FEN & JIA - LA BALADE

Fen, un jeune homme d'une vingtaine d'années aux cheveux bruns foncés et aux yeux de la même couleur, tripotait nerveusement le flanc de son vieux chapeau melon dont il ne se séparait jamais. Le jeune homme immobilisa la vieille voiture jaune sur le bord de la route et se tourna vers Jia qui fixait le fleuve jaune de ses yeux obscurs. Ils se dirigèrent vers la rive à pied, main dans la main, et Fen regarda avec intérêt la minijupe d'écolière pailletée rouge et les deux longues queues de cheval noires de Jia se soulever et dévoiler ses jolies petites fesses plates et complètement nues. Ils venaient d'arriver à Lanzhou et souhaitaient se dégourdir les jambes avant de continuer le peu de route qu'il leur restait à faire avant d'arriver à destination. Au petit matin, l'agitation diurne que l'on voyait habituellement dans cette ville laissait place aux chants enjoués des oiseaux, au brouillard épais et à une foule d'autres sons provenant de la nature. La main de Fen s'aventura sur la courbe de la fesse de Jia et s'arrêta sur sa raie, qu'il parcourut d'un doigt. Cette dernière lui prit la main et l'amena derrière un bosquet recouvert de rosée matinale où elle lui baissa prestement le caleçon. Fen souleva son débardeur de latex noir et pinça la pointe de ses seins en se laissant posément sucer. Jia goba son membre complètement et avala entièrement le fruit de sa passion pour elle. Elle se releva, aussitôt sa tâche accomplie, et réajusta ses vêtements avec l'air de la parfaite demoiselle qui serait innocemment tombée par terre et qu'un homme aurait ensuite simplement aidée à se relever. Ils regardèrent le lever du soleil une dernière fois et reprirent leur route dans la brume opaque. Ils stoppèrent le moteur assez loin d'un grand domaine dont le terrain semblait s'étendre sur des kilomètres. Des plantes géantes, des angéliques, clôturaient un chemin de pierres plates qui se terminait au niveau de gigantesques portes d'entrée que les tourtereaux évitèrent d'approcher. Ils empruntèrent plutôt un petit chemin menant vers deux cabanes de jardin, remplies de divers outils destinés aux magnifiques jardins parsemant le terrain de la façade du domaine. Ils continuèrent leur chemin jusqu'à un large étang éclairé où sillonnaient de gros poissons moustachus ainsi que d'énormes poissons rouges asiatiques. Ces derniers se tenaient, immobiles, à la surface de l'eau où des nénuphars flottaient dispersement. Les rôdeurs longèrent l'étang et se retrouvèrent à l'arrière de la maison. Si le propriétaire s'était tenu à la fenêtre à cet instant, il aurait vu deux silhouettes apparaître pendant une fraction de seconde et disparaître la seconde d'après. Peut-être fut-ce effectivement le cas, peut-être pas. De son emplacement, le couple pouvait apercevoir une parcelle du fleuve jaune et le soleil se lever tranquillement à l'ouest. Sans se soucier outre mesure d'être vus, ils étendirent leur couverture derrière un brise-vent où ils se couchèrent face à face. Fen bécota l'entrejambe de Jia en caressant ses cuissardes en latex noir. Il se retrouva vite sur elle, entre ses fines jambes écartées. Jia s'agrippa aux rebords de l'étang, savourant le cunnilingus que son amoureux lui prodiguait, et prit la tête touffue de Fen entre ses doigts féminins. Ce dernier écarta les lèvres de sa chatte pour s'abreuver de son jus d'amour, en lui léchant aussi le cul. Il savait trop bien les frissons que ce type de caresse provoquait chez Jia. Fen avait presque terminé de se défaire de son pantalon lorsque Jia poussa un petit cri étouffé en portant sa main à sa bouche. Le jeune homme n'avait pas encore tourné la tête pour identifier cette soudaine source de distraction qu'une voix masculine sévère et tonitruante s'éleva dans l'écho du matin : - Qui êtes-vous sales petits roublards, c'est une propriété privée et vous êtes en infraction. Le jugement était tombé, implacable. Jia se releva en toute hâte et ajusta ses vêtements et sa coiffure avant de se diriger placidement vers le bonhomme, qui devait bien avoir deux têtes de plus qu'elle. Jia le défiait du regard, la jupe mal réajustée, en s'approchant de lui avec les mains sur les hanches. - Et vous allez faire quoi, lui jeta-t-elle arrogamment à la figure… Nous… L'homme mit un terme rapide à sa question en la faisant tournoyer sur elle-même et en lui passant des menottes sans même qu'elle ne s'en rende compte. Elle se débattit et Fen s'élança sur l'homme mais ce dernier l'en empêcha en lui envoya un crochet en plein visage. Le…

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MARDI 2 DéCEMBRE 2008

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