ÉROTISME COSMIQUE

L'après-midi était chaud ; après avoir marché le long de la plage, je m'étais allongé sur le sable. Au fond d'une petite crique. Je n'avais gardé que mon slip pour bien profiter des rayons du soleil. J'étais bercé par le cri des mouettes, le grondement des vagues sur les rochers tout proches. Soudain, à quelques mètres de moi, paraît une jeune femme, vêtue d'un simple string. J'ai à peine le temps de détailler ses jolis petits seins, sa taille, ses fesses bien rondes, ses longues jambes ; elle s'est déjà éloignée, mais je reste frappé par son regard. Noir, profond, énigmatique, et puis un petit sourire… Peut-être. Je ne cesse de penser à ses yeux qui se sont posés sur moi, je fantasme, je m'endors. Combien de temps s'est écoulé quand je reprends conscience, après avoir rêvé d'une folle nuit d'amour. Je sens mon sexe quelque peu gonflé, mais il est temps de revenir à la réalité et je me décide à rouvrir les yeux. Elle est là, debout, presque à mes pieds. Je me frotte les yeux, je ne rêve pas : ses seins, sa taille, son ventre plat, ses jambes fuselées, et toujours ce regard qui me caresse le corps : maintenant, j'en suis sûr. J'essaie de sourire, je suis hypnotisé, paralysé. Paralysé de la tête aux pieds, c'est vrai, mais je ne peux m'empêcher de sentir «Joyeuse» s'étirer lentement, et je la connais suffisamment pour savoir qu'elle est capable de se glisser sous l'élastique de mon mini-slip, voire de passer la tête pour constater ce qui m'agite : ce qu'elle est gland, parfois ! La belle inconnue regarde. Ce regard qui, tout à l'heure, semblait se promener sur mon corps, reste fixe ; est-ce qu'elle voit ? Son sourire aussi se cristallise. J'ai envie de parler, mes idées s'embrouillent : - Tu es belle, j'ai envie de toi, tu me fais peur, regarde mon sexe tendu, excusez-moi, madame… Je reste muet, ma bite frémit, une fois, deux fois… Et pourtant, je fantasme : elle s'empale sur mon sexe, les doux frémissements de son tendre étui me font vibrer, et puis tout à coup, les décharges électriques qui la secouent se transmettent à ma queue, me parcourent tout le corps, me remontent à l'estomac, me serrent la gorge, je vais exploser… J'essaie de penser à autre chose, j'écoute le bruit des vagues, et soudain, comme soumis au rythme de la houle, son ventre se cambre, se balance d'avant en arrière. Une déferlante sur trois paraît plus violente : elle explose littéralement, puis se retire lentement, doucement, entraînant tout, aspirant tout, vague après vague, son ventre. - Tu entends la mer ? Regarde les vagues, la tempête qui monte… Et je découvre cet admirable cul, traversé par un mince cordon qui met en valeur deux superbes fesses. - Tu n'en peux plus ? Dit-elle, en se retournant. C'est vrai, mes couilles me font mal, ma bite est coincée par l'élastique qui l'empêche de se dresser : Joyeuse a faim, elle a soif, elle a besoin de chaleur, de cette chaleur qui annonce l'orage, la foudre. - Si tu acceptes de te laisser faire, de ME laisser faire, ferme les yeux : peut-être ne les ouvriras-tu jamais plus sur cette planète… Et comme malgré moi, sans réfléchir, sans savoir, mes yeux se sont fermés. Je sens encore ses mains glisser sur mon torse, et s'attarder quelque secondes sur ma poitrine : - Comme elles sont éveillées, tes deux sentinelles avancées. Et ses mains de poursuivre doucement, insensiblement, plus avant, soulevant sur leur passage, l'élastique du slip, pour le glisser jusqu'à mes pieds. Je ne sens plus rien, je panique; s'arrêterait-elle là ? Je ne sens plus, je n'entends plus. Joyeuse libérée se reprend à espérer, à vivre, à frémir, mais, est-elle encore là ? J'ouvre un oeil à demi pour entendre de suite sa voix derrière ma tête : - Laisse-toi faire et n'essaie pas de voir, tu n'apercevrais que les embruns de mer ; les vagues naissent du plus profond, de l'invisible, de l'insondable.…

» Plan cul Marcy-l'Étoile

SAMEDI 9 JUIN 2007

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@