LA FEMME À L'IMPER…

La première fois que j'ai pu voir une trans, c'était sur un site porno trash. J'ai bandé grave à la seconde où mon regard s'est posé sur l'une de ces créatures fabuleuses. Leur ambiguïté et l'interdit qu'elles inspirent eurent raison de moi et à partir de ce moment, je n'eus plus qu'une idée en tête : me taper une trans coûte que coûte. J'ai d'abord été tenté de trouver des endroits en ville où je pourrais faire la connaissance de quelques-unes d'entre elles. Je savais que ça ne courait pas les rues, et c'est un facteur qui augmenta davantage mon exaltation à leur égard. Mais je n'en trouvais que dalle, autant chez les prostituées qui faisaient le trottoir au centre-ville que dans les bars où je n'avais aucune espèce de moyen de les repérer. Je me serais bien vu arpenter les dessous de jupes à la recherche d'un phallus ! Et la conquête de toutes ces femmes seraient une mission impossible. La difficulté de la tâche me fit oublier mon projet quelque temps, jusqu'à ce que le destin se charge de ma petite personne. Un matin, c'était un mardi je crois, que je travaillais (je suis chauffeur de bus, hélas), je vis une très belle femme s'installer sur le siège le plus près du conducteur. Elle me fixait de son regard brûlant et je lui rendis, heureux de faire tant d'effet à cette jolie donzelle. La vingtaine, cheveux blonds cendrés, belles jambes fines, petites seins libres de soutif, hum. Je sentis aussitôt la raideur caractéristique du désir s'en prendre à mon membre. Je n'y pouvais rien, j'ai toujours été un homme à femmes. Quoiqu'il en soit, je devais me concentrer pour ne pas causer d'accident. Mais la tâche s'avère ardue lorsqu'une gentille dame vous dévoile si nonchalamment son entrejambe, que je me plaisais à imaginer exempt de culotte. Je me risquai à quitter la route du regard pour regarder cette chatte de plus près. Mais je n'y voyais que dalle avec l'obscurité qui régnait, et dans le bus et sous sa petite jupe. Malheureusement pour moi, le terminus apparut au loin, me signifiant que ma route avec cette belle créature s'achevait. Lorsqu'elle me remercia et qu'elle fit mine de sortir, je voulus lui attraper une jambe et l'attirer vers moi mais je ne pus que lui effleurer la cuisse avant qu'elle ne s'échappe en gloussant de mon emprise cochonne. Elle avait allumé quelque chose d'intense dans mon froc et ma pause allait servir à me vider les bourses dans ce giron accueillant. Je débarquai à sa suite et la suivis du regard en m'allumant une clope. Avant de la jeter au loin, je me dirigeai vers la porte de la gare ferroviaire que la belle tentait de franchir avec ses bagages, non sans se donner beaucoup de mal. Je courus pour l'aider alors qu'elle s'était empêtrée dans la porte avec ses nombreuses et imposantes valises. Au passage, je pus voir son décolleté plus profondément et je dus me faire violence pour ne pas en abuser sur place. Un peu de classe était de mise avec ce type de femme. Quoiqu'elle porta une petite jupe provocante et un débardeur tout aussi tentateur, elle était également vêtue d'un imper top classe, portait des bijoux luxueux avec des ongles aussi longs que ceux d'une sorcière. Alors que je l'aidais à transporter ses bagages vers le guichet qu'elle me pointa du doigt, après que je lui eus demandé où elle souhaitait que je les dépose, je m'imaginai les mains féminines de cette belle inconnue m'astiquer le manche. J'aimais aussi me la figurer nue sous son imper… Ma perversité me fit bien rire mais je gardai pour moi mes pensées vulgaires qui auraient pu la choquer. Il est toujours préférable d'être courtois avec les femmes parce que premièrement, on ne peut jamais savoir à qui l'on a vraiment affaire et deuxièmement, j'aime bien me faire désirer et surtout avoir l'accord, même tacite, de la femme avant de me montrer ordurier. Lorsque j'eus accompli l'acheminement de ses effets personnels au guichet où l'attendait une vieille bique défraîchie, elle acheta vite son billet qui lui permettrait de s'embarquer pour Lyon à 9 heures du matin. Il n'était que 6 heures du matin et j'avais heureusement fini ma nuit de boulot. L'autobus pouvait bien attendre avant d'être ramenée au bercail, il n'avait pas de bourses à vider, lui ! Lorsqu'elle se retourna vers moi, je pus enfin contempler ses yeux d'un bleu profond et électrisant. Elle me dévisagea…

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MARDI 23 SEPTEMBRE 2008

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