien, je me hasardai à lui demander si ma candidature avait des chances d'être retenue. Avec un sourire plein de sous-entendus, elle me dit qu'elle m'embauchait et conclut par un : - Je pense que vous ferez du bon travail pour moi. Je sortis troublé, électrisé et je comptai les jours qui me séparaient de mon entrée dans l'entreprise. Lorsque ce moment tant attendu arriva, quelle ne fût pas ma surprise d'apprendre que j'étais nommé non pas au poste proposé mais directement comme assistant personnel de la patronne. Mon prédécesseur avait démissionné pour un emploi dans une autre société et Amanda avait décidé de me prendre comme remplaçant. J'étais à la fois flatté, honoré et aussi terriblement excité ! Les premiers jours se déroulèrent dans une ambiance studieuse et très professionnelle. Je faisais de mon mieux pour me montrer digne de mes nouvelles responsabilités et je n'avais plus trop le temps de fantasmer sur ma nouvelle patronne. Mais un soir, cette dernière, après m'avoir félicité pour la manière dont j'avais traité un dossier important, me demanda de passer à son domicile pour commencer une affaire capitale, qu'elle souhaitait superviser elle-même, malgré toute la confiance qu'elle plaçait en mes compétences. Elle ajouta : - Passez donc demain, en milieu d'après-midi, mon mari doit s'absenter, nous serons tranquilles. Puis elle se leva et quitta son bureau. Inutile de préciser combien cette annonce m'ébranlait. J'allais me retrouver seul avec la patronne, chez elle. D'ailleurs, je ne savais pas trop si j'allais pouvoir garder mes idées claires. Je dormis très mal cette nuit là, mon sommeil étant sans cesse tourmenté par le corps d'Amanda qui se dressait devant moi. Mon esprit se trouvait captivé par Amanda, cette femme si envoûtante et si sûre d'elle ! La matinée qui suivit me parût interminable puis vint l'après-midi. Je me rendis chez ma patronne comme convenu, vers 15heures. Il faisait assez chaud et je me vêtis légèrement : chemisette et bermuda. J'étais un peu gêné car une tenue aussi estivale ne pourrait, à coup sûr, cacher les troubles de mon membre si ce dernier se trouvait pris d'un émoi irrépressible. Je sonnai fébrilement à la porte de la maison, la gorge serrée et le coeur en alerte. Au bout de quelques secondes, j'entendis les talons d'Amanda claquer sur le sol et cette dernière m'ouvrit la porte. En une fraction de seconde, je la dévorai du regard, de la tête aux pieds. Elle portait une veste au tissu léger sous laquelle pointait ses superbes seins recouverts d'un soutien-gorge noir, que laissait transparaître un chemisier blanc, presque transparent. Mon regard descendit et vit une minijupe, vert émeraude d'où s'échappaient deux magnifiques jambes et deux pieds si fins, mis en valeur par des sandalettes à talons hauts. J'eus un bref frisson. Elle me sourit et m'invita à entrer. Je la suivis jusqu'au salon, mes yeux, embrasés, dévorant littéralement ses fesses et ses jambes. Elle me montra une chaise et me demanda de m'asseoir. Je m'exécutai, maladroitement, comme

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MERCREDI 12 MAI 2010

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