FEU D'ARTIFICE

C'est une histoire vraie et pas bien ancienne, puisqu'elle date du début de l'été. J'ai 24 ans, je travaille depuis un an et, cet été, j'avais quelques vacances pour aller voir mes parents en visite dans les Pyrénées avec des amis. Arrivé là-bas, j'eus l'agréable surprise de faire connaissance avec Marie, la fille des amis, qui venait d'avoir le bac. J'avoue qu'au début, bien qu'elle fut plutôt mignonne, je la prenais un peu pour une gamine. Je ne pouvais certes pas imaginer la suite ! Le soir du 14 juillet, tout ce joli monde est parti au resto avec, comme objectif, l'admiration béate du feu d'artifice. Tous sauf moi car j'avais des documents à lire et de toute façon, je n'avais pas envie de les suivre. Marie avait, elle aussi, déserté chez une copine pour la soirée. Mais vers vingt et une heure, elle frappa à la porte, me racontant qu'elle s'était disputée et qu'elle avait préféré rentrer. Elle est donc montée dans sa chambre et j'ai continué mon travail. C'est à ce moment que tout s'est accéléré et qu'une soirée merveilleuse a commencé. Après quelques minutes. Marie est revenue dans le salon où je travaillais, en sous-vêtements. Je fus très surpris qu'elle s'exhibe comme ça devant moi, mais je ne sus que dire. En fait, j'étais troublé par ses charmes. Celle que j'avais pris pour une adolescente un peu immature ressemblait maintenant à une vraie femme, avec une taille mince, de belles cuisses solides et une belle paire de seins qui remplissaient plutôt avantageusement son soutien-gorge. Son maquillage un peu plus forcé que d'habitude et les deux adorables petits chignons qu'elle venait de se faire, accentuaient un peu plus mon émotion. - Tu me trouves belle ? Cette question, son sourire un peu gêné et les quelques poils qui dépassaient de sa culotte firent durcir mon sexe progressivement, ceci expliquant sans doute la réponse : - Oui, je crois mais pour savoir vraiment il faudrait que tu ne me caches rien. Il y eut un silence, puis : - Je ne me suis jamais déshabillée devant un mec. Je sais qu'à dix-huit ans c'est ridicule. - Ben justement, c'est l'occasion ! Elle sourit puis baissa un peu la tête avant de dégrafer son soutien-gorge. Je n'en croyais pas mes yeux ! Sans aucun effort de ma part, une jeune fille mignonne à croquer et visiblement inexpérimentée se déshabillait devant moi. Je me suis pincé pour savoir si je ne rêvais pas puis je suis revenu à mon sujet. Ses seins étaient blancs comme s'ils n'avaient jamais vu le soleil. - Tu veux que j'enlève ma culotte aussi ? - Oui, tout. Elle s'exécuta, baissant sa petite culotte sans attendre. Elle avait une petite chatte bien faite, à vous rendre fou. Tandis que mon regard s'attardait sur son petit triangle châtain, elle se tourna pour me montrer son popotin. Ses fesses étaient bien rebondies, fermes, avec quelques grains de beauté. C'est à ce moment que j'ai décidé de déboutonner mon jean silencieusement puis d'ôter mon caleçon et mon tee-shirt, juste avant qu'elle ne se tourne à nouveau vers moi. Son regard fixa alors mon sexe déjà bien dur et dressé devant elle. Elle fit un pas en arrière. - Je… Je suis vierge. Bruno, je n'ai jamais fait l'amour. Il faut qu'on s'arrête là. Cette résistance, en parole, me sembla très peu révélatrice de son état d'esprit du moment, elle continuait à fixer ma bite, tandis que sa respiration s'accélérait. Comme prévu, elle ne s'enfuit pas en courant quand je m'approchai. Je saisis ses deux bras pour les placer autour de moi avant de coller mon sexe sur son ventre. Nos langues se mélangèrent tandis que je lui massais le dos puis l'un de ses seins, en faisant de petits ronds autour de son mamelon. Sa peau était douce, ses chairs étaient tendres, j'avais oublié cette sensation de douceur des amours précoces. Je me mis à l'embrasser et à la caresser de plus en plus activement avant de la tirer vers le divan pour l'allonger. Elle écarta alors les jambes pour que je puisse lécher sa chatte inexplorée et son clitoris. Je fis de petits ronds avec ma langue autour de son clito, en le léchant aussi de bas en haut tandis que mes doigts titillaient l'entrée de sa moule. Ceci eut l'effet de la faire mouiller de tous ses jus et elle gémit comme une petite chatte à chaque coup de langue. Mais bien vite, je ne pus plus contenir mon envie et je…

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DIMANCHE 23 SEPTEMBRE 2007

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