ÊTRE OU NE PAS ÊTRE

Ma vie sexuelle a commencé quand j'avais dix-huit ans. Dans les toilettes de l'université. Alors que je croyais que les mecs ne m'attiraient pas du tout. Puis une envie de pisser urgente me poussa aux toilettes. Il y avait un monde fou là-dedans. Les toilettes étaient grandes et il devait bien y avoir une dizaine d'urinoirs de part et d'autre de la pièce. Plusieurs personnes semblaient attendre et effectivement je trouvai que c'était long pour arriver à l'urinoir. Observant sans le vouloir l'un des pisseurs, je constatai qu'en fait, il se masturbait. Je ne sais quelle folie me poussa à regarder sur ma gauche, où un homme fort bien monté, était en train d'astiquer sa bite avec une savante lenteur. Je ne peux m'empêcher de la regarder, de la trouver belle, je ne savais pas quoi faire, j'avais fini de pisser. J'étais si près de son sexe que je sentais son odeur si particulière qui m'attira sans que je puisse m'y opposer. L'envie de le sucer me devint insupportable et je plongeai d'un coup sur son gland pour le gober et j'avalai sa bite entièrement. Il soupira mais ne dit rien. Je léchai d'abord son gland et son prépuce. Il sursauta et me demanda d'arrêter mais je ne pouvais pas. Il se laissa finalement faire quand je pris sa belle queue entièrement dans ma bouche. Il soupira en essayant de ne pas faire de bruit. Comme dans un rêve, je sortis ma bite et me mis à la branler. Complètement excité, je ne tardai pas à éjaculer. Et je profitai de ce moment de répit dans mon excitation pour m'éclipser. Après, je multipliai les expériences du genre. Un jour, je sortis avec un travesti. Comment vous la décrire ? Brenna, comme elle aime qu'on l'appelle, était plutôt une transsexuelle non opérée encore. Grande brune, très brune, très typée italienne, le visage et le nez assez long, de grands yeux brillants, de belles lèvres. Très excitante dans son genre quoique trop maquillée. Elle était vêtue d'un curieux bustier à rayures dorées et vertes devant, l'arrière étant noir. Elle avait revêtu une sorte de minijupe en cuir et gainé ses belles jambes de bas auto-fixant. Comme elle devait chausser du 42, elle avait des tatanes pas possible, un pénis autour des 22cm et très épais, une merveille, quoi !!! Elle m'aida à baisser légèrement mon pantalon et colla son corps au mien. Cette fois en m'embrassant sur le cou et la poitrine, elle réussit à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout en lâchant de petits râlements, elle me masturba lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesant mon sac coincé dans mon caleçon. Elle descendit son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide. Je sentis sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle commenca une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu'elle s'activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme. Son regard s'égara, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde importante. De temps en temps, elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d'éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d'agréables sensations. Puis, elle me dit : -«Vas-y… Tu peux décharger dans ma bouche… J'aime ça.» Et elle entama une pipe endiablée. Elle me branlait d'une main en suçotant sur le noeud de ma bite. C'était presque violent. Mon dos se cambra, mes jambes raidirent et je sentis ce courant électrique qui précédait la jouissance. Je giclai avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle n'arrêta son pompage que lorsque ma queue fut devenue tellement sensible que c'était douloureux. Puis elle remonta vers moi. Son visage était radieux. Alors, je me jetai sur elle pour l'embrasser, j'aimais sentir sa langue contre la mienne et ses mains qui me caressaient partout. Je pus enfin goûter cette belle grosse queue. Elle me dit que ma petite bite l'excitait. Nous nous mîmes alors en position de 69 et nous commençâmes par nettoyer le sperme de la première jouissance.

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VENDREDI 8 JUIN 2012

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