CHEZ L ÉPICIER, UN DIMANCHE

Un dimanche en fin d'après-midi, après avoir travaillé à l'ordi, je descends chez l'épicier du coin pour acheter du vin. J'en profite pour jeter un coup d' il pour me dénicher le dessert car je n'ai que des fruits à l'appart. Je cherche dans le rayon où est le chocolat. Entre les rayons, il n'y a si peu d'espace. Arrive alors une femme d'une quarantaine d'année, le visage aux traits un peu marqués, blonde aux cheveux courts et drus que j'ai déjà aperçu dans le magasin. Je ne l'ai pas vu tout de suite car elle est passée derrière mon dos. Je sens sa présence et je lui dis :«Pardon». Ce à quoi elle répond : «Ce n'est rien !» Tout sourire. Je lui souris aussi. Mon chocolat choisi, je fais encore un tour. Elle cherche dans un autre rayon, me voit et nos regards se croisent. Je continue mon tour, prenant en plus du vin et du chocolat quelques cacahuètes pour accompagner cet apéro. C'est alors à mon tour de passer derrière elle et j'en profite pour frôler son bassin de ma braguette. Elle ne se dérobe pas. Je traîne encore un peu, nos regards se croisent à nouveau. Elle se dirige à la caisse avant moi. Je ralentis pour ne pas être sur ses talons. Je règle mes achats et, sortant, je la vois marcher lentement vers le coin de la rue. Je m'avance, elle atteint le coin et se tourne encore vers moi, marquant le pas. C'est une invite. Je la suis, gardant une trentaine de mètres de distance. Elle marche d'un pas assez vif mais se tourne encore, sans doute pour voir où je suis. Elle marche moins vite, sa porte ne doit pas être loin. Je ralentis aussi pour lui laisser le temps d'entrer. Lorsque j'atteins cette porte, je vois qu'elle la garde entrouverte. J'entre. - Bonsoir, dis-je. - Bonsoir. - Ça fait longtemps que je vous vois, j'avais envie de faire votre connaissance. - Et bien voilà, répond-elle, et sans un mot elle se tourna pour monter. Je la suis, regardant son cul en mouvement un peu plus haut devant moi. Mince mais ronde, en pantalon et en blouson, cheveux courts, elle me fait bander instantanément avec son cul à hauteur de mes yeux. Ce n'est pas commode pour monter, mais elle n'habite qu'au premier étage. La porte ouverte, nous entrons et elle me guide vers le séjour. - Installez-vous, me dit-elle, désignant le canapé, vous buvez quelque chose ? - Volontiers, répondis-je. Elle revient avec quelques verres et s'installe à côté de moi à cinquante centimètres. - Whisky. Pastis. Porto ? - Porto, répondis-je, j'ai acheté des cacahuètes, vous en voulez ? - Pourquoi pas. Elle nous sert. J'engage la conversation. - J'habite dans le coin depuis 6 ans et vous ? - Non, que depuis 3 ans. - Ça fait un moment que je vous vois seule le dimanche et je vous avais remarqué. - Vous aussi, vous venez le dimanche. - Oui, régulièrement quand je suis en ville, je vis seul. - Moi aussi. À ce moment, je me rapproche d'elle. Elle se tient les cuisses serrées et regarde devant elle. Moi, je me suis tourné et je la regarde dans les yeux… - Je vous trouve belle et sympathique. - Merci. Je mets ma main sur son épaule, aussitôt elle penche sa tête pour la toucher de sa joue. Je fais remonter ma main pour la prendre par le cou et me rapprocher d'elle. Elle s'enfonce dans le canapé en se laissant un peu glisser vers l'avant. Je pose mon autre main sur sa cuisse et je la pétris doucement. Elle se laisse aller complètement, écartant légèrement les cuisses. Je me mets alors à l'embrasser. Elle se laisse faire un instant puis participe de sa langue et se tourne pour se serrer contre moi, mettant ses bras autour de mon cou. J'avais bandé dans l'escalier, puis débandé quand elle m'a proposé les boissons. Maintenant, j'ai une trique pas possible. Ma main qui pétrit sa cuisse se rapproche de son entrecuisse, caressant doucement l'aine. Elle aussi caresse ma cuisse. Sentant ma main proche de sa chatte, elle rapproche la sienne de ma braguette. Je lui prends alors la moule à pleines mains et elle saisit mon mandrin dans mon jean. Nos langues se mélangent dans la salive. Nos souffles s'accélèrent, nos mains partent dans toutes les directions, s'égarant sur nos

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MERCREDI 9 DéCEMBRE 2009

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