EXHIB À LA PISCINE

Je m'appelle Coralie, j'ai vingt-neuf ans. Je suis très exhib et j'ai déjà participé à plusieurs concours amateurs organisés par des publications de charme. Parfois, il s'agissait de revues spécialisées dans les annonces de rencontres libertines ou des magazines plus hard et vendus en sex-shop. J'ai fait le peep-show des copines , une série le minou de nos lectrices , un spécial fesses et petits trous réservés aux modèles amateurs. Au début, il y avait toujours le risque d'être reconnue par un proche. Le boulanger du coin, un collègue de travail, un ami Cela fait partie du jeu et aujourd'hui, j'en assume les risques. Tant pis pour ceux qui se trouveraient choqués en me reconnaissant dans ces pages et qui ne pensaient pas que j'étais capable d'aller aussi loin ! Maintenant, ils seront au courant Je ne suis pas mariée mais je vis avec le même homme depuis quelques mois. Il s'appelle Franck, il est un peu plus âgé que moi. C'est lui qui m'a photographiée. Ce n'est pas un professionnel mais je trouve les clichés réussis. J'ai lu, dans une revue très sérieuse de sexologie, que les fantasmes d'exhibition étaient, en général, plutôt féminins, tandis que le voyeurisme, plus spécial aux hommes. Notre couple semble en être une parfaite illustration. Franck est très voyeur. Quand j'ai commencé à mieux le connaître, j'ai été assez étonnée du nombre de magazines érotiques qui s'amassaient sur ses étagères. Certains étaient d'un genre assez soft mais il y en avait d'autres qui étaient beaucoup plus épicées avec des photos très crues. Franck et moi, nous nous sommes rencontrés d'une manière assez banale au cours d'une soirée chez des amis communs. Une copine fêtait ses vingt-quatre ans. Franck était son cousin. Il n'était pas encore minuit que déjà, nous nous éclipsions discrètement pour aller chez lui. A cette époque, j'assumais sans complexe ma réputation de coureuse, de fille qui multipliait les aventures. Je n'étais pas trop difficile sur le choix de mes partenaires, mais ce soir-là, lui me plaisait vraiment beaucoup. Avec Franck, j'ai senti tout de suite que ce serait différent de ce que j'avais connu auparavant avec mes anciens partenaires. Mais je n'imaginais pas qu'il allait devenir en quelques heures un homme qui compte autant pour moi. J'ai bien crû qu'il allait me prendre dans l'ascenseur qui montait vers son appartement. Il m'embrassait à pleine bouche sans cesser de me caresser partout. Lorsque nous sommes arrivés au troisième étage, l'ascenseur s'est arrêté mais Franck ne voulait plus quitter ma bouche. La lumière s'est éteinte et il a continué de me peloter contre la cloison. Ses caresses se sont faites beaucoup moins chastes. Il passait sa main entre mes cuisses, il pelotait mes fesses et chercher à passer sa main sous ma culotte. Tout émue et excitée moi aussi, j'étais prête à m'offrir sans attendre plus longtemps dans cette minuscule cabine. Mais Franck a préféré me faire entrer chez lui. Là, nous sommes passés sans attendre dans sa chambre. Le lit n'était pas fait, il régnait un grand désordre mais à cette minute précise, cela n'avait pas vraiment d'importance. Franck s'est empressé de faire sauter les fines bretelles de mon bustier et, comme je ne portais pas de soutien-gorge dessous, il s'est précipité sur mes seins dénudés, les a léchés et malaxés, s'amusant à les presser l'un contre l'autre avec force. Je me laissais faire, gémissante, sous ses mains expertes. J'étais en train de devenir folle de plaisir. Chez moi, les seins c'est presque un deuxième sexe. Ils sont au moins aussi sensibles que ma chatte. Franck a fini par retirer ma jupe. Nous étions en plein hiver et je portais un ensemble très coquin, porte-jarretelles en dentelle noire et un brésilien assorti. Cette tenue a fait toujours beaucoup de succès auprès des hommes et Franck n'a pas été en reste en me découvrant ainsi. Il lui a fallu à peine quelques secondes pour se retrouver nu à son tour. J'ai été surprise par la grosseur de son sexe. Sa queue épaisse restait plaquée sur son ventre, tellement il bandait. Nous nous sommes allongés sur le lit et ce fut le lieu de nouvelles caresses enfiévrées. J'avais très envie de lui plaire et de lui montrer combien j'étais douée en amour. J'ai pris l'initiative de masturber sa queue entre mes doigts. J'ai également caressé ses bourses, tout cela en m'appliquant avec un maximum de sensualité. Franck m'a fait comprendre qu'il

» Plan cul Louvroil

LUNDI 9 NOVEMBRE 2009

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@